- 04 avr. 2022, 18:15
#2604626
Le fantasme hors de contrôle (4)
...
C'était sans doute une larme d'extase faite de plein de choses. Une espèce de lâcher prise émotionnel et physique. Je suppose... enfin c'est ce que je preférais supposer.
Elle me dit d'un air agacé: "tu ne veux pas aller en bas Tom? Steuplaît?
Il me regarda à son tour d'un air gêné. Sans pour autant sortir son pénis de ma femme et sans rien me dire. Je comprenais.
Je sortais donc de la chambre.
Je n'aimais pas non plus cette position que j'avais. Cette position de voyeur qui ne pouvait être que gênante vis à vis d'eux, dégradante vis à vis de moi.
Le mieux serait que je participe pensais-je. Que je la touche, que je la dirige, que je l'embrasse etc... mais pas facile. Car cette position de recul était celle qui me permettait d'assouvir au mieux mon fanstasme. Celui d'admirer ma femme... Mais aussi de d'admirer le désir qu'elle suscite auprès de son amant.
A peine, je fermais la porte que j'entendais ma femme gémir à nouveau.
Puis, quelques instants plus tard, un râle étouffé par la distance entre la cuisine et la chambre me fît comprendre qu'ils avaient terminé leur affaire.
Ils descendirent, lui en caleçon, et elle en nuisette. Elle sortit 2 tasses et prépara du café.
"Alors, c'était bien?" Leur demandais-je maladroitement.
Il me repondit "Top" et elle ne me répondit pas. Comme si c'était évident que oui. Son sourire parlait pour elle.
"Bon, moi je vais y aller" dit Thierry. La communication n'avait pas l'air au top entre eux. Une sorte de gêne remplissait l'air de la pièce.
A ma surprise, elle ne le retint pas. Tant mieux. Peut-être est-elle rassasiée.. enfin..
Il s'habilla et partit. Embrassant longuement ma femme sur le pas de la porte. Comme un amoureux ayant déjà le manque.
Je montais prendre ma douche. Sur le chemin, j'entrais d'abord dans la chambre pour prendre quelques habits. La couette étaient tirés. Des tâches blanchâtres sèches parsemaient le drap. Mais j'étais rassuré de voir sur la table de nuit 2 emballages de préservatif.
Elle montait également et je lui proposais qu'on prenne notre douche ensemble. Histoire de reprendre possession d'elle et de son corps. Elle refusa chaleureusement mon invitation en m'embrassant tout en me touchant le pénis et en me disant "j'en peux plus là" et sur un ton très naturel de finir par "je viens de le faire sauter pendant 3 quart d'heure..."
"Tu vas encore le revoir?"
"Oui mais pas tout de suite"
"Parfait" pensais-je.
Elle estimait certainement qu'une prise de recul devait avoir lieu, qu'une mise à distance était nécessaire poir préserver la "magie" de leur relation éphémère.
Et puis cela ne faisait que 15 jours qu'elle s'était décidée à assouvir mon fantasme. Nous avions déjà été loin. Pour Elle, jeu de séduction, fellations, baises, sentiments... et Moi, peur, tourment, questionnement, excitation, masturbation...
La journée se passa comme si de rien était.
Mis à part le fait qu'elle repondait à des textos régulièrement. Ceux de Thierry je suppose.
Le soir, au lit, alors qu'elle ne voulait toujours pas qu'on fasse l'amour, j'osais: "La prochaine fois, je voudrai être plus actif bb. Je n'aime pas trop être là juste à vous regarder... j'ai envie de profiter du moment aussi tu vois?"
Elle me répondit du tac au tac "ça veut dire quoi -plus actif- ? Tu vas faire quoi? Me la coller dans la bouche? Franchement, bof.."
"Non mais, je sais pas, oui,... chacun notre tour, et pourquoi pas d'abord? Te la coller dans la bouche? Pendant qu'il te prend? Et inversement? Non? 4 mains qui te caresses, ça le ferait non?.
Elle me repondit: "Je sais pas, on verra mais là j'ai un truc qui me trotte dans la tête..."
Avec ses yeux plissés et un petit sourire gêné. Je sentais poindre sa malice.
Qu'allait-elle me pondre?
"Ah oui, quoi?" Mon coeur commençait déjà à battre plus fort. Et je me mis à bander avant même de connaître son aveux.
"En fait, j'ai, moi aussi, un fantasme: j'ai toujours été attirée par les arabes... une fois, il y a longtemps, juste après ma rupture avec mon ex, on était sorties avec une amie en boîte et il y en avait un qui m'avait dragué à fond. Au début, je le repoussais et puis finalement, à force qu'il me colle et alcool faisant, on a finit par se rouler des pelles toute la soirée."
"Et vous avez couché ensemble?" (J'avais, à ce moment précis, la bite dure comme de la pierre)
Elle me répondit: "bah non, je voulais pas laisser ma copine et lui, il voulait, il arrêtait pas de me peloter mais il était avec toute sa bande, donc même si j'étais bourrée et qu'il m'excitait, je sentais le plan glauque."
"Ok et du coup?" Lui demandais-je.
"Cela m'avait plu au final. De manière générale je les trouve virils, nerveux, ça me tente... du coup, j'y repense là vu que je peux me taper des mecs avec ton consentement..." finit elle avec un large sourire.
Je répondais: "Oui en effet avec mon consentement" Silence.. je laissais un faux suspens s'installer et 5 secondes plus tard, je lui accordais le fait de tenter de réaliser son fanstasme. "Mais je veux toujours être là, ok?"
Elle répondit qu'elle était d'accord, mais je sentais bien qu'elle aurait aimé se passer de ma présence.
Cependant, et pour plusieurs raisons, je restais sur ma position
D'une part, je n'ai pas encore envie d'être cocu tout seul dans mon coin. J'avais encore envie de la voir sous l'emprise d'autres hommes. L'imaginer seulement ne faisait pas partie de mon délire.
Et cette idée de la voir avec un homme viril et nerveux me tentait au plus haut point.
D'autre part, je craignais tout de même un peu qu'elle ne soit prise au dépourvu de la possessivité que développerai vite ce type de personnage... je voulais donc être présent en cas de "mauvaise rencontre".
Quoiqu'il en soit, bien que nous n'aimions pas la musique qui passe dans ce genre d'endroit, nous décidions de partir dans une boîte de nuit réputée pour être assez souple quant à la fréquentation de leur clientèle dès la semaine suivante.
Et malgré son refus d'il y avait quelques minutes, je la pris et lui fît l'amour nerveusement..
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C'était sans doute une larme d'extase faite de plein de choses. Une espèce de lâcher prise émotionnel et physique. Je suppose... enfin c'est ce que je preférais supposer.
Elle me dit d'un air agacé: "tu ne veux pas aller en bas Tom? Steuplaît?
Il me regarda à son tour d'un air gêné. Sans pour autant sortir son pénis de ma femme et sans rien me dire. Je comprenais.
Je sortais donc de la chambre.
Je n'aimais pas non plus cette position que j'avais. Cette position de voyeur qui ne pouvait être que gênante vis à vis d'eux, dégradante vis à vis de moi.
Le mieux serait que je participe pensais-je. Que je la touche, que je la dirige, que je l'embrasse etc... mais pas facile. Car cette position de recul était celle qui me permettait d'assouvir au mieux mon fanstasme. Celui d'admirer ma femme... Mais aussi de d'admirer le désir qu'elle suscite auprès de son amant.
A peine, je fermais la porte que j'entendais ma femme gémir à nouveau.
Puis, quelques instants plus tard, un râle étouffé par la distance entre la cuisine et la chambre me fît comprendre qu'ils avaient terminé leur affaire.
Ils descendirent, lui en caleçon, et elle en nuisette. Elle sortit 2 tasses et prépara du café.
"Alors, c'était bien?" Leur demandais-je maladroitement.
Il me repondit "Top" et elle ne me répondit pas. Comme si c'était évident que oui. Son sourire parlait pour elle.
"Bon, moi je vais y aller" dit Thierry. La communication n'avait pas l'air au top entre eux. Une sorte de gêne remplissait l'air de la pièce.
A ma surprise, elle ne le retint pas. Tant mieux. Peut-être est-elle rassasiée.. enfin..
Il s'habilla et partit. Embrassant longuement ma femme sur le pas de la porte. Comme un amoureux ayant déjà le manque.
Je montais prendre ma douche. Sur le chemin, j'entrais d'abord dans la chambre pour prendre quelques habits. La couette étaient tirés. Des tâches blanchâtres sèches parsemaient le drap. Mais j'étais rassuré de voir sur la table de nuit 2 emballages de préservatif.
Elle montait également et je lui proposais qu'on prenne notre douche ensemble. Histoire de reprendre possession d'elle et de son corps. Elle refusa chaleureusement mon invitation en m'embrassant tout en me touchant le pénis et en me disant "j'en peux plus là" et sur un ton très naturel de finir par "je viens de le faire sauter pendant 3 quart d'heure..."
"Tu vas encore le revoir?"
"Oui mais pas tout de suite"
"Parfait" pensais-je.
Elle estimait certainement qu'une prise de recul devait avoir lieu, qu'une mise à distance était nécessaire poir préserver la "magie" de leur relation éphémère.
Et puis cela ne faisait que 15 jours qu'elle s'était décidée à assouvir mon fantasme. Nous avions déjà été loin. Pour Elle, jeu de séduction, fellations, baises, sentiments... et Moi, peur, tourment, questionnement, excitation, masturbation...
La journée se passa comme si de rien était.
Mis à part le fait qu'elle repondait à des textos régulièrement. Ceux de Thierry je suppose.
Le soir, au lit, alors qu'elle ne voulait toujours pas qu'on fasse l'amour, j'osais: "La prochaine fois, je voudrai être plus actif bb. Je n'aime pas trop être là juste à vous regarder... j'ai envie de profiter du moment aussi tu vois?"
Elle me répondit du tac au tac "ça veut dire quoi -plus actif- ? Tu vas faire quoi? Me la coller dans la bouche? Franchement, bof.."
"Non mais, je sais pas, oui,... chacun notre tour, et pourquoi pas d'abord? Te la coller dans la bouche? Pendant qu'il te prend? Et inversement? Non? 4 mains qui te caresses, ça le ferait non?.
Elle me repondit: "Je sais pas, on verra mais là j'ai un truc qui me trotte dans la tête..."
Avec ses yeux plissés et un petit sourire gêné. Je sentais poindre sa malice.
Qu'allait-elle me pondre?
"Ah oui, quoi?" Mon coeur commençait déjà à battre plus fort. Et je me mis à bander avant même de connaître son aveux.
"En fait, j'ai, moi aussi, un fantasme: j'ai toujours été attirée par les arabes... une fois, il y a longtemps, juste après ma rupture avec mon ex, on était sorties avec une amie en boîte et il y en avait un qui m'avait dragué à fond. Au début, je le repoussais et puis finalement, à force qu'il me colle et alcool faisant, on a finit par se rouler des pelles toute la soirée."
"Et vous avez couché ensemble?" (J'avais, à ce moment précis, la bite dure comme de la pierre)
Elle me répondit: "bah non, je voulais pas laisser ma copine et lui, il voulait, il arrêtait pas de me peloter mais il était avec toute sa bande, donc même si j'étais bourrée et qu'il m'excitait, je sentais le plan glauque."
"Ok et du coup?" Lui demandais-je.
"Cela m'avait plu au final. De manière générale je les trouve virils, nerveux, ça me tente... du coup, j'y repense là vu que je peux me taper des mecs avec ton consentement..." finit elle avec un large sourire.
Je répondais: "Oui en effet avec mon consentement" Silence.. je laissais un faux suspens s'installer et 5 secondes plus tard, je lui accordais le fait de tenter de réaliser son fanstasme. "Mais je veux toujours être là, ok?"
Elle répondit qu'elle était d'accord, mais je sentais bien qu'elle aurait aimé se passer de ma présence.
Cependant, et pour plusieurs raisons, je restais sur ma position
D'une part, je n'ai pas encore envie d'être cocu tout seul dans mon coin. J'avais encore envie de la voir sous l'emprise d'autres hommes. L'imaginer seulement ne faisait pas partie de mon délire.
Et cette idée de la voir avec un homme viril et nerveux me tentait au plus haut point.
D'autre part, je craignais tout de même un peu qu'elle ne soit prise au dépourvu de la possessivité que développerai vite ce type de personnage... je voulais donc être présent en cas de "mauvaise rencontre".
Quoiqu'il en soit, bien que nous n'aimions pas la musique qui passe dans ce genre d'endroit, nous décidions de partir dans une boîte de nuit réputée pour être assez souple quant à la fréquentation de leur clientèle dès la semaine suivante.
Et malgré son refus d'il y avait quelques minutes, je la pris et lui fît l'amour nerveusement..