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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
par dilou27
#6562
Ma femme désirait se donner à son proviseur adjoint, elle, la bourgeoise
respectable et respectée dans sa profession de professeur. L’histoire avait
commencée lors d’une réunion de fin d’année scolaire. Son proviseur adjoint ,
jean, avait dit que la croupe incendiaire de Annie l’excitait.Méfie toi
Didier , Jean veut draguer ta femme » m’avait-on prévenu. Un fantasme était né
dans la tête de ma femme et je n’étais pas contre…Elle voulait s’offrir.
Un soir, quelques mois après, l’occasion était trop belle. Son proviseur
adjoint venait avec nous boire un dernier verre à la maison après un repas
entre collègues. Elle était excitée. Un désir irrésistible la poussait. C’était
la première fois que je la sentais aussi chaude.
Elle met dit à l’oreille « Passe tes mains sous ma robe ». Je commençais mes
caresses.
« Voilà autre chose » dit Jean surpris de la manœuvre. Je poursuivais mon
instigation. Du coin de l’œil, je vis Jean sortir son sexe et se toucher.
C’était gagné.
Sur une musique de fond je me mis à danser avec Annie, parcourant son corps de
mes mains, sans rien dévoiler. Jean nous rejoignit et se plaça derrière ma
femme.Il lui souleva sa robe, palpa ses fesses. Elle allait à la rencontre de
ses mains, cherchant à ce que la caresse soit plus précise. Mais il refusait
encore de lui toucher son intimité, la faisant attendre, agaçant ses sens. Je
la retournais pour qu’elle lui fasse face. Il était grand. Il l’entoura de ses
bras, elle posa ses mains sur ses hanches. Il lui prit la tête entre ses deux
mains, et l’embrassa profondément. Sa langue prenait possession de la sienne,
il violait sa bouche. Elle la lui donnait sans retenue, j’entendais
d’imperceptibles râles de satisfaction. Mon excitation était à son comble.
Je retirais la robe de ma femme pour mieux l’offrir. Elle se retrouva en porte
jarretelles et culotte devant son proviseur adjoint. Je l’abandonnais et me
reculais pour mieux admirer la scène. Il y avait comme quelque chose d’indécent
de voir ce corps de bourgeoise à la merci d’un autre homme, pire d’un supérieur
hiérarchique, elle qui rechigne toujours à s’exposer totalement.
Je ne pouvais pas m’en empêcher, je sortais mon sexe et le masturbais, le
regard fixe sur le couple formé. Jean ouvrit son pantalon, ma femme caressa ses
bourses à travers le tissu, elle raffole de ça.
Il insinua sa main dans la culotte d’Annie, en passant par le côté de l’entre jambe. Sa main était totalement plaquée sur son sexe, l’autre placée sur ses reins. « Ah » souffla t-elle. Les
convenances étaient finies, elle n’était plus qu’un sexe. Il tâtait le « territoire ». Puis, il la retira, et replongea dans la petite culotte par le haut. J’attendais ce moment. La main gonfla le tissu, elle s’agitait. Je devinais comme lors d’expériences similaires, que ses doigts prenaient possession de sa fente, dressaient son clitoris, pénétraient son vagin.
Ma femme râlait « c’est bon, c’est bon » jamais je ne l’avais entendue se
manifester ainsi. Il cessa ses caresses. Il se mit à lui palper les seins, dessiner la courbe de ses hanches, prendre fermement ses fesses, écarter les lobes. Elle abandonnait son corps,
elle si vigoureuse, refusant toute directivité d’habitude. J’étais aux anges,
le spectacle me faisait battre le cœur.
J’entendis que ma femme disait tout bas à Jean « prends moi ». Il ne répondit
pas. Mais il glissa lentement la culotte d’Annie, pour lui signifier qu’il allait la baiser. Elle apparut nue devant lui comme une petite fille, sa toison était totalement dévoilée.
Il la fit se courber, les mains sur le tabouret de piano proche, pour qu’elle lui
offre à la vue toute son intimité. Il lui fit écarter plus largement les
jambes, pour découvrir les replis secrets de sa toison. Elle ne bronchait pas,
elle s’exécutait.
« Tu as un cul fantastique, bien pommé. Cambre toi plus pour que je vois bien
ta chatte ». Ces mots résonnent encore dans ma tête. Elle obéissait à ses
ordres. J’en étais surpris.Il lui tira ses lèvres pour découvrir la blessure
rose de son sexe. Moi, son mari, ne l’avait jamais vue avec autant d’indécence.
Puis je vis Jean baisser son slip. Son sexe en érection apparu. J’aime cet
instant , c’est celui qui dit que votre femme va appartenir ne serait-ce qu’un
instant totalement à un autre. C’est une jouissance cérébrale très forte. Elle
ne sentit pas cette préparation. Il s’accrocha à ses hanches et la pénétra d’un
seul coup, fermement. « oh » dit-elle. Il s’activa en elle avec énergie. Son
corps était devenu son objet. Elle se laissait faire les yeux clos, pour
savourer. Les femmes ferment souvent les yeux, le psychique l’emporte sur le
visuel, contrairement à nous. Jean me dit : « à toi ». Je plongeais à mon tour
dans son vagin mouillé, élargi par le désir, gluant de plaisir. Nous nous
relayâmes plusieurs fois. Je voulais qu’il arrache l’ultime jouissance à Annie. Je le vis se courber sur elle, l’agripper, accélérer ses va-et-vient jusqu’à ce qu’une jouissance secoue de spasmes Annie.
« Ton mari t’offre un grand plaisir. Tu as de la chance. Profites-en » dit
jean à ma femme, gênée.
Nous reprîmes la conversation, mais mon épouse voulait encore atteindre
l’extase sachant que nous n’avions pas éjaculé.
« Tu veux monter, on sera mieux » dit-elle. Ils montèrent et les laissant
seuls pour qu’elle révèle son côté femelle. C’est vrai que les femmes
rechignent à monter leur vrai visage en présence de leur mari avant d’être bien
chaudes.
J’entendais des bruits des frottements, des soupirs. Je m’occupais de ma verge
pour entretenir un doux plaisir. Je montais aussi sans faire de bruit. Qu’elle
ne fût pas ma surprise. Ma femme était agenouillée aux pieds de son proviseur
adjoint. Celui-ci la tenait par les cheveux, inclinant sa tête. Il pénétrait sa
bouche avec son gland, imposant son rythme et la profondeur de
l’introduction. Elle se laissait guider, sans broncher. Ce rapport imposé lui
plaisait. Elle me l’avoua après, me précisant qu’elle avait éprouvé une certaine
honte à se laisser aller devant moi. Elle s’était soumise à lui. J’aurai aimé
d’autres expériences comme celle-la.
Nous n’avions pas encore joui. C’était à nous d’en profiter.
« A nous de jouir maintenant. Mets toi à quatre pattes» lui lança t-il sans qu’elle ne paraisse choquée.
« Ressort mieux tes fesses que ça, écarte toi bien pour t’offrir, montre nous ta chatte» prodiguait le proviseur, totalement à l’aise.
« Prend possession de ta femme » poursuivit-il. Je la pénétrais ainsi (elle
n’aime pas en général, vu l’attitude de soumission) et commençais mes va et
vient. Puis il prit ma place, je vis son sexe bien s’enfoncer. Il se courba sur elle, l’agrippant aux épaules.
« Tu vas nous dire je jouis quand tu jouira » lui intima-il.
« Non » fit-elle en secouant la tête.
« Si » dis-je.
« Aller fais le » reprenions nous en cœur.
Dans un violent spasme elle cria « je jouiiiiiiiii… ».
Jean continua ses mouvements. Je le vis se tendre , sa respiration s’accéléra et il éjacula en elle …
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par sergio
#6591
Très, très bon. :P

la nuit s'est-elle poursuivie?
par dilou27
#6823
Le proviseur est revenu. Les rencontre s’opèrent toujours un peu de la même façon, c’est pour cela aussi que je pense qu’il faille les espacer pour avoir envie..

Après avoir discuté, le proviseur commença à la toucher, passer ses mains sur ses
genoux. Nous décidions d’aller dans la chambre. Debout au passage, il en
profita pour avoir un geste plus précis et passa une main sous la robe. Ma
femme déjà excitée se laissa faire. Je la prenais fermement et relevais sa jupe
en disant à son proviseur adjoint « Profites-en »J’appuyais sur le bas de sa
croupe pour ne pas qu’elle se dérobe, et lui en profitait pour plonger sa main
dans son slip et prendre possession de son sexe. Elle se courbait
vers l’avant pour rentrer son sexe, mais je l’en empêchais pour qu’elle subisse
la caresse.
Ils montérent. Comme toujours je les laissais pour qu’ils soient à l’aise. Quelques instants plus tard, j arrivais et observais par la porte entrouverte, sans faire de bruit.
Elle était allongée sur le ventre avec sa culotte. Agnenouillé en slip à côté d’elle, il massait ses épaules, descendait jusqu’aux fesses. Ses mains passèrent la barrière de tissu et il tira dessus. Je vis apparaître sa toison. Cette vue de derrière me tétanisa, ma femme offerte comme cela me semblait irréel.Puis il lui donna quelques ordres à voix basse.
« Desserre tes jambes, montre moi ta fente ». Elle le fit. Puis, il appuya sur sa nuque et posa sa main sur son sexe. Elle était en quelque sorte immobilisée. Il commença une masturbation avec des commentaires.
« Ecarte toi plus, remonte tes genoux, je te sens bien ». La main s’agitait plus vite, ma femme émettait quelques grognements de satisfaction.
Je fis un peu de bruit, elle eu un sursaut, et se remit sur le dos comment si de rien n’était.
Quelques mots courts s’échangérent et il s’installa la tête entre son ente jambe ouverte. Il lui écartait le sexe pour faire saillir son clitoris qui est petit. Il le titillait. Ce devait lui faire du bien car elle écartait les mains tel un chat écarte ses griffes quand il aime la
caresse. Elle eu un petit spasme qui révéla une jouissance. Puis on s’arrêta
Beaucoup plus tard alors qu’il la flattait avec tendresse, je vis qu’il
était en érection. Une pulsion subite me pris. Je pris le pénis dans ma bouche,
il n’eut pas de geste de recul. J’ai aimé la sensation de sentir cette raideur
dans ma bouche. Annie le vit et se jeta sur le sexe de jean et nous nous mimes
à le sucer. C’était divin. Jamais je n’aurai imaginé faire cela un jour…..et
ne l’ai jamais refait.
Sans apporter de commentaires à ce que nous venions de faire, il dit à mon épouse « mets toi en levrette et toi mets toi Paul.derrière »( je considère aussi que c’est une position de soumission c’est pour cela qu’Annie ne veut jamais !!!!)
Le proviseur se montrait directif :
« Fais travailler ton cul, empale toi bien sur Paul, ressort, aller,
continue (J’entends encore ces mots) »
Son vagin était accueillant, la pénétration généreuse. Il dit « on va se
relayer ».Il prit ma place et invectivait ma femme « aller, soit plus
régulière dans le rythme, besogne toi toi même, fais nous du bien ». Son
mouvement était devenu mécanique, une crispation apparaissait sur son visage
car elle savait très bien qu’elle se faisait dominer sous mes yeux. On
s’échangea plusieurs fois.
Puis nous la fîmes allonger sur le dos pour profiter d’elle. Je m’allongeais
sur elle et la baisais. Jean à quatre pattes approcha son sexe de son visage
et s’engouffra dan sa gorge.« Tu es prises totalement mon amour » dis-je dans un râle qui marquait mon éjaculation alors que son proviseur adjoint se retirait de sa bouche pour décharger son sperme sur son visage. C’était apocalyptique….
Le proviseur a changé d’établissement. Je pense que s’il était resté, il serait devenu un amant régulier, voire un maître pour Annie car j’ai senti qu’elle aimait ses ordres et les exécutait.
Mais en aucune manière elle aurait toléré la moindre vulgarité.....
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par sergio
#6916
Dommage pour lui. Pour vous......... Et pour nous. ;)
D'autres rencontres peut-être?

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