- 03 mars 2023, 15:21
#2695122
Juillet 2021, Excitation-frustration.
Je suis assis sur mon lit dans ma chambre d’hôtel, il est 2h du mat et je ne peux pas dormir. J’ai l’impression de devenir fou. Mon cœur bat à tout rompre car j’imagine... Je ne fais que ça, imaginer. Depuis plusieurs heures, j’imagine et je ne me sens pas bien, pas bien du tout. Le pire c’est que je suis hyper excité aussi ! C’est complètement stupide de s’imposer un truc pareil et pourtant, c’est moi qui l’ai voulu ! Je me lève pour la énième fois pour aller boire un peu d’eau au robinet de la salle de bain. Je tremble de partout et j’ai le ventre tellement crispé que j’en ai presque envie de vomir.
Plus d’une fois, je m’étais demandé : Et si Je n’étais pas là, présent pour voir en directe... Plus d’une fois, je m’étais imaginé seul, attendant des nouvelles de ma coquine parti avec un autre pour « s’envoyer en l’air ». A chaque fois le simple fait de l’imaginer en train de se faire baiser sans que je sois là pour participer me faisait bander. Mais je savais au fond de moi que la réalité pouvait être toute autre. Excitation, plaisir ou frustration, je ne savais pas ce que je ressentirai dans une telle situation. Nous en avions discuté avec Marine. Pour elle, nul besoin d’expérimenter un truc pareil, elle adorait me voir excité par ce qu’elle faisait devant moi. Mon côté voyeur amplifiait son propre plaisir. Et puis, elle adorait que je la prenne juste après l’autre.
Mais moi, j’y pensais de plus en plus. Moi, j’avais de plus en plus envie de savoir... Et il y avait eu cette première tentative, il y a trois semaines.
Bien installé devant mon PC, au bureau, j’avais reçu un message de « Tu as le bonjour de Fab ! Figures toi que je dois aller vérifier un état des lieux à notre agence d’Issoire et c’est lui qui m’y emmène ! Il est venu très tôt ce matin chez nous pour régler une histoire de facture avec notre comptable et comme il repartait là-bas... Je trouverai bien quelqu’un pour me ramener sur Clermont dans l’aprèm ! ». J’avais cogité pendant quelques minutes. Je les avais imaginé tous les deux dans la voiture, leur envie réciproque de se toucher peut-être... J’avais regardé l’heure de réception de son message et en avais déduit qu’ils étaient sur la voie expresse, peut-être pas loin de la partie sinueuse le long de l’Allier. J’avais basculé sur notre groupe à trois sur WhatsAapp. J’étais sûr que Marine allait le consulter dès qu’elle entendrait le son de la notification.
_ Vous êtes sur la route ?
Quelques secondes plus tard :
_ Oui, on n’est pas loin de Coudes.
J’avais bien calculé... C’était étrange, je me sentais comme un gamin prêt à faire une bêtise. J’avais hésité, encore et encore. Et puis merde après tout, je ne risquais rien et autant y aller directe :
_ J’ai envi que vous fassiez des trucs... Là, maintenant.
_ Quel truc ?
_ Ben du genre tu baisse ton pantalon pour lui montrer ta culotte par exemple...
_ Naaannn tu es complètement malade ! Franchement c’est du n’importe quoi !
_ Et si tu demandais à Fabien ce qu’il en pense ?
Silence. Je m’étais senti de plus en plus fébrile, les mains tremblantes, des frissons un peu partout, tendu. C’’était fou de ressentir une telle émotion pour si peu de chose... Et puis mon téléphone s’était enfin illuminé et j’avais lu :
_ Rhhhôôôô, il est aussi fou que toi ! Il trouve ton idée excellente ! Franchement, vous ne pensez qu’à ça.
_ Ouai, ouai, ouai, je suis sûr que maintenant, tu en as autant envie que nous. Ose dire le contraire !
_ Pfff, la voiture est petite, tu parles que c’est pratique... Et tu veux qu’on fasse comment ? Tu veux des photos ?
Là, j’avais jubilé. Tu parles que ça la gênait... Quelle comédienne, j’étais sûr qu’elle en avait autant envie que nous, oui !
Je la connais tellement bien, ma coquine. J’étais sûr qu’elle mouillait déjà un peu.
_ Ben tu baisse ton pantalon et tu m’envoies la photo...
Ma nervosité était montée d’un cran. Je me souviens que j’avais du mal à respirer tellement je me sentais oppressé, comme si une ceinture me serrait la poitrine. Ce jeu me mettait une pression de dingue et j’avais commencé, déjà, à me dire que c’était trop con que je ne sois pas avec eux. J’avais tout imaginé ! Elle défaisait son jean, baissait la fermeture éclaire puis soulevait ses fesses pour faire glisser le pantalon sur ses cuisses. Je ne me souvenais plus de la culotte qu’elle avait mise ce matin là...
La réponse était arrivée quelques instants plus tard et la conversation était brutalement devenue plus torride :
Silence... Au bout de quelques minutes, impatient, j’avais relancé l’échange.
La journée m’avait paru terriblement longue. Jamais, je ne m’étais senti aussi mal. Je bandais dès que je les imaginais dans cette voiture et en même temps, une sorte d’angoisse me serrait la gorge. J’avais beau être au courant et me dire que finalement, ils n’avaient pas fait grand-chose, rien n’avait pu me calmer.
Le soir, a peine rentrée, nous nous étions retrouvés au lit. Marine était aussi excitée que moi et nous avions baisé comme des fous. Tout cela nous avait excités au-delà de ce qu’on aurait pu imaginer... Nous avons essayé, ensuite, d’analyser chacun nos ressentis respectifs.
Pour moi, une excitation intense mais aussi, une frustration insupportable. Une sorte de jalousie sexuelle m’avait envahi dès la première photo. J’avais eu l’impression qu’on me privait de quelque chose. Je pensais être à l’abri de cela mais je m’étais trompé. Mon coté voyeur ne pouvait être assouvi pleinement que si j’étais présent physiquement.
Pour Marine aussi, l’expérience avait été mitigée. Elle avait pris du plaisir, beaucoup de plaisir à prendre les photos et à me les envoyer. Elle avait eu terriblement envie de baiser avec Fabien mais en même temps, ce n’était plus un vrai partage pour elle. Mon regard gourmand n’étant pas là, son coté exhib n’avait pas été pleinement satisfait...
Et pourtant, l’excitation avait été là, d’une intensité folle pour chacun de nous. J’avais fini par avouer à ma coquine que si l’occasion se présentait, je n’étais pas contre le fait de recommencer l’expérience. Je voulais de nouveau vivre cela, pour voir si cela provoquerait la même chose que la première fois.
Je regarde ma montre encore une fois et toujours pas de nouvelles. Je m’appuis sur le rebord du lavabo en me traitant de nul. Je l’ai voulu, j’y suis ! Je ne pensais pas que l’occasion se présenterait aussi rapidement en fait.
Mon déplacement sur dix jours était prévu depuis longtemps et la soirée « pot de départ à la retraite » d’un collègue de Marine aussi. Par contre, le fait que Fabien soit invité à cette même soirée au dernier moment, ça, ce n’était pas prévu !
Marine m’en avait parlé la veille et j’avais immédiatement vu l’opportunité tant attendu. J’avais passé la soirée dans ma chambre d’hôtel à me faire des films dans la tête. Je les avais imaginé ensemble, en train de baiser n’importe où, dans la voiture, dans un recoin d’un bâtiment, un placard, peu importait. Le seul fait de les imaginer m’avait fait bander comme un malade. J’avais même fini par me soulager au-dessus de ce foutu lavabo sur lequel je m’appuis maintenant.
Ce matin, j’avais appelé ma coquine, comme tous les matins et je lui avais immédiatement suggéré mon idée ou plutôt mon envie. Elle avait ri avant de me demander si j’étais sûr de vouloir ce genre de chose. Ne serai-je pas trop frustré ? Pourrait-elle se lâcher vraiment en mon absence ? On en avait discuté pendant presque une heure. J’avais tout fait pour la rassurer et la convaincre que c’était une expérience de plus et que si cela ne nous convenait pas, on ne recommencerait plus ! Finalement, j’avais fini par la rassurer suffisamment pour qu’elle accepte le jeu. Elle y mettait une condition, elle voulait que j’en parle avec Fabien sans qu’elle ne soit mêlée à la conversation... Elle ne voulait pas prendre d’initiative. A nous, les hommes, d’organiser cela, elle suivrait, ou pas, selon ses envies...
J’avais immédiatement contacté Fabien et lui avait rapporté la conversation que nous avions eu avec Marine, il était ravi ! Il m’avait même avoué qu’il avait l’intention de m’appeler pour me dire que depuis qu’il avait reçu l’invitation, lui aussi s’était imaginé plein de choses. Sophie ne venant pas, il n’arrêtait pas de penser à cette soirée et surtout à Marine. Il voulait m’en parler mais là, il était aux anges vu que c’est moi qui lui proposais.
En tant que mari absent, j’avais des envies que je lui avais aussitôt exposées. Je ne voulais être en contact qu’avec lui, sur WhatsApp pour garder une trace pour plus tard. Je voulais qu’il prenne des photos et me les envoie tout de suite, en direct, quand ce serait possible. Je ne voulais pas que cela soit trop intrusif non plus, à eux de voir...
J’étais sûr que le fait de rater un tel moment allait provoquer chez moi une frustration terrible. Je n’avais donc eu aucun scrupule à imposer mes conditions. En plus, j’étais sûr que ce petit jeu de photos et de communication avec moi à distance les exciterait autant que moi.
J’avais passé ensuite la pire journée de mon existence, enfermé dans une salle, en formation professionnelle, à penser à toute autre chose...
(à suivre)
Je suis assis sur mon lit dans ma chambre d’hôtel, il est 2h du mat et je ne peux pas dormir. J’ai l’impression de devenir fou. Mon cœur bat à tout rompre car j’imagine... Je ne fais que ça, imaginer. Depuis plusieurs heures, j’imagine et je ne me sens pas bien, pas bien du tout. Le pire c’est que je suis hyper excité aussi ! C’est complètement stupide de s’imposer un truc pareil et pourtant, c’est moi qui l’ai voulu ! Je me lève pour la énième fois pour aller boire un peu d’eau au robinet de la salle de bain. Je tremble de partout et j’ai le ventre tellement crispé que j’en ai presque envie de vomir.
Plus d’une fois, je m’étais demandé : Et si Je n’étais pas là, présent pour voir en directe... Plus d’une fois, je m’étais imaginé seul, attendant des nouvelles de ma coquine parti avec un autre pour « s’envoyer en l’air ». A chaque fois le simple fait de l’imaginer en train de se faire baiser sans que je sois là pour participer me faisait bander. Mais je savais au fond de moi que la réalité pouvait être toute autre. Excitation, plaisir ou frustration, je ne savais pas ce que je ressentirai dans une telle situation. Nous en avions discuté avec Marine. Pour elle, nul besoin d’expérimenter un truc pareil, elle adorait me voir excité par ce qu’elle faisait devant moi. Mon côté voyeur amplifiait son propre plaisir. Et puis, elle adorait que je la prenne juste après l’autre.
Mais moi, j’y pensais de plus en plus. Moi, j’avais de plus en plus envie de savoir... Et il y avait eu cette première tentative, il y a trois semaines.
Bien installé devant mon PC, au bureau, j’avais reçu un message de « Tu as le bonjour de Fab ! Figures toi que je dois aller vérifier un état des lieux à notre agence d’Issoire et c’est lui qui m’y emmène ! Il est venu très tôt ce matin chez nous pour régler une histoire de facture avec notre comptable et comme il repartait là-bas... Je trouverai bien quelqu’un pour me ramener sur Clermont dans l’aprèm ! ». J’avais cogité pendant quelques minutes. Je les avais imaginé tous les deux dans la voiture, leur envie réciproque de se toucher peut-être... J’avais regardé l’heure de réception de son message et en avais déduit qu’ils étaient sur la voie expresse, peut-être pas loin de la partie sinueuse le long de l’Allier. J’avais basculé sur notre groupe à trois sur WhatsAapp. J’étais sûr que Marine allait le consulter dès qu’elle entendrait le son de la notification.
_ Vous êtes sur la route ?
Quelques secondes plus tard :
_ Oui, on n’est pas loin de Coudes.
J’avais bien calculé... C’était étrange, je me sentais comme un gamin prêt à faire une bêtise. J’avais hésité, encore et encore. Et puis merde après tout, je ne risquais rien et autant y aller directe :
_ J’ai envi que vous fassiez des trucs... Là, maintenant.
_ Quel truc ?
_ Ben du genre tu baisse ton pantalon pour lui montrer ta culotte par exemple...
_ Naaannn tu es complètement malade ! Franchement c’est du n’importe quoi !
_ Et si tu demandais à Fabien ce qu’il en pense ?
Silence. Je m’étais senti de plus en plus fébrile, les mains tremblantes, des frissons un peu partout, tendu. C’’était fou de ressentir une telle émotion pour si peu de chose... Et puis mon téléphone s’était enfin illuminé et j’avais lu :
_ Rhhhôôôô, il est aussi fou que toi ! Il trouve ton idée excellente ! Franchement, vous ne pensez qu’à ça.
_ Ouai, ouai, ouai, je suis sûr que maintenant, tu en as autant envie que nous. Ose dire le contraire !
_ Pfff, la voiture est petite, tu parles que c’est pratique... Et tu veux qu’on fasse comment ? Tu veux des photos ?
Là, j’avais jubilé. Tu parles que ça la gênait... Quelle comédienne, j’étais sûr qu’elle en avait autant envie que nous, oui !
Je la connais tellement bien, ma coquine. J’étais sûr qu’elle mouillait déjà un peu.
_ Ben tu baisse ton pantalon et tu m’envoies la photo...
Ma nervosité était montée d’un cran. Je me souviens que j’avais du mal à respirer tellement je me sentais oppressé, comme si une ceinture me serrait la poitrine. Ce jeu me mettait une pression de dingue et j’avais commencé, déjà, à me dire que c’était trop con que je ne sois pas avec eux. J’avais tout imaginé ! Elle défaisait son jean, baissait la fermeture éclaire puis soulevait ses fesses pour faire glisser le pantalon sur ses cuisses. Je ne me souvenais plus de la culotte qu’elle avait mise ce matin là...
La réponse était arrivée quelques instants plus tard et la conversation était brutalement devenue plus torride :
Silence... Au bout de quelques minutes, impatient, j’avais relancé l’échange.
La journée m’avait paru terriblement longue. Jamais, je ne m’étais senti aussi mal. Je bandais dès que je les imaginais dans cette voiture et en même temps, une sorte d’angoisse me serrait la gorge. J’avais beau être au courant et me dire que finalement, ils n’avaient pas fait grand-chose, rien n’avait pu me calmer.
Le soir, a peine rentrée, nous nous étions retrouvés au lit. Marine était aussi excitée que moi et nous avions baisé comme des fous. Tout cela nous avait excités au-delà de ce qu’on aurait pu imaginer... Nous avons essayé, ensuite, d’analyser chacun nos ressentis respectifs.
Pour moi, une excitation intense mais aussi, une frustration insupportable. Une sorte de jalousie sexuelle m’avait envahi dès la première photo. J’avais eu l’impression qu’on me privait de quelque chose. Je pensais être à l’abri de cela mais je m’étais trompé. Mon coté voyeur ne pouvait être assouvi pleinement que si j’étais présent physiquement.
Pour Marine aussi, l’expérience avait été mitigée. Elle avait pris du plaisir, beaucoup de plaisir à prendre les photos et à me les envoyer. Elle avait eu terriblement envie de baiser avec Fabien mais en même temps, ce n’était plus un vrai partage pour elle. Mon regard gourmand n’étant pas là, son coté exhib n’avait pas été pleinement satisfait...
Et pourtant, l’excitation avait été là, d’une intensité folle pour chacun de nous. J’avais fini par avouer à ma coquine que si l’occasion se présentait, je n’étais pas contre le fait de recommencer l’expérience. Je voulais de nouveau vivre cela, pour voir si cela provoquerait la même chose que la première fois.
Je regarde ma montre encore une fois et toujours pas de nouvelles. Je m’appuis sur le rebord du lavabo en me traitant de nul. Je l’ai voulu, j’y suis ! Je ne pensais pas que l’occasion se présenterait aussi rapidement en fait.
Mon déplacement sur dix jours était prévu depuis longtemps et la soirée « pot de départ à la retraite » d’un collègue de Marine aussi. Par contre, le fait que Fabien soit invité à cette même soirée au dernier moment, ça, ce n’était pas prévu !
Marine m’en avait parlé la veille et j’avais immédiatement vu l’opportunité tant attendu. J’avais passé la soirée dans ma chambre d’hôtel à me faire des films dans la tête. Je les avais imaginé ensemble, en train de baiser n’importe où, dans la voiture, dans un recoin d’un bâtiment, un placard, peu importait. Le seul fait de les imaginer m’avait fait bander comme un malade. J’avais même fini par me soulager au-dessus de ce foutu lavabo sur lequel je m’appuis maintenant.
Ce matin, j’avais appelé ma coquine, comme tous les matins et je lui avais immédiatement suggéré mon idée ou plutôt mon envie. Elle avait ri avant de me demander si j’étais sûr de vouloir ce genre de chose. Ne serai-je pas trop frustré ? Pourrait-elle se lâcher vraiment en mon absence ? On en avait discuté pendant presque une heure. J’avais tout fait pour la rassurer et la convaincre que c’était une expérience de plus et que si cela ne nous convenait pas, on ne recommencerait plus ! Finalement, j’avais fini par la rassurer suffisamment pour qu’elle accepte le jeu. Elle y mettait une condition, elle voulait que j’en parle avec Fabien sans qu’elle ne soit mêlée à la conversation... Elle ne voulait pas prendre d’initiative. A nous, les hommes, d’organiser cela, elle suivrait, ou pas, selon ses envies...
J’avais immédiatement contacté Fabien et lui avait rapporté la conversation que nous avions eu avec Marine, il était ravi ! Il m’avait même avoué qu’il avait l’intention de m’appeler pour me dire que depuis qu’il avait reçu l’invitation, lui aussi s’était imaginé plein de choses. Sophie ne venant pas, il n’arrêtait pas de penser à cette soirée et surtout à Marine. Il voulait m’en parler mais là, il était aux anges vu que c’est moi qui lui proposais.
En tant que mari absent, j’avais des envies que je lui avais aussitôt exposées. Je ne voulais être en contact qu’avec lui, sur WhatsApp pour garder une trace pour plus tard. Je voulais qu’il prenne des photos et me les envoie tout de suite, en direct, quand ce serait possible. Je ne voulais pas que cela soit trop intrusif non plus, à eux de voir...
J’étais sûr que le fait de rater un tel moment allait provoquer chez moi une frustration terrible. Je n’avais donc eu aucun scrupule à imposer mes conditions. En plus, j’étais sûr que ce petit jeu de photos et de communication avec moi à distance les exciterait autant que moi.
J’avais passé ensuite la pire journée de mon existence, enfermé dans une salle, en formation professionnelle, à penser à toute autre chose...
(à suivre)
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