- 17 avr. 2024, 20:04
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Machinalement, Séverine ouvre davantage ses cuisses, ce qui fait apparaitre le haut de ses bas. Bô place ses mains sur la robe et la pousse en arrière, aidée par Séverine qui se soulève légèrement pour permettre au tissus de remonter au-dessus de ses hanches. Sous la lumière rouge qui inonde la piste de danse de ce petit lupanar de rue thaïlandais, au centre de ce porte-jarretelles et de ces bas noirs, le sexe de ma femme chérie s'offre sans pudeur et attend l'assaut final.
Je ne dis plus un mot. Je ne respire même plus. Seules la musique et la douce voix d'Anong qui continue de parler en thaïlandais troublent cet instant. Ma petite femme est assise sur un tabouret de bar, la chatte à l'air, et attend de se faire lécher par une super jolie fille. Bô approche sa bouche et embrasse doucement l'intérieur de ses cuisses. Elle remonte lentement jusqu'à sa chatte qu'elle vient lécher délicatement. Séverine apprécie. Elle ferme les yeux, entrouvre sa bouche et rejette sa tête en arrière. Derrière son bar, le patron continue son rangement en jetant des regards de plus en plus intéressés par le spectacle de sa copine. Profitant de ce flottement, Anong approche son visage du mien et pose ses lèvres sur les miennes. Elle m'embrasse avec fougue et ses mains trouvent naturellement leur chemin. Elle ouvre mon jean, le baisse, s'accroupie devant moi, sort ma queue et la lèche sur toute sa longueur en susurrant des mots inconnus que je devine bien cochons. Juste à côté, Séverine commence à prendre des tours sur son tabouret. Elle respire de plus en plus fort, agite son bassin et attrape à pleines mains la tête de Bô qui torture son clitoris. Elle entrouvre des yeux hagards et ne réagit pas plus que ça en apercevant Anong en train de pomper mon gland. Elle les garde bien ouverts et fixe à tour de rôle le visage de Bô et la bouche d'Anong. Elle commence à décoller, frotte de plus en plus fort sa chatte sur la bouche qui semble vouloir l'avaler et se met à jouir longuement et gémissant comme une jeune chienne en chaleur. Merveilleux spectacle ! Bô se relève, l'embrasse goulument pour bien lui faire goûter sa chatte, la fait descendre de son tabouret, prend sa place, relève sa jupe et écarte les cuisses en posant ses mains sur les épaules de ma femme. La messe est dite. Elle sait ce qu'il lui reste à faire...
Séverine regarde d'abord Anong travailler cette queue qui est normalement sienne, me sourit, pose ses mains sur les cuisses de Bô et se penche pour m'embrasser tendrement. Elle s'accroupit alors devant sa partenaire, lui enlève sa culotte et pose ses lèvres que je devine brûlantes en haut de son entrecuisse. C'est sa première fois, mais elle se comporte avec assurance. Je vois sa langue trainer autour du sexe parfaitement épilé et venir s'échouer sur les lèvres dilatées. J'attrape la jambe de Bô et la pose sur ma jambe, afin de bien profiter de la vision de ma femme qui lèche avec envie le sexe d'une autre femme. Je ne calcule même plus cette pauvre Anong, pourtant très belle, qui fait son possible pour capter mon attention. Elle frotte son visage sur ma queue, l'avale, la pompe avec force. C'est super, elle est experte mais je suis focus sur ma femme, ce qui ne m'empêche pas d'avoir un braquemart du tonnerre ! Cette satanée lumière rouge rend la scène encore plus excitante. Ma chérie dévore maintenant le sexe de Bô . Cette dernière aussi semble apprécier et elle parle souvent à Séverine. Sa jolie voix douce prononce des mots qui n'ont aucun sens pour nous, mais que nous devinons aisément. Son ami commence à s'intéresser sérieusement à ce qui se passe, mais il est patient et continue de ranger son bar. Séverine remonte ses mains, ouvre le chemisier décidément trop petit de Bô et attrapent ses seins. C'est au tour de notre petite asiatique de grimper aux rideaux. Elle s'agite et gémit sur son tabouret. Séverine malaxe ses seins avec vigueur et sa bouche s'acharne sur sa chatte béante. Elle la lèche, l'aspire, l'avale, la mord. Visiblement elle prend elle aussi son pied. Le rythme monte, les respirations s'emballent. Bô attrape la tête de mon épouse et l'écrase sur sa chatte trempée. Son bassin fait des va-et-viens saccadés de plus en plus rapides sur sa bouche jusqu'à ce qu'un cri annonce la capitulation. Elle jouit violemment et bruyamment, sans pudeur, avec toute la fougue de sa jeunesse. Elle jouit longuement, en continuant de se frotter sur la bouche de ma femme qui n'a pas abandonné son étreinte. Loin de là. D'ailleurs, ma chérie est en train de se masturber d'une main, toujours accroupie, et a l'air de prendre beaucoup de plaisir à servir ainsi sa jeune amie.
Nos deux amies échangent alors quelques mots en riant. Bô descend de son tabouret. Sa petite jupe est tellement serrée qu'elle reste relevée au-dessus de ses hanches et laisse son minou rasé parfaitement visible. Elle vient prendre la place d'Anong qui se lève et réinstalle Séverine sur ce vieux tabouret qui n'en revient toujours pas de voir défiler autant de chattes ! Elle approche son visage du sien, la fixe de ses yeux noirs en parlant calmement et l'embrasse avec douceur. Ma chérie se laisse faire une fois de plus et écarte machinalement les jambes lorsqu'Anong se baisse à son tour devant elle. Bô est déjà en train de lécher méticuleusement mon gland. Décidément, ces filles sont sur un rythme d'enfer. Ma femme garde cette fois ses yeux ouverts, et fixe à tour de rôle la bouche de Bô sur mon sexe et celle d'Anong sur le sien. Elle est bien chaude maintenant et va pouvoir enchainer les orgasmes. Elle jouit vite sous la bouche apparemment experte de sa nouvelle compagne, qui ne s'arrête pas pour autant de déguster ce fruit offert. De son côté, après avoir copieusement nettoyé et gouté ma bite avec sa langue et sa bouche pulpeuse, Bô a sorti un préservatif et, profitant de son poids plume et de sa souplesse, est venue s'empaler sur ma bite, à califourchon sur le tabouret. Cette position, pour le moins acrobatique, lui permet de poser ses petits pieds sur les bords du tabouret et donc de gérer au mieux ses va et viens le long de mon sexe, d'autant plus que je ne peux pas bouger. Sa chatte est bien serrée et c'est un vrai plaisir de sentir ses lèvres étirées glisser difficilement le long de mon membre tout en voyant celle qui partage ma vie depuis de longues années jouir à n'en plus finir sous les caresses buccales d'une autre femme.
Sans doute impatiente que l'on s'occupe enfin d'elle, Anong se relève, et, attrapant Séverine par les hanches, la fait descendre de son merveilleux piédestal. Ma femme comprend ce qu'on attend d'elle. Elle embrasse Anong à pleine bouche et commence à baisser lentement la fermeture éclair qui ferme la robe tunique ultra moulante. Elle s'accroupie alors, pour ne pas abimer ses bas sur le sol, et pose ses mains sur la culotte avec une délicatesse que j'interprète comme une volonté de bien profiter du moment. Anong porte également des portes jarretelles mais avec des bas résilles. La culotte descend lentement, découvrant un pubis parfaitement rasé jusqu'à ce que, tel un diable qui jaillit de sa boite, une bite soudainement libérée de son étreinte surgisse devant le nez de ma femme. CHTOOINNG !! Incroyable, on n'a rien vu venir... Éclat de rire de nos trois thaïlandais ! D'abord surprise, ma femme parait tout de même intéressée par cette belle queue parfaitement imprévisible mais fièrement dressée au-dessus des bas résilles ! Elle maintient son visage juste devant, à quelques centimètres seulement, et ne la quitte des yeux que pour remonter sur le visage d'Anong qui ne cache pas son amusement devant notre air incrédule et l'encourage de sa voix féminine. Elle m'interroge alors du regard pour savoir si elle doit s'en occuper et, voyant Bô s'agiter autant qu'elle peut sur ma queue, décide que oui et comment qu'elle va s'en occuper !
D'ailleurs, c'est une sacrée queue, droite et lisse, de belle taille et avec un superbe gland bien décalotté. C'est pas ma tasse de thé, mais faut avouer que c'est une belle bite. D'autant plus spectaculaire qu'elle se dresse sous le porte jarretelles d'une superbe femme ! Enfin, c'est la vision qu'on en a et qui joue parfaitement avec notre débile mentale.
Et ma femme en a visiblement très envie... Mais c'est une championne de la turlutte, une marathonienne de la pipe, une diplômée de la fellation. Alors elle prend son temps, comme elle sait si bien le faire. Pourquoi accélérer la plaisir quand on peut le faire durer. Elle commence par bien lécher tout autour, en évitant surtout de la toucher. Le sexe tendu sursaute à chaque coup de langue. Puis elle descend sur les bourses de notre ami(e) qui commence à moins rigoler. Elle les lèche à pleine langue, les suce et les avale avant de recommencer. Elle pose enfin sa langue sous les couilles, lèche copieusement et la remonte sans interruption jusqu'à la base du gland qu'elle tient relevé dans sa jolie petite main. Elle sait y faire et cela attire l'attention du copain de Bô qui a soudain l'air plus intéressé par ma femme que par la sienne qui continue de monter et descendre sur ma queue. Il faut dire qu'elle aussi ne perd pas une miette du spectacle et a bien ralenti sa cadence. Tant mieux, je pourrai durer plus longtemps, d'autant que Séverine m'excite à mort ! Ma petite femme répète ce manège plusieurs fois avant de décider qu'il était temps de s'attaquer au gland. Elle le décalotte à fond et entreprend de parfaitement en nettoyer la base avec sa langue comme une belle petite cochonne qu'elle est ! Elle aime beaucoup ça et a une totale conscience du plaisir qu'elle procure. Notre barman lâche un commentaire, auquel nos deux belles asiatiques répondent en coeur. Mais ça ne rigole plus.
"Sûrement un compliment sur tes talents de pompeuse de bites " dis-je à Séverine qui bien sûr ne répond pas. Je pense d'ailleurs qu'elle sent nos regards vicieux l'observer. Elle continue de s'appliquer comme une bonne élève sur ce gland franchement balaise qu'elle va bien devoir finir par avaler. Mais elle n'en est pas encore là. Elle remonte alors sa langue et la fait courir sur le gland. Commence alors un fantastique roulement de langue tout autour du gland. Elle le lèche dans tous les sens, comme un cornet de glace qu'on ne veut pas laisser fondre. Anong apprécie ce traitement et le fait savoir à Séverine qui va finir par parler thaïlandais ! Ça y est, tout est prêt. Ma femme soulève sa bouche au-dessus du formidable gland qu'elle vient de bien astiquer, baisse la tête en avant pour trouver le bon angle, ouvre en grand sa bouche et l'avance lentement sur le terrible engin. Tout le monde s'est arrêté pour la regarder. Même Bô reste immobile sur son tabouret et ne remue plus son joli petit cul.