- Aujourd’hui, 08:45
#2895738
Je vais finir le récit de la première nuit où G m’a raconté des détails, des anecdotes, des situations particulièrement excitantes de sa vie d’avant. J’en étais au moment où après deux histoires que j’ai adorées, elle entamait un troisième récit. Imaginez G, alternant entre une fellation délicieuse et le récit coquin de nuits enfiévrées. Je vivais un rêve éveillé. Je n’avais plus de doute ou de peur. Je voulais tout savoir. Je voulais qu’elle soit crue, vulgaire. Je voulais qu’elle me raconte comment ils l’avaient baisée. Comment ils l’avaient fait jouir. Comment elle les avaient sucés. Je voulais savoir où ils avaient joui. S’ils l’avaient marqué sur son cul, sur ses seins. J’étais libéré, et avide de tout. Et G le sentait. Elle a vraiment aimé me sentir aussi excité.
Son troisième récit commence dans une boîte de nuit d’une ville festive où elle a vécu quelques années. En soirée avec le garçon qu’elle fréquentait à l’époque. Quelques verres, l’ambiance qui monte.
Et soudain, il prend ma main et m’emmène avec lui. Il me guide jusqu’aux toilettes de la boîte. Je suis un peu pompette. Je le suis en rigolant. On rentre. Il referme derrière moi. Il m’embrasse, il me veut. Il sait ce qu’il veut. Il veut que je le suce. Il guide ma tête vers son sexe. Je me met à genoux et je défais sa ceinture. Il est déjà dur. En le regardant, je le prends dans ma bouche.
Ce récit est incroyable. C’est un shoot dans mes veines. Une décharge qui m’achève. Elle enchaîne :
La manière dont il l’a voulu, dont il m’a guidé… Le son de la fête derrière la cloison, les bruits de voix tout proche, le fait d’être dans ces toilettes… Ça m’a terriblement excitée. Je l’ai sucé comme ça, assez longtemps. Je levais les yeux pour le regarder prendre du plaisir. C’était bon, je me sentais coquine, incroyablement coquine. Rebelle. J’étais trempée.
À ce moment là, la tempête dans mon cerveau emporte tout sur son passage. Je la guide vers mon sexe. Je veux qu’elle me suce. Comme elle l’a sucé. J’ai une boule de jalousie dans le ventre, et en même temps, je suis plus dur et plus gros que je ne l’ai jamais été. Je ne réfléchis plus, je ressens des sensations inconnues, qui me débordent. C’est trop bon. Ma main claque sur son cul. Elle me rend folle. Je suis à deux doigts de jouir, mais je veux qu’elle continue son récit. Alors, je lui demande dans un souffle :
Tu l’as fait jouir ?
Et dans le même souffle, avec un sourire provocant, dont je me souviendrai toujours, elle me répond :
Oui, oh oui, je l’ai fait jouir avec ma bouche, dans ma bouche… Il a jouit fort en tenant ma tête…
Je n’en peux plus. J’ai des images plein la tête. De ma G, à genoux, un sexe dans la bouche, qui suce avec envie, dans ces toilettes de boite de nuit. Ma G si douce, si timide parfois. Qui sait être si coquine. Véritablement, ce soir là, je suis allé vers des ressentis encore inconnus. Je l’embrasse férocement. Elle sent la queue, ça ajoute à ma confusion. Je la caresse. Elle est absolument inondée. Je la fais jouir sur ma main, d’abord, en lui disant combien ses histoires m’ont excité. En lui disant qu’elle me rend fou. En lui disant que je l’aime. Elle explose dans un orgasme terrible, profond, puissant. Je la prends. Son parfum m’enivre. Elle sent la nuit, le sexe, le plaisir. Je la prends avec intensité. Son plaisir revient, le mien arrive, et on explose tous les deux. C’était incroyable.
Son troisième récit commence dans une boîte de nuit d’une ville festive où elle a vécu quelques années. En soirée avec le garçon qu’elle fréquentait à l’époque. Quelques verres, l’ambiance qui monte.
Et soudain, il prend ma main et m’emmène avec lui. Il me guide jusqu’aux toilettes de la boîte. Je suis un peu pompette. Je le suis en rigolant. On rentre. Il referme derrière moi. Il m’embrasse, il me veut. Il sait ce qu’il veut. Il veut que je le suce. Il guide ma tête vers son sexe. Je me met à genoux et je défais sa ceinture. Il est déjà dur. En le regardant, je le prends dans ma bouche.
Ce récit est incroyable. C’est un shoot dans mes veines. Une décharge qui m’achève. Elle enchaîne :
La manière dont il l’a voulu, dont il m’a guidé… Le son de la fête derrière la cloison, les bruits de voix tout proche, le fait d’être dans ces toilettes… Ça m’a terriblement excitée. Je l’ai sucé comme ça, assez longtemps. Je levais les yeux pour le regarder prendre du plaisir. C’était bon, je me sentais coquine, incroyablement coquine. Rebelle. J’étais trempée.
À ce moment là, la tempête dans mon cerveau emporte tout sur son passage. Je la guide vers mon sexe. Je veux qu’elle me suce. Comme elle l’a sucé. J’ai une boule de jalousie dans le ventre, et en même temps, je suis plus dur et plus gros que je ne l’ai jamais été. Je ne réfléchis plus, je ressens des sensations inconnues, qui me débordent. C’est trop bon. Ma main claque sur son cul. Elle me rend folle. Je suis à deux doigts de jouir, mais je veux qu’elle continue son récit. Alors, je lui demande dans un souffle :
Tu l’as fait jouir ?
Et dans le même souffle, avec un sourire provocant, dont je me souviendrai toujours, elle me répond :
Oui, oh oui, je l’ai fait jouir avec ma bouche, dans ma bouche… Il a jouit fort en tenant ma tête…
Je n’en peux plus. J’ai des images plein la tête. De ma G, à genoux, un sexe dans la bouche, qui suce avec envie, dans ces toilettes de boite de nuit. Ma G si douce, si timide parfois. Qui sait être si coquine. Véritablement, ce soir là, je suis allé vers des ressentis encore inconnus. Je l’embrasse férocement. Elle sent la queue, ça ajoute à ma confusion. Je la caresse. Elle est absolument inondée. Je la fais jouir sur ma main, d’abord, en lui disant combien ses histoires m’ont excité. En lui disant qu’elle me rend fou. En lui disant que je l’aime. Elle explose dans un orgasme terrible, profond, puissant. Je la prends. Son parfum m’enivre. Elle sent la nuit, le sexe, le plaisir. Je la prends avec intensité. Son plaisir revient, le mien arrive, et on explose tous les deux. C’était incroyable.