- 02 nov. 2009, 09:00
#6562
Ma femme désirait se donner à son proviseur adjoint, elle, la bourgeoise
respectable et respectée dans sa profession de professeur. L’histoire avait
commencée lors d’une réunion de fin d’année scolaire. Son proviseur adjoint ,
jean, avait dit que la croupe incendiaire de Annie l’excitait.Méfie toi
Didier , Jean veut draguer ta femme » m’avait-on prévenu. Un fantasme était né
dans la tête de ma femme et je n’étais pas contre…Elle voulait s’offrir.
Un soir, quelques mois après, l’occasion était trop belle. Son proviseur
adjoint venait avec nous boire un dernier verre à la maison après un repas
entre collègues. Elle était excitée. Un désir irrésistible la poussait. C’était
la première fois que je la sentais aussi chaude.
Elle met dit à l’oreille « Passe tes mains sous ma robe ». Je commençais mes
caresses.
« Voilà autre chose » dit Jean surpris de la manœuvre. Je poursuivais mon
instigation. Du coin de l’œil, je vis Jean sortir son sexe et se toucher.
C’était gagné.
Sur une musique de fond je me mis à danser avec Annie, parcourant son corps de
mes mains, sans rien dévoiler. Jean nous rejoignit et se plaça derrière ma
femme.Il lui souleva sa robe, palpa ses fesses. Elle allait à la rencontre de
ses mains, cherchant à ce que la caresse soit plus précise. Mais il refusait
encore de lui toucher son intimité, la faisant attendre, agaçant ses sens. Je
la retournais pour qu’elle lui fasse face. Il était grand. Il l’entoura de ses
bras, elle posa ses mains sur ses hanches. Il lui prit la tête entre ses deux
mains, et l’embrassa profondément. Sa langue prenait possession de la sienne,
il violait sa bouche. Elle la lui donnait sans retenue, j’entendais
d’imperceptibles râles de satisfaction. Mon excitation était à son comble.
Je retirais la robe de ma femme pour mieux l’offrir. Elle se retrouva en porte
jarretelles et culotte devant son proviseur adjoint. Je l’abandonnais et me
reculais pour mieux admirer la scène. Il y avait comme quelque chose d’indécent
de voir ce corps de bourgeoise à la merci d’un autre homme, pire d’un supérieur
hiérarchique, elle qui rechigne toujours à s’exposer totalement.
Je ne pouvais pas m’en empêcher, je sortais mon sexe et le masturbais, le
regard fixe sur le couple formé. Jean ouvrit son pantalon, ma femme caressa ses
bourses à travers le tissu, elle raffole de ça.
Il insinua sa main dans la culotte d’Annie, en passant par le côté de l’entre jambe. Sa main était totalement plaquée sur son sexe, l’autre placée sur ses reins. « Ah » souffla t-elle. Les
convenances étaient finies, elle n’était plus qu’un sexe. Il tâtait le « territoire ». Puis, il la retira, et replongea dans la petite culotte par le haut. J’attendais ce moment. La main gonfla le tissu, elle s’agitait. Je devinais comme lors d’expériences similaires, que ses doigts prenaient possession de sa fente, dressaient son clitoris, pénétraient son vagin.
Ma femme râlait « c’est bon, c’est bon » jamais je ne l’avais entendue se
manifester ainsi. Il cessa ses caresses. Il se mit à lui palper les seins, dessiner la courbe de ses hanches, prendre fermement ses fesses, écarter les lobes. Elle abandonnait son corps,
elle si vigoureuse, refusant toute directivité d’habitude. J’étais aux anges,
le spectacle me faisait battre le cœur.
J’entendis que ma femme disait tout bas à Jean « prends moi ». Il ne répondit
pas. Mais il glissa lentement la culotte d’Annie, pour lui signifier qu’il allait la baiser. Elle apparut nue devant lui comme une petite fille, sa toison était totalement dévoilée.
Il la fit se courber, les mains sur le tabouret de piano proche, pour qu’elle lui
offre à la vue toute son intimité. Il lui fit écarter plus largement les
jambes, pour découvrir les replis secrets de sa toison. Elle ne bronchait pas,
elle s’exécutait.
« Tu as un cul fantastique, bien pommé. Cambre toi plus pour que je vois bien
ta chatte ». Ces mots résonnent encore dans ma tête. Elle obéissait à ses
ordres. J’en étais surpris.Il lui tira ses lèvres pour découvrir la blessure
rose de son sexe. Moi, son mari, ne l’avait jamais vue avec autant d’indécence.
Puis je vis Jean baisser son slip. Son sexe en érection apparu. J’aime cet
instant , c’est celui qui dit que votre femme va appartenir ne serait-ce qu’un
instant totalement à un autre. C’est une jouissance cérébrale très forte. Elle
ne sentit pas cette préparation. Il s’accrocha à ses hanches et la pénétra d’un
seul coup, fermement. « oh » dit-elle. Il s’activa en elle avec énergie. Son
corps était devenu son objet. Elle se laissait faire les yeux clos, pour
savourer. Les femmes ferment souvent les yeux, le psychique l’emporte sur le
visuel, contrairement à nous. Jean me dit : « à toi ». Je plongeais à mon tour
dans son vagin mouillé, élargi par le désir, gluant de plaisir. Nous nous
relayâmes plusieurs fois. Je voulais qu’il arrache l’ultime jouissance à Annie. Je le vis se courber sur elle, l’agripper, accélérer ses va-et-vient jusqu’à ce qu’une jouissance secoue de spasmes Annie.
« Ton mari t’offre un grand plaisir. Tu as de la chance. Profites-en » dit
jean à ma femme, gênée.
Nous reprîmes la conversation, mais mon épouse voulait encore atteindre
l’extase sachant que nous n’avions pas éjaculé.
« Tu veux monter, on sera mieux » dit-elle. Ils montèrent et les laissant
seuls pour qu’elle révèle son côté femelle. C’est vrai que les femmes
rechignent à monter leur vrai visage en présence de leur mari avant d’être bien
chaudes.
J’entendais des bruits des frottements, des soupirs. Je m’occupais de ma verge
pour entretenir un doux plaisir. Je montais aussi sans faire de bruit. Qu’elle
ne fût pas ma surprise. Ma femme était agenouillée aux pieds de son proviseur
adjoint. Celui-ci la tenait par les cheveux, inclinant sa tête. Il pénétrait sa
bouche avec son gland, imposant son rythme et la profondeur de
l’introduction. Elle se laissait guider, sans broncher. Ce rapport imposé lui
plaisait. Elle me l’avoua après, me précisant qu’elle avait éprouvé une certaine
honte à se laisser aller devant moi. Elle s’était soumise à lui. J’aurai aimé
d’autres expériences comme celle-la.
Nous n’avions pas encore joui. C’était à nous d’en profiter.
« A nous de jouir maintenant. Mets toi à quatre pattes» lui lança t-il sans qu’elle ne paraisse choquée.
« Ressort mieux tes fesses que ça, écarte toi bien pour t’offrir, montre nous ta chatte» prodiguait le proviseur, totalement à l’aise.
« Prend possession de ta femme » poursuivit-il. Je la pénétrais ainsi (elle
n’aime pas en général, vu l’attitude de soumission) et commençais mes va et
vient. Puis il prit ma place, je vis son sexe bien s’enfoncer. Il se courba sur elle, l’agrippant aux épaules.
« Tu vas nous dire je jouis quand tu jouira » lui intima-il.
« Non » fit-elle en secouant la tête.
« Si » dis-je.
« Aller fais le » reprenions nous en cœur.
Dans un violent spasme elle cria « je jouiiiiiiiii… ».
Jean continua ses mouvements. Je le vis se tendre , sa respiration s’accéléra et il éjacula en elle …
respectable et respectée dans sa profession de professeur. L’histoire avait
commencée lors d’une réunion de fin d’année scolaire. Son proviseur adjoint ,
jean, avait dit que la croupe incendiaire de Annie l’excitait.Méfie toi
Didier , Jean veut draguer ta femme » m’avait-on prévenu. Un fantasme était né
dans la tête de ma femme et je n’étais pas contre…Elle voulait s’offrir.
Un soir, quelques mois après, l’occasion était trop belle. Son proviseur
adjoint venait avec nous boire un dernier verre à la maison après un repas
entre collègues. Elle était excitée. Un désir irrésistible la poussait. C’était
la première fois que je la sentais aussi chaude.
Elle met dit à l’oreille « Passe tes mains sous ma robe ». Je commençais mes
caresses.
« Voilà autre chose » dit Jean surpris de la manœuvre. Je poursuivais mon
instigation. Du coin de l’œil, je vis Jean sortir son sexe et se toucher.
C’était gagné.
Sur une musique de fond je me mis à danser avec Annie, parcourant son corps de
mes mains, sans rien dévoiler. Jean nous rejoignit et se plaça derrière ma
femme.Il lui souleva sa robe, palpa ses fesses. Elle allait à la rencontre de
ses mains, cherchant à ce que la caresse soit plus précise. Mais il refusait
encore de lui toucher son intimité, la faisant attendre, agaçant ses sens. Je
la retournais pour qu’elle lui fasse face. Il était grand. Il l’entoura de ses
bras, elle posa ses mains sur ses hanches. Il lui prit la tête entre ses deux
mains, et l’embrassa profondément. Sa langue prenait possession de la sienne,
il violait sa bouche. Elle la lui donnait sans retenue, j’entendais
d’imperceptibles râles de satisfaction. Mon excitation était à son comble.
Je retirais la robe de ma femme pour mieux l’offrir. Elle se retrouva en porte
jarretelles et culotte devant son proviseur adjoint. Je l’abandonnais et me
reculais pour mieux admirer la scène. Il y avait comme quelque chose d’indécent
de voir ce corps de bourgeoise à la merci d’un autre homme, pire d’un supérieur
hiérarchique, elle qui rechigne toujours à s’exposer totalement.
Je ne pouvais pas m’en empêcher, je sortais mon sexe et le masturbais, le
regard fixe sur le couple formé. Jean ouvrit son pantalon, ma femme caressa ses
bourses à travers le tissu, elle raffole de ça.
Il insinua sa main dans la culotte d’Annie, en passant par le côté de l’entre jambe. Sa main était totalement plaquée sur son sexe, l’autre placée sur ses reins. « Ah » souffla t-elle. Les
convenances étaient finies, elle n’était plus qu’un sexe. Il tâtait le « territoire ». Puis, il la retira, et replongea dans la petite culotte par le haut. J’attendais ce moment. La main gonfla le tissu, elle s’agitait. Je devinais comme lors d’expériences similaires, que ses doigts prenaient possession de sa fente, dressaient son clitoris, pénétraient son vagin.
Ma femme râlait « c’est bon, c’est bon » jamais je ne l’avais entendue se
manifester ainsi. Il cessa ses caresses. Il se mit à lui palper les seins, dessiner la courbe de ses hanches, prendre fermement ses fesses, écarter les lobes. Elle abandonnait son corps,
elle si vigoureuse, refusant toute directivité d’habitude. J’étais aux anges,
le spectacle me faisait battre le cœur.
J’entendis que ma femme disait tout bas à Jean « prends moi ». Il ne répondit
pas. Mais il glissa lentement la culotte d’Annie, pour lui signifier qu’il allait la baiser. Elle apparut nue devant lui comme une petite fille, sa toison était totalement dévoilée.
Il la fit se courber, les mains sur le tabouret de piano proche, pour qu’elle lui
offre à la vue toute son intimité. Il lui fit écarter plus largement les
jambes, pour découvrir les replis secrets de sa toison. Elle ne bronchait pas,
elle s’exécutait.
« Tu as un cul fantastique, bien pommé. Cambre toi plus pour que je vois bien
ta chatte ». Ces mots résonnent encore dans ma tête. Elle obéissait à ses
ordres. J’en étais surpris.Il lui tira ses lèvres pour découvrir la blessure
rose de son sexe. Moi, son mari, ne l’avait jamais vue avec autant d’indécence.
Puis je vis Jean baisser son slip. Son sexe en érection apparu. J’aime cet
instant , c’est celui qui dit que votre femme va appartenir ne serait-ce qu’un
instant totalement à un autre. C’est une jouissance cérébrale très forte. Elle
ne sentit pas cette préparation. Il s’accrocha à ses hanches et la pénétra d’un
seul coup, fermement. « oh » dit-elle. Il s’activa en elle avec énergie. Son
corps était devenu son objet. Elle se laissait faire les yeux clos, pour
savourer. Les femmes ferment souvent les yeux, le psychique l’emporte sur le
visuel, contrairement à nous. Jean me dit : « à toi ». Je plongeais à mon tour
dans son vagin mouillé, élargi par le désir, gluant de plaisir. Nous nous
relayâmes plusieurs fois. Je voulais qu’il arrache l’ultime jouissance à Annie. Je le vis se courber sur elle, l’agripper, accélérer ses va-et-vient jusqu’à ce qu’une jouissance secoue de spasmes Annie.
« Ton mari t’offre un grand plaisir. Tu as de la chance. Profites-en » dit
jean à ma femme, gênée.
Nous reprîmes la conversation, mais mon épouse voulait encore atteindre
l’extase sachant que nous n’avions pas éjaculé.
« Tu veux monter, on sera mieux » dit-elle. Ils montèrent et les laissant
seuls pour qu’elle révèle son côté femelle. C’est vrai que les femmes
rechignent à monter leur vrai visage en présence de leur mari avant d’être bien
chaudes.
J’entendais des bruits des frottements, des soupirs. Je m’occupais de ma verge
pour entretenir un doux plaisir. Je montais aussi sans faire de bruit. Qu’elle
ne fût pas ma surprise. Ma femme était agenouillée aux pieds de son proviseur
adjoint. Celui-ci la tenait par les cheveux, inclinant sa tête. Il pénétrait sa
bouche avec son gland, imposant son rythme et la profondeur de
l’introduction. Elle se laissait guider, sans broncher. Ce rapport imposé lui
plaisait. Elle me l’avoua après, me précisant qu’elle avait éprouvé une certaine
honte à se laisser aller devant moi. Elle s’était soumise à lui. J’aurai aimé
d’autres expériences comme celle-la.
Nous n’avions pas encore joui. C’était à nous d’en profiter.
« A nous de jouir maintenant. Mets toi à quatre pattes» lui lança t-il sans qu’elle ne paraisse choquée.
« Ressort mieux tes fesses que ça, écarte toi bien pour t’offrir, montre nous ta chatte» prodiguait le proviseur, totalement à l’aise.
« Prend possession de ta femme » poursuivit-il. Je la pénétrais ainsi (elle
n’aime pas en général, vu l’attitude de soumission) et commençais mes va et
vient. Puis il prit ma place, je vis son sexe bien s’enfoncer. Il se courba sur elle, l’agrippant aux épaules.
« Tu vas nous dire je jouis quand tu jouira » lui intima-il.
« Non » fit-elle en secouant la tête.
« Si » dis-je.
« Aller fais le » reprenions nous en cœur.
Dans un violent spasme elle cria « je jouiiiiiiiii… ».
Jean continua ses mouvements. Je le vis se tendre , sa respiration s’accéléra et il éjacula en elle …