- 05 sept. 2024, 04:45
#2821597
Bonjour/Bonsoir à tous,
J’admets être un peu perplexe sur notre présence sur ce site mais on s’est dit : pourquoi pas ? Pour être honnête nous sommes au tout début de notre « aventure candauliste » et on ne voit d’ailleurs pas ça comme un but en soi, juste comme une option plausible ou non.
Je m’appelle C et je suis Parisien (et oui, personne n’est parfait). J’ai la trentaine, je fais 1m84 et suis mince sans être athlétique.
Ma compagne, M, est aussi Parisienne (comme quoi, les ennuis vont de paire), elle a aussi une petite trentaine, mesure 1m67 mais est par contre beaucoup plus fit que moi ! Ses quelques séances à la salle et surtout sa pratique du yoga lui ont donné un corps qui, je le remarque assez souvent, ne laisse pas indifférent. Et d’ailleurs hommes comme femmes, j’imagine qu’une fessier protubérant met tout le monde d’accord !
Nous sommes en couple depuis quatre ans et, je l’avoue, sans aucune ombre au tableau dont je pourrais me rappeler. On a tous les deux nos petits défauts, je suis bordélique, elle est maniaque, pas l’idéal, mais on s’aime encore plus.
On s’est rencontré par hasard chez un ami en commun qui fêtait son anniversaire chez lui. Elle est arrivée assez tard avec son petit-ami : elle était magnifique, robe blanche, à l’époque très mince mais déjà la plus belle où qu’elle aille. J’admets que j’étais déjà un peu entamé par l’alcool et j’ai passé ma soirée à la regarder le plus discrètement possible danser, parler, rigoler. Le vrai coup de foudre, bien qu’elle soit déjà accompagnée. Le lendemain matin j’ai pris mon courage à deux mains et après avoir fouillé le Facebook de mon ami, j’ai trouvé le sien. On a commencé à parler tous les jours de tout et de rien, au départ sans arrière-pensée (de sa part). Il n’y a jamais eu aucun sous-entendu de ma part, j’ai toujours respecté son couple et ai toujours fait en sorte de ne pas franchir de limite. Puis, le temps et peut-être la chance, son copain a dû partir finir ses fins de longues études à Lyon, et le couple a fini par se déliter.
Je sais ce que vous pensez et je penserais la même chose à votre place mais non, je ne l’ai pas poussé à le quitter (ça venait d’ailleurs plutôt de lui, elle le soupçonnait aussi d’avoir rencontré quelqu’un) et non je ne lui ai pas bondi dessus dès lors rupture. J’ai préféré respecter le deuil de son couple et en plus ne voulait pas devenir sa relation pansement, sans compter que lui faisait des allers/retours entre Lyon et Paris où sa famille habite, et logeait donc chez « eux » sans qu’il se passe quelque chose entre eux, bien que dormant dans le même lit. Là aussi je vous vois venir, et oui je la crois et de toute façon ça ne me regarde pas.
Nous avons commencé à sortir (dehors), dans des musées, des cafés, parfois des bars juste pour parler de tout et de rien, et au final rarement juste tous les deux. La plupart du temps on faisait quelque chose en fin d’après-midi et on retrouvait nos amis en commun le soir ou on rentrait chez nous. Après des mois comme ça je m’étais largement fait à l’idée d’être juste son ami et son confident, de toutes les manières je n’avais pas envie de forcer la relation et j’étais déjà très heureux de pouvoir être à ses côtés.
Puis elle a rencontré quelqu’un. De ce que j’ai compris ce n’est pas allé plus loin de que des baisers et une fois des préliminaires chez lui, et ça n’a pas duré. En revanche, je pense que ça lui a permis de complètement tourné la page avec son ex.
Un soir après notre presque habituelle sortie du weekend nous avons cherché à rejoindre des amis mais personne n’était disponible, c’était le début de l’été et tout le monde état soit débordé par le travail soit déjà parti en vacances. Nous avons décidé d’aller à un bar ouvert (et non open bar) au pied de la Tour Eiffel (les plus parisiens d’entre-vous reconnaitront ce « bar » qui a depuis fermé, le covid étant passé par là). Évidemment qui dit bar dit alcool, c’est vrai, et peut-être un peu plus que d’habitude : étant donné la fil qu’il fallait faire pendant de longues dizaines de minutes nous avons fini par acheter une (mauvaise) bouteille de rosé pour nous deux, que nous avons rapidement descendu avant de nous mettre à danser. Puis tout s’est enchainé, entre ses hanches contre moi, mes mains dans son dos, nous nous sommes embrassés là sans un mot au milieu de tout le monde pendant toute la soirée sans nous arrêter, comme deux ados.
Nous prenons ensuite un Uber pour rentrer chez elle pour « un dernier verre » mais je pense qu’elle comme moi savions à quoi nous attendre.
Son appartement était un peu étrange, comme figé dans le temps, toujours les photos avec son ex, une partie de ses affaires dans la salle de bain, dans le panier à linge sale (oui j’ai regardé), dans l’armoire, sa place du côté du lit etc. Ce n’est pas illogique qu’il vienne ici plutôt que de payer un hôtel pour voir ses proches, mais quand même, je l’ai déjà vu et j’ai un peu l’impression d’être le mauvais mec dans l’histoire.
Mais tout ça est effacé lorsqu’elle sort de la douche avec un long t-shirt de pyjama qui n’arrive pas à cacher la naissance de ses fesses où l’on devine un bête tanga noir. J’adore qu’elle n’ait pas sorti le grand jeu. Armée chacun d’une (encore mauvaise) bouteille de bière nous continuons à discuter de tout et de rien avec la télévision en fond qui évite les blancs. L’alcool fait de plus en plus effet et j’ai du mal à ne pas jeter des coups discret à son entre jambe qu’elle me laisse voir quelques centièmes de secondes lorsqu’elle se repositionne. En pyjama tout simple, elle est encore et toujours la plus belle.
Il se fait très tard et elle me dit qu’elle va aller se coucher, je me lève et me dirige vers l’entrée pour mettre mes chaussures. Elle me saisit par le poignet et m’embrasse en serrant son corps contre le mien, et nous allons machinalement dans sa chambre.
J’aurais dû mal à vous décrire parfaitement cette nuit, tant elle a été parfaite. J’avais l’impression de vivre une seconde première fois, sauf que celle-là n’était pas honteuse.
Je me doutais qu’elle avait un beau corps mais là, même dans la pénombre, il était incroyable. Une poitrine loin d’être petite, ronde avec des tétons durs et longs, une peau si douce que je sentais avoir la chair de poul à chaque passage de mes doigts. Un corps musclé, des abdominaux que je pouvais sentir sous ma main. Et, parce que je suis un homme simple, des fesses, très larges, qui détonnaient encore plus avec sa minceur.
Bêtement je pensais que des mois d’abstinence allait la rendre plus « frileuse », mais j’étais le moins entreprenant. Elle me demandant de changer de position, ou juste en se mettant à quatre pattes, cambrée, en me regardant sans rien dire pour que je la prenne. Je l’imaginais plutôt réservée, mais elle était plutôt à la manoeuvre, retirant elle même le préservatif pour que je vienne, la première fois sur son ventre, la deuxième fois sur ses fesses s’allongeant d’elle-même sur le ventre.
Un rêve éveillé, certes embrumé, mais dont je me rappellerai à vie. Je suis reparti le matin après avoir dormi à la place de son ex petit-ami et déjà je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’il s’était passé dans ce lit les mêmes choses qu’il s’était passé pour moi, que lui aussi était venu sur son corps, qu’il avait été dans sa bouche et qu’il l’avait agrippé par les hanches pour entendre le bruit de ses fesses contre son ventre.
La suite et celle qui vous intéresse vraiment a commencé récemment, il y a un an, où je me suis ouvert enfin pour la première à elle sur mes désirs « candaulistes » (même si je n’aime pas nous mettre dans une case) et nos premiers tous tous tous petits pas.
Au plaisir de vous lire et de vous écrire la suite !
ps : navré pour la censure, nous tenons, comme nos « noms » l’indiquent à notre anonymat MAIS, en cadeau une petite photo (habillée) de madame et celui qui trouve le nom de la plage aura gagné : mon éternel respect.
J’admets être un peu perplexe sur notre présence sur ce site mais on s’est dit : pourquoi pas ? Pour être honnête nous sommes au tout début de notre « aventure candauliste » et on ne voit d’ailleurs pas ça comme un but en soi, juste comme une option plausible ou non.
Je m’appelle C et je suis Parisien (et oui, personne n’est parfait). J’ai la trentaine, je fais 1m84 et suis mince sans être athlétique.
Ma compagne, M, est aussi Parisienne (comme quoi, les ennuis vont de paire), elle a aussi une petite trentaine, mesure 1m67 mais est par contre beaucoup plus fit que moi ! Ses quelques séances à la salle et surtout sa pratique du yoga lui ont donné un corps qui, je le remarque assez souvent, ne laisse pas indifférent. Et d’ailleurs hommes comme femmes, j’imagine qu’une fessier protubérant met tout le monde d’accord !
Nous sommes en couple depuis quatre ans et, je l’avoue, sans aucune ombre au tableau dont je pourrais me rappeler. On a tous les deux nos petits défauts, je suis bordélique, elle est maniaque, pas l’idéal, mais on s’aime encore plus.
On s’est rencontré par hasard chez un ami en commun qui fêtait son anniversaire chez lui. Elle est arrivée assez tard avec son petit-ami : elle était magnifique, robe blanche, à l’époque très mince mais déjà la plus belle où qu’elle aille. J’admets que j’étais déjà un peu entamé par l’alcool et j’ai passé ma soirée à la regarder le plus discrètement possible danser, parler, rigoler. Le vrai coup de foudre, bien qu’elle soit déjà accompagnée. Le lendemain matin j’ai pris mon courage à deux mains et après avoir fouillé le Facebook de mon ami, j’ai trouvé le sien. On a commencé à parler tous les jours de tout et de rien, au départ sans arrière-pensée (de sa part). Il n’y a jamais eu aucun sous-entendu de ma part, j’ai toujours respecté son couple et ai toujours fait en sorte de ne pas franchir de limite. Puis, le temps et peut-être la chance, son copain a dû partir finir ses fins de longues études à Lyon, et le couple a fini par se déliter.
Je sais ce que vous pensez et je penserais la même chose à votre place mais non, je ne l’ai pas poussé à le quitter (ça venait d’ailleurs plutôt de lui, elle le soupçonnait aussi d’avoir rencontré quelqu’un) et non je ne lui ai pas bondi dessus dès lors rupture. J’ai préféré respecter le deuil de son couple et en plus ne voulait pas devenir sa relation pansement, sans compter que lui faisait des allers/retours entre Lyon et Paris où sa famille habite, et logeait donc chez « eux » sans qu’il se passe quelque chose entre eux, bien que dormant dans le même lit. Là aussi je vous vois venir, et oui je la crois et de toute façon ça ne me regarde pas.
Nous avons commencé à sortir (dehors), dans des musées, des cafés, parfois des bars juste pour parler de tout et de rien, et au final rarement juste tous les deux. La plupart du temps on faisait quelque chose en fin d’après-midi et on retrouvait nos amis en commun le soir ou on rentrait chez nous. Après des mois comme ça je m’étais largement fait à l’idée d’être juste son ami et son confident, de toutes les manières je n’avais pas envie de forcer la relation et j’étais déjà très heureux de pouvoir être à ses côtés.
Puis elle a rencontré quelqu’un. De ce que j’ai compris ce n’est pas allé plus loin de que des baisers et une fois des préliminaires chez lui, et ça n’a pas duré. En revanche, je pense que ça lui a permis de complètement tourné la page avec son ex.
Un soir après notre presque habituelle sortie du weekend nous avons cherché à rejoindre des amis mais personne n’était disponible, c’était le début de l’été et tout le monde état soit débordé par le travail soit déjà parti en vacances. Nous avons décidé d’aller à un bar ouvert (et non open bar) au pied de la Tour Eiffel (les plus parisiens d’entre-vous reconnaitront ce « bar » qui a depuis fermé, le covid étant passé par là). Évidemment qui dit bar dit alcool, c’est vrai, et peut-être un peu plus que d’habitude : étant donné la fil qu’il fallait faire pendant de longues dizaines de minutes nous avons fini par acheter une (mauvaise) bouteille de rosé pour nous deux, que nous avons rapidement descendu avant de nous mettre à danser. Puis tout s’est enchainé, entre ses hanches contre moi, mes mains dans son dos, nous nous sommes embrassés là sans un mot au milieu de tout le monde pendant toute la soirée sans nous arrêter, comme deux ados.
Nous prenons ensuite un Uber pour rentrer chez elle pour « un dernier verre » mais je pense qu’elle comme moi savions à quoi nous attendre.
Son appartement était un peu étrange, comme figé dans le temps, toujours les photos avec son ex, une partie de ses affaires dans la salle de bain, dans le panier à linge sale (oui j’ai regardé), dans l’armoire, sa place du côté du lit etc. Ce n’est pas illogique qu’il vienne ici plutôt que de payer un hôtel pour voir ses proches, mais quand même, je l’ai déjà vu et j’ai un peu l’impression d’être le mauvais mec dans l’histoire.
Mais tout ça est effacé lorsqu’elle sort de la douche avec un long t-shirt de pyjama qui n’arrive pas à cacher la naissance de ses fesses où l’on devine un bête tanga noir. J’adore qu’elle n’ait pas sorti le grand jeu. Armée chacun d’une (encore mauvaise) bouteille de bière nous continuons à discuter de tout et de rien avec la télévision en fond qui évite les blancs. L’alcool fait de plus en plus effet et j’ai du mal à ne pas jeter des coups discret à son entre jambe qu’elle me laisse voir quelques centièmes de secondes lorsqu’elle se repositionne. En pyjama tout simple, elle est encore et toujours la plus belle.
Il se fait très tard et elle me dit qu’elle va aller se coucher, je me lève et me dirige vers l’entrée pour mettre mes chaussures. Elle me saisit par le poignet et m’embrasse en serrant son corps contre le mien, et nous allons machinalement dans sa chambre.
J’aurais dû mal à vous décrire parfaitement cette nuit, tant elle a été parfaite. J’avais l’impression de vivre une seconde première fois, sauf que celle-là n’était pas honteuse.
Je me doutais qu’elle avait un beau corps mais là, même dans la pénombre, il était incroyable. Une poitrine loin d’être petite, ronde avec des tétons durs et longs, une peau si douce que je sentais avoir la chair de poul à chaque passage de mes doigts. Un corps musclé, des abdominaux que je pouvais sentir sous ma main. Et, parce que je suis un homme simple, des fesses, très larges, qui détonnaient encore plus avec sa minceur.
Bêtement je pensais que des mois d’abstinence allait la rendre plus « frileuse », mais j’étais le moins entreprenant. Elle me demandant de changer de position, ou juste en se mettant à quatre pattes, cambrée, en me regardant sans rien dire pour que je la prenne. Je l’imaginais plutôt réservée, mais elle était plutôt à la manoeuvre, retirant elle même le préservatif pour que je vienne, la première fois sur son ventre, la deuxième fois sur ses fesses s’allongeant d’elle-même sur le ventre.
Un rêve éveillé, certes embrumé, mais dont je me rappellerai à vie. Je suis reparti le matin après avoir dormi à la place de son ex petit-ami et déjà je ne pouvais m’empêcher de me dire qu’il s’était passé dans ce lit les mêmes choses qu’il s’était passé pour moi, que lui aussi était venu sur son corps, qu’il avait été dans sa bouche et qu’il l’avait agrippé par les hanches pour entendre le bruit de ses fesses contre son ventre.
La suite et celle qui vous intéresse vraiment a commencé récemment, il y a un an, où je me suis ouvert enfin pour la première à elle sur mes désirs « candaulistes » (même si je n’aime pas nous mettre dans une case) et nos premiers tous tous tous petits pas.
Au plaisir de vous lire et de vous écrire la suite !
ps : navré pour la censure, nous tenons, comme nos « noms » l’indiquent à notre anonymat MAIS, en cadeau une petite photo (habillée) de madame et celui qui trouve le nom de la plage aura gagné : mon éternel respect.
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