- 13 mars 2020, 04:07
#2402861
Couple marié :
nous avons dès le début découvert nos envies communes de sexe à plusieurs.
Notre premier trio était avec une femme ; je fus alors surpris de voir mon épouse très active et totalement libérée, sans aucune gêne devant moi. Elle m'assura que c'était une première.
Le lendemain, je lui proposais lui rendre la pareille en invitant un homme.
Elle ne se fit pas prier ... oui, mais avec qui ?
Nous décidâmes de répondre à des annonces internet.
Ma femme avait tout de même ses exigences : l'heureux élu devrait être respectueux, pas moche ni barbu, discret, de bonne hygiène, bien foutu. Elle me chargea de trier les réponses reçues, les lui présenter, avec au moins une photo.
Ainsi, chaque soir durant une bonne dizaine de jours, je lui présentais ma petite sélection.
Il y eut rarement des jours sans.
Nous avons rapidement constaté que cela nous excitait mutuellement.
Un beau soir, elle me dit simplement de faire venir chez nous un certain Philippe.
- "Propose-lui samedi vers 19 heures !"
Je fus surpris de sa décision, et dois reconnaître que je sentis un léger picotement.
Oui, nous nous aimions. Allions-nous vraiment franchir le cap ?
Serais-je jaloux ?
Le lendemain matin, j'écrivis à ce Philippe... il me répondit presque aussitôt, favorablement,
réclamant lui aussi une photo de ma chérie ; je lui envoyai.
A son retour du travail, j'annonçai à ma femme le rdv établi pour le prochain samedi.
- " Ah bon, es-tu vraiment sûr ? " me questionna-t-elle, alors que je détectai dans ses yeux une lueur jusqu'alors inconnue.
- " oui, nous avons bien invité une femme, je te rends la pareille. "
Le samedi arriva. Dans l'après-midi, elle me demanda d'acheter une bouteille de champ et des bougies ... que je devais préparer une musique douce, me faire beau.
A mon retour, je fus surpris du parfum enivrant qui régnait dans le salon, elle avait fait bruler de l'encens, et de voir ma femme maquillée comme jamais, portant une sorte de petit kimono en soie noire, très court.
- " wowww ... dis donc ... vachement sexy tu es ma chérie ! "
Elle sourit timidement, sans répondre.
La sonnette retentit 5 minutes avant 19 heures. Elle me demanda d'aller ouvrir.
J'accueillis ce Philippe, un homme grand, très convenable, presque trop poli,
avec un bouquet de roses blanches qu'il tenait maladroitement.
Je le guidais au salon ; ma femme attendait, assise sur le canapé, le haut de son kimono plutôt relâché, dévoilait la naissance de ses jolis seins.
"Quelle petite salope" me dis-je !
Notre Philipe, quelque peu ému, très courtois, lui tendit le bouquet.
Elle était ravie de cette attention.
Un peu gauches, nous parlions de banalités.
Je me surpris moi-même en me levant d'un des fauteuils, proposant d'aller chercher un rafraichissement sympathique dans la cuisine.
Quand je revins 3 minutes plus tard, je fus saisi de stupeur devant le tableau qu'ils m'offraient :
Philippe s'était approché de mon épouse toujours assise à sa place, de ses deux mains il lui tenait la tête .. et lui baisais plutôt vigoureusement sa belle bouche.
C'était autant inattendu que merveilleux à voir.
Philippe me dit : - "on fait connaissance ... tu permets ? "
Je répondis : - " euh .. bin oui ! "
Je vins m'asseoir aux côtés de mon épouse, lui ouvrai complètement son minuscule kimono, lui caressai un sein ... et dis à ma femme : " c'est bien mon amour, tu es belle, fais-toi plaisir...". Elle marmonna des sons inaudibles, la bite de Philippe, bien plantée entre ses lèvres, alternait des va et vient tantôt rapides, tantôt lents..
Ma femme ne le suçait pas ; il lui baisait sa belle bouche, ça semblait lui plaire, car ses deux mains s'étaient calées sur le haut des 2 cuisses de notre invité.
Je voyais la salive qui s'échappait d'entre ses lèvres ;
Philippe vint lui pincer presque un peu fort le téton de son autre sein,
ce qui fit alors ouvrir encore plus grand l'espace d'une seconde sa bouche baveuse.
Ce salopard en profita pour s'enfoncer jusqu'aux couilles, lui maintenant fortement la tête, et ne bougea plus. Dans un rictus, sans me regarder, je l'entendis dire :
- " P'tain, j'vais lui cracher dans sa jolie gueule !"
... suivi d'un "...Tu veux ?" qui ne m'était pas destiné.
Ma femme émis un son rauque, un peu long, comme un acquiescement.
De sa main droite, elle pris les testicules de Philippe qu'elle emprisonna fermement.
J'entendis notre hôte qui poussa un râle impressionnant et qui dura de longues secondes.
Il jouissait dans sa gorge. Je me mis à bander incroyablement, excité par la scène.
Un peu de sperme s'écoulait de sa bouche.
Ma petite salope appréciait bougrement : alors que Philippe s'était immobilisé et avait relâché sa tête, c'était elle maintenant qui le suçait, tranquillement, doucement, puis lui lapait son gland tout blanchâtre de son foutre. Je la vis avaler un peu de son nectar.
Elle me regarda enfin et me dit : - " vraiment trop bon ! " avant de le reprendre en tendresse dans sa bouche, longuement, très longuement.
...et moi, je bandais comme jamais ! Incroyable !
Elle me dit : " dis donc, on dirait que ça t'excite ? " en me caressant la bite.
- " Bin oui ... ! "
Philippe en souriant alla rejoindre son fauteuil.
Ma femme avala alors ce qui restait de l'offrande masculine, et lança à Philippe :
- " t'avais vachement beaucoup ! "
De ses lèvres encore humides et brillantes, elle s'approcha de moi et vint déposer un baiser sur les miennes, avant de m'embrasser pour de bon. Ce fut la première fois que je testais la saveur d'un autre mâle. je fus surpris de constater que ça ne me déplaisait pas.
Inutile de raconter la suite, nous baisâmes jusqu'au dimanche matin.
Ma femme eut droit à sa première double, le soussigné la sodomisant
comme un petite salope qu'elle est.
Depuis, les années ont passé. Nous avons eu d'autres rencontres.
Elle me traite de cocu chaque fois qu'un homme, parfois deux, se joignent à nous.
J'assume et reconnais que ça m'excite d'offrir ma femme adorée à d'autres.
Il paraitrait que ce n'est pas normal.
Merci de vos avis ou autres commentaires.
A et A
nous avons dès le début découvert nos envies communes de sexe à plusieurs.
Notre premier trio était avec une femme ; je fus alors surpris de voir mon épouse très active et totalement libérée, sans aucune gêne devant moi. Elle m'assura que c'était une première.
Le lendemain, je lui proposais lui rendre la pareille en invitant un homme.
Elle ne se fit pas prier ... oui, mais avec qui ?
Nous décidâmes de répondre à des annonces internet.
Ma femme avait tout de même ses exigences : l'heureux élu devrait être respectueux, pas moche ni barbu, discret, de bonne hygiène, bien foutu. Elle me chargea de trier les réponses reçues, les lui présenter, avec au moins une photo.
Ainsi, chaque soir durant une bonne dizaine de jours, je lui présentais ma petite sélection.
Il y eut rarement des jours sans.
Nous avons rapidement constaté que cela nous excitait mutuellement.
Un beau soir, elle me dit simplement de faire venir chez nous un certain Philippe.
- "Propose-lui samedi vers 19 heures !"
Je fus surpris de sa décision, et dois reconnaître que je sentis un léger picotement.
Oui, nous nous aimions. Allions-nous vraiment franchir le cap ?
Serais-je jaloux ?
Le lendemain matin, j'écrivis à ce Philippe... il me répondit presque aussitôt, favorablement,
réclamant lui aussi une photo de ma chérie ; je lui envoyai.
A son retour du travail, j'annonçai à ma femme le rdv établi pour le prochain samedi.
- " Ah bon, es-tu vraiment sûr ? " me questionna-t-elle, alors que je détectai dans ses yeux une lueur jusqu'alors inconnue.
- " oui, nous avons bien invité une femme, je te rends la pareille. "
Le samedi arriva. Dans l'après-midi, elle me demanda d'acheter une bouteille de champ et des bougies ... que je devais préparer une musique douce, me faire beau.
A mon retour, je fus surpris du parfum enivrant qui régnait dans le salon, elle avait fait bruler de l'encens, et de voir ma femme maquillée comme jamais, portant une sorte de petit kimono en soie noire, très court.
- " wowww ... dis donc ... vachement sexy tu es ma chérie ! "
Elle sourit timidement, sans répondre.
La sonnette retentit 5 minutes avant 19 heures. Elle me demanda d'aller ouvrir.
J'accueillis ce Philippe, un homme grand, très convenable, presque trop poli,
avec un bouquet de roses blanches qu'il tenait maladroitement.
Je le guidais au salon ; ma femme attendait, assise sur le canapé, le haut de son kimono plutôt relâché, dévoilait la naissance de ses jolis seins.
"Quelle petite salope" me dis-je !
Notre Philipe, quelque peu ému, très courtois, lui tendit le bouquet.
Elle était ravie de cette attention.
Un peu gauches, nous parlions de banalités.
Je me surpris moi-même en me levant d'un des fauteuils, proposant d'aller chercher un rafraichissement sympathique dans la cuisine.
Quand je revins 3 minutes plus tard, je fus saisi de stupeur devant le tableau qu'ils m'offraient :
Philippe s'était approché de mon épouse toujours assise à sa place, de ses deux mains il lui tenait la tête .. et lui baisais plutôt vigoureusement sa belle bouche.
C'était autant inattendu que merveilleux à voir.
Philippe me dit : - "on fait connaissance ... tu permets ? "
Je répondis : - " euh .. bin oui ! "
Je vins m'asseoir aux côtés de mon épouse, lui ouvrai complètement son minuscule kimono, lui caressai un sein ... et dis à ma femme : " c'est bien mon amour, tu es belle, fais-toi plaisir...". Elle marmonna des sons inaudibles, la bite de Philippe, bien plantée entre ses lèvres, alternait des va et vient tantôt rapides, tantôt lents..
Ma femme ne le suçait pas ; il lui baisait sa belle bouche, ça semblait lui plaire, car ses deux mains s'étaient calées sur le haut des 2 cuisses de notre invité.
Je voyais la salive qui s'échappait d'entre ses lèvres ;
Philippe vint lui pincer presque un peu fort le téton de son autre sein,
ce qui fit alors ouvrir encore plus grand l'espace d'une seconde sa bouche baveuse.
Ce salopard en profita pour s'enfoncer jusqu'aux couilles, lui maintenant fortement la tête, et ne bougea plus. Dans un rictus, sans me regarder, je l'entendis dire :
- " P'tain, j'vais lui cracher dans sa jolie gueule !"
... suivi d'un "...Tu veux ?" qui ne m'était pas destiné.
Ma femme émis un son rauque, un peu long, comme un acquiescement.
De sa main droite, elle pris les testicules de Philippe qu'elle emprisonna fermement.
J'entendis notre hôte qui poussa un râle impressionnant et qui dura de longues secondes.
Il jouissait dans sa gorge. Je me mis à bander incroyablement, excité par la scène.
Un peu de sperme s'écoulait de sa bouche.
Ma petite salope appréciait bougrement : alors que Philippe s'était immobilisé et avait relâché sa tête, c'était elle maintenant qui le suçait, tranquillement, doucement, puis lui lapait son gland tout blanchâtre de son foutre. Je la vis avaler un peu de son nectar.
Elle me regarda enfin et me dit : - " vraiment trop bon ! " avant de le reprendre en tendresse dans sa bouche, longuement, très longuement.
...et moi, je bandais comme jamais ! Incroyable !
Elle me dit : " dis donc, on dirait que ça t'excite ? " en me caressant la bite.
- " Bin oui ... ! "
Philippe en souriant alla rejoindre son fauteuil.
Ma femme avala alors ce qui restait de l'offrande masculine, et lança à Philippe :
- " t'avais vachement beaucoup ! "
De ses lèvres encore humides et brillantes, elle s'approcha de moi et vint déposer un baiser sur les miennes, avant de m'embrasser pour de bon. Ce fut la première fois que je testais la saveur d'un autre mâle. je fus surpris de constater que ça ne me déplaisait pas.
Inutile de raconter la suite, nous baisâmes jusqu'au dimanche matin.
Ma femme eut droit à sa première double, le soussigné la sodomisant
comme un petite salope qu'elle est.
Depuis, les années ont passé. Nous avons eu d'autres rencontres.
Elle me traite de cocu chaque fois qu'un homme, parfois deux, se joignent à nous.
J'assume et reconnais que ça m'excite d'offrir ma femme adorée à d'autres.
Il paraitrait que ce n'est pas normal.
Merci de vos avis ou autres commentaires.
A et A
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A & A
et merci de ce récit très excitant