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#2900767
@trestigres merci beaucoup pour tes compliments.

Et merci beaucoup également pour ce retour éclairant sur ta personnalité et qui confirme ce que je ressentais et pressentais depuis que je te lis.
Ce n'est certes pas moi qui vais de blâmer de quelque façon que ce soit pour cette bigamie dont tu as eu l'intelligence et la lucidité de voir et de comprendre qu'elle se devait de rester inégalitaire. Cela prouve ta finesse psychologique. Toutes ces qualités qui ont toujours plu à Victoire et ont fait de toi son mari (entre autres qualités).

Je vais te faire un aveu, mais j'avais la sensation confuse que Victoire voyait d'un mauvais œil le rôle croissant de P dans la vie de Lison. Elle connaissait trop bien et le pouvoir sexuel démesuré de son amant au long cours et la personnalité plus friable de Lison qui n'avait pas les armes pour lutter contre cet homme ; contrairement à elle qui le dominait du corps et de l'esprit et savait le remettre à sa place. Une preuve supplémentaire et éclatante de la très grande finesse psychologique et de la vraie générosité de la tsarine.

Pour finir, un point de vocabulaire. Tu accoles à Victoire le qualificatif de sybarite. Or, cela signifie : moi, efféminé, corrompu. Aucun de ses adjectifs ne correspond à la tsarine.
#2900768
Dionysos06 a écrit :@trestigres merci beaucoup pour tes compliments.

Et merci beaucoup également pour ce retour éclairant sur ta personnalité et qui confirme ce que je ressentais et pressentais depuis que je te lis.
Ce n'est certes pas moi qui vais de blâmer de quelque façon que ce soit pour cette bigamie dont tu as eu l'intelligence et la lucidité de voir et de comprendre qu'elle se devait de rester inégalitaire. Cela prouve ta finesse psychologique. Toutes ces qualités qui ont toujours plu à Victoire et ont fait de toi son mari (entre autres qualités).

Je vais te faire un aveu, mais j'avais la sensation confuse que Victoire voyait d'un mauvais œil le rôle croissant de P dans la vie de Lison. Elle connaissait trop bien et le pouvoir sexuel démesuré de son amant au long cours et la personnalité plus friable de Lison qui n'avait pas les armes pour lutter contre cet homme ; contrairement à elle qui le dominait du corps et de l'esprit et savait le remettre à sa place. Une preuve supplémentaire et éclatante de la très grande finesse psychologique et de la vraie générosité de la tsarine.

Pour finir, un point de vocabulaire. Tu accoles à Victoire le qualificatif de sybarite. Or, cela signifie : moi, efféminé, corrompu. Aucun de ses adjectifs ne correspond à la tsarine.


Tu as raison, cet adjectif désignait des corrompus et des mollassons en Grèce antique:
Du latin Sy̆barita, du grec Συβαρίτης, Sybarites désignant les habitants de « Sybaris », ville de la Grande Grèce dont les habitants étaient réputés être le peuple le plus corrompu et le plus amolli de l’Antiquité.
Mais aujourd'hui le ou la sybarite désigne aussi une personne aimant le luxe, les choses raffinées, voluptueuses et confortables. Ce qui correspond assez justement à la tsarine tout en lui reconnaissant des qualités de perspicacité, de fermeté et de diplomatie pour atteindre les buts qu'elle s'est fixés...
Merci pour ton billet si pertinent.
#2900798
@trestigres merci pour m'avoir renseigné sur le sens actuel de "sybarite". J'en étais resté à la signification originelle :oops: (déformation classique d'un amoureux de la Grèce antique).
Dans cette nouvelle acception, oui, le mot convient parfaitement à Victoire.
C'est tout de même fascinant le glissement de sens de certains mots avec le temps.
#2900995
Lison, dans sa sagesse mêlée d’une tendresse presque maternelle pour son compagnon à quatre pattes, avait décidé de confier son chien à sa belle-fille, estimant qu’un long périple en voiture n’eût point convenu à l’animal. Ainsi libérés de cette préoccupation, nous pûmes, un matin lumineux que j’aime encore à évoquer, prendre la route vers la France. Ma voiture décapotée, avec sa large banquette accueillant mes deux voyageuses, devint pour nous, dès les premiers kilomètres, comme une chambre mouvante, ouverte au ciel, où les paysages qui défilaient semblaient se glisser dans nos conversations, s’y mêler et parfois même les interrompre.
J’avais voulu tracer un itinéraire qui ne fût pas seulement une suite de routes, mais une sorte de pèlerinage au long de mes souvenirs, car chaque halte correspondait à un moment de ma vie déjà vécue avec l’une ou l’autre de mes compagnes. Ainsi, la première étape, Saint-Valéry en Baie de Somme, me rappela avec une acuité presque douloureuse le temps où Lison avait cru trouver ailleurs son bonheur, dans une aventure qui devait s’éteindre sitôt qu’elle s’était allumée. Ce rivage que nous contemplions ce jour-là depuis les quais n’était pas pour moi seulement un décor : il avait été jadis le témoin d’un déchirement, puis d’un retour, et il me semblait que le vent salé, rafraîchissant nos visages, portait encore l’écho de cette épreuve passée. Lison émue m’enserra par la taille tout en appuyant la tête sur mon épaule, refoula un léger sanglot.
Le soir venu, nous gagnâmes l’hôtel Les Tourelles, au Crotoy, ce lieu dont le seul nom avait le pouvoir de ranimer en moi la mémoire d’un séjour ancien, vécu trente ans plus tôt avec Victoire. Elle aussi fut émue en pénétrant dans ces lieux si chargés de souvenirs.. La chambre où nous fûmes installés, meublée de deux grands lits doubles, ouvrant sa vue généreuse sur la baie, éveillait une étrange impression : celle que le temps ne détruit jamais totalement ce qu’il emporte, mais en conserve quelque chose que la moindre circonstance comme une fenêtre ouverte sur la mer, l’odeur d’une chambre, la couleur du soir, suffit à raviver, comme si les heures jadis éteintes s’embrasaient de nouveau à la moindre étincelle du présent. Inséparables, nous inaugurâmes la salle de douche, nous savonnant mutuellement. Une tension érotique était palpable.. J’aimais savonner mes deux compagnes mais elles aimèrent tout autant se savonner l’une l’autre, puis jouant un quatre-mains en riant avec mes attributs qu’elle prenaient un plaisir pervers à les enduire de gel de bain en les épreignant tant et plus comme pour en extraire le jus !. Je mis fin à ce petit jeu qui m’excita à l’excès pour les enrouler dans une large serviette. Nous nous retrouvâmes tous les trois sur le plus grand des deux lits. La suite fut délectable : elles reprirent le petit jeu, me branlèrent, sucèrent, jusqu’à ce que elles obtinrent une raideur à leur goût. Victoire la première, profitant de ma rigidité me chevaucha, Lison dirigeant de la main ma queue vers son but tout en me martyrisant les testicules. Je me retins de jouir pour que Lison puisse aussi profiter de la belle érection que Victoire avait provoquée. Elle eut un orgasme, autant suscité par moi que par Victoire qui s’était occupée de ses seins, suçant avec avidité ses tétons. Mais il se faisait tard aussi je m’abstins – difficilement - de jouir, me réservant pour une seconde partie l’heure du diner étant proche. Nous n’avions guère l’envie d’apparaître en salle de restaurant où nous n’aurions pas manqué d’éveiller des soupçons inutiles, aussi nous commandâmes l’éternel plateau de fruits de mer agrémenté à profusion d’huîtres de Cancale qui nous fût servi en chambre par deux solides garçons, peu impressionnés sembla-t-il par les tenues très légères de mes deux compagnes.. « As-tu vu ? ils nous ont à peine regardées, tu penses, deux cougars » a dit Victoire dans un froissement d’amour propre..
Les bulles coulèrent généreusement de même qu’un blanc sec de Loire. Légèrement entamés nous décidâmes de prendre l’air sans négliger de prendre quelques derniers verres dans un bar local ; nous revînmes à la chambre passablement imbibés tous les trois, Lison plus que nous.. à tel point que nous nous endormîmes tous les trois, nus sous la couette, dont j’occupai le centre, encadré par mes deux compagnes qui se pressèrent contre moi, chacune cherchant avidement à sentir mon sexe bandé contre son ventre . Le lendemain en me réveillant, je découvris Victoire tournée vers Lison, papotant avec elle tout en se papouillant. Ses fesses contre mon ventre, ma queue dans sa raie se mit à durcir. La saisissant elle la dirigea vers son fondement où elle se trouva en terrain connu, alors que je l’agrippais par les hanches. Victoire pénétrée, son corps se mit à onduler, ses cuisses se repliant et se dépliant.. Elle s’activa sur le corps de Lison, introduisant des doigts dans sa chatte. Bientôt tous les trois nous soupirions d’aise tant et plus, gémissants, glapissants doucement. Elles basculèrent sur le ventre tout en écartant les cuisses, je ne pus résister au désir érotique de leur caresser la fente, introduisant mes pouces dans leur chatte, mes indexes agaçant leur clitoris. Elles jouirent de concert, bruyamment, au moment précis où des clients de l’hôtel passaient dans le couloir. Il me sembla qu’ils s’étaient arrêtés pour écouter, puis avaient repris discrètement leur marche ! « Crois-tu qu’ils nous ont entendus ? » demanda Lison, troublée ..

Lison et son chéri en pleine explication érotique
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Erik74910, Dionysos06, diouee et 3 autres a liké
#2901005
@trestigres pour une fois, je ne vais pas faire de très longs développements à propos de ce voyage à trois, absolument exceptionnel et hors du temps et des normes. Victoire et toi avez eu la primeur du poème que cette échappée si belle m'a inspiré (sans en connaître tous les détails, je tiens à préciser) : viewtopic.php?p=2901001#p2901001
trestigres a liké
#2901133
frenchy a écrit :Un écrit exceptionnel avec plein de détaille qui rajoute de la grandeur. Un voyage magnifique avec cette complicité à 3 très bien imagé d'ailleurs. Magnifique @trestigres :D


Cher Frenchy, vous êtes l'un des fidèles lecteurs avec Dionysos à apprécier nos aventures que je m'échine à conter le mieux que je peux. Cela nous fait plaisir à Victoire, qui vous lit, et à moi.
Merci, et la suite pour bientôt..
#2902960
Le séjour à Dinard touchant à sa fin, nous quittons pour l'île de Ré..

Après une douche fraîche, je commandai le petit-déjeuner à la chambre, tandis que mes deux compagnes s’attardaient sous l’eau, riant et conversant avec une sorte d’insouciance charmante qui semblait suspendre le temps. Drapées de serviettes de bain trop courtes pour couvrir leurs corps, le devant était caché en revanche elles montraient leurs fesses, elles surgirent dans l’embrasure de la porte au moment où le personnel, un jeune homme portant un plateau lourd et couvert de viennoiseries et une femme de chambre attentive, pénétra dans la pièce après avoir timidement frappé. Leurs mouvements, pleins de spontanéité et d’inadvertance, offraient un mélange étrange de pudeur et d’oubli de soi, comme si elles ignoraient que le monde pouvait les observer. Victoire, se retournant, laissa entrevoir sans intention ses fesses, ce qui fit hésiter le jeune homme, suspendu entre la curiosité et la politesse, tandis que Lison, dans un geste prompt de solidarité, tenta de préserver l’ordre des convenances, oubliant momentanément que son opulente poitrine devenait le centre de regards inopinés.
Lorsque le personnel se retira, laissant derrière lui le vaste plateau de viennoiseries disposé sur le lit, elles s’effondrèrent en pouffant sur la couette, se servant avec un plaisir naïf et communicatif, riant à petites secousses, comme si l’univers tout entier se réduisait à ce moment délicieux d’intimité et d’insouciance partagée. Agenouillées nues sur la couette, grignotant leur croissant en buvant leur café, elles étaient appétissantes, désirables, j’en restai ébahi.. Victoire s’étant retirée en salle de bain pour procéder à quelque ajustements de maquillage, j’en profitai pour attraper Lison par la taille et, la faisant pivoter avec douceur, elle se retrouva sur moi. En bonne écuyère elle avait parfaitement compris ce que j’attendais d’elle. Saisissant mon sexe elle le dirigea avec autorité vers son fondement, frottant le gland avec ardeur sur son vagin tout en gémissant de plaisir. La suite ne fut que du bonheur mais de courte durée car mon esprit me prévenait que le point de non retour allait être atteint. Après un court instant, en bramant, je rendis les armes en inondant le fond de son ventre de ma semence, ce qui provoqua une réplique immédiate chez Lison qui glapit longuement, exprimant sa jouissance. Elle resta hébétée quelque temps, voguant sur un nuage, puis revenant sur terre, me saisissant par le cou, elle me murmura à l’oreille que si elle avait encore eu des œufs, cette fois je lui en aurait fait un. Je n’eus pas le loisir de lui répondre car Victoire apparut alors que Lison, en se dégageant de mon emprise, exposa ses fesses desquelles dégoulinait une liqueur blanchâtre. Victoire demanda avec une pointe d’agacement s’il n’y avait pas plus urgent que de se rouler des pelles…
Ainsi tôt matin nous quittâmes Dinard pour l’Île de Ré. Assis à l’arrière, je laissais mes pensées se perdre au rythme des bavardages ininterrompus de mes deux compagnes, qui se succédaient par bribes dans mes oreilles, tantôt légères et riantes, tantôt captivées par les réflexions sur les hommes, leurs préférences et leurs manières. « De quoi parlez-vous, les filles ? » demandai-je, curieux, les ayant entendues parler de sexe. « Des hommes… de ce que nous aimons, et de ce que nous préférons », me répondirent-elles avec une malice innocente qui me fit sourire. « Mais encore.. » demandais-je. « Du sexe des hommes, des noirs et des blancs, que nous préférons circoncis, on n’aime pas ce bout de peau qui cache le gland. Les hommes circoncis sont moins souvent des éjaculateurs précoces, leur gland étant moins sensible donc plus endurant, c’est ce qui convient le mieux à nous, tes femmes ». Elles évoquèrent leur expérience avec Ali, elles déclarèrent que la bandaison d’un sexe noir n’atteint pas la dureté d’un blanc, qu’un noir reste trop souple, parfois ça pose problème au moment de la pénétration, du moins avec celle d’Ali déclara Lison, Victoire ajoutant qu’elle avait eu la même impression avec ses deux amis noirs
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Softman a liké
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