- 22 août 2022, 16:20
#2642157
nulnul44@
Je ne peux tjs pas les encadrer ces deux glands mais les faits sont là...avec son assentiment le plus total,ils ont sauté ma chérie parce que la situation conflictuelle entre eux et moi l'excitait formidablement.
Elle avait développé un fantasme sur cet antagonisme et n'a eu de cesse de le réaliser et d'y prendre un plaisir à la hauteur de ce qu'elle avait espéré...
Pas facile de comprendre le mode de fonctionnement de nos compagnes mais bon,pourquoi se prendre la tête avec ça?
Perso,je croise ces deux types que je connais depuis longtemps très souvent et franchement,je suis droit dans mes pompes face à eux et j'assume complètement ce que ma chérie a vécu dans leur plumard...et avec le recul,je dois admettre être très excité par le fait qu'ils aient baisé ma chérie!
Ma petite compagne adorée va très loin dans sa sexualité libre et débridée,elle a été,il y a 4-5 ans,la maîtresse de mon patron avec lequel elle a entretenu une relation très sexuelle,très hard jusqu'à ce qu'elle passe à autre chose même si de temps en temps,par pur vice,elle passe la nuit dans son lit!
Après,je ne suis pas en reste non plus,ayant eu très récemment pour maîtresse l'épouse de son ex concubin avec qui elle vivait juste avant moi...
Comme cela a été le cas pour moi lorsque j'ai appris la relation de ma compagne avec les deux mecs,cette liaison avec cette adorable femme a estomaqué ma chérie pendant un petit moment et aujourd'hui,avec le recul,elle se montre extrêmement curieuse quant à cette relation qui visiblement l'excite aussi bcp...
Bref,Sandra et moi étions faits pour nous rencontrer,nous avons bcp en commun et très peu de freins pouvant nous empêcher de nous éclater...
Après,même si nous allons loin dans la débauche,nous veillons à ne pas nous "poignarder"... Même s'il est réellement difficile de définir les limites acceptables, nous faisons attention à ne rien faire qui s'avèrerait impardonnable,comme se taper,sans l'accord de l'autre,un proche ou qui que ce soit dont on a préalablement bien fait comprendre qu'il/qu'elle n'entrait pas dans le cadre des libertés que nous nous accordons!
Si j'avais laissé sous-entendre à Sandra qu'un plan cul avec ces deux mecs et/ou avec mon patron étaient complètement tabou,jamais elle n'aurait cédé à ses instincts...j'en suis absolument persuadé!
En revanche, comme au tribunal,le doute profite tjs "à l'accusé",c'est à dire que lorsque ce n'est pas clairement défini dans nos "accords",rien ne peut être reproché à l'autre s'il existe un flou quant à la légitimité de tel ou tel autre acte...
C'est cette limite presque invisible et dangereuse entre le oui et le non qui est le piment de notre mode de fonctionnement très particulier qui ferait peur à bcp de gens...
Et plus on accepte de choses de la part de son/sa conjoint(e),plus on repousse ses propres limites et plus l'inenvisageable devient possible!