Spéciale présidentielles!... Petit fantasme inspiré par ce dimanche de premier tour... Oui au vote B
par BelleIsa - 23 avr. 2017, 18:04
- 23 avr. 2017, 18:04
#2024667
Spécialement inspiré par les évènements du jour, voici un petit fantasme rapidement écrit, à développer !
Pour des raisons pratiques, j’ai choisi de nommer "François" le candidat que nous soutiendrons dans cette histoire. A vous d’en faire le "François" de votre choix !
C’est le soir du premier tour, les résultats viennent de tomber. Le candidat que je soutiens avec mon mari est au second tour et a une nette avance sur son concurrent. Nous avons déjà participé à des actions de collage d’affiche, et ce soir encore, à 23h, quelques heures donc après la réception des résultats, nous sommes tous les deux en mission dans les rues de Paris avec un bon paquet de nouvelles affiches, pour un recollage en force !
Nous sortons d’un bon restaurant où nous avons diné avec des amis. Lui est en costume, moi j’ai une jolie robe noire peu décolletée mais avec un dos nu assez plongeant. Ma robe s’arrête juste au-dessus du genou, et je porte des escarpins bordeaux, assortis à mon rouge à lèvre et au nœud qui attache mes cheveux. Il est donc 23h, et nous collons à tour de bras, particulièrement appliqués à recouvrir les affiches du candidat opposé ! Nous rions, cella nous rappelle notre jeunesse !
Quand soudain, une fourgonnette blanche s’arrête à notre hauteur bruyamment. Quatre hommes baraqués en descendent et s’approchent vers nous, menaçant. Nous reconnaissons des membres de l’équipe adverse, et nous ne savons pas à quoi nous attendre… Ils nous entourent, nous ne pouvons plus nous échapper. Mon mari tient les affiches, moi la colle. Ils nous bousculent un peu, nous intimident, se demandent ce qu’ils vont bien pouvoir faire de nous. Quelques plaisanteries grivoises, l’un d’entre eux ose même effleurer mes seins. Mon mari de dit rien, il n’ose pas. Pour l’humilier, l’un d’entre eux saisi mon pinceau plein de colle, et en badigeonne le dos de mon mari avant d’y apposer l’affiche du candidat que nous soutenons. Puis il fait mine de le sodomiser, prononçant fort le nom du candidat assortit d’un « je t’encule François !! », sous les rires gras de ses collègues. Mon mari est rouge de honte, mais ne dis toujours rien !
L’un d’eux passe ses bras autours de ma taille et m’attire contre lui en me demandant « Alors ma belle, tu ne préfères pas les hommes forts aux looser ? Tu ne vas pas rester avec un pédé quand même ! » Je ne sais que dire. Je réfléchis vite, et je décide de jouer leur jeu. Je fais mine de ne rien oser dire, d’être gênée.
Dans leurs têtes aussi les idées défilent… « Que penses-tu du vote blanc ? » me demande celui qui tient mon mari. Je suis étonnée. « Je pense qu’il devrait être reconnu » dis-je aussitôt. Tous alors explosent de rire. « Vous avez entendu les gars ?! Elle est pour le vote blanc la petite dame ! Allez ! Embarquez-les !! »
Aussitôt nous sommes jetés sans ménagement à l’arrière de la camionnette qui démarre et roule à vive allure. Nos yeux sont bandés. Nous avons assez peur.
Après 20 bonnes minutes de trajet, nous nous arrêtons, nous descendons et nous sommes emmenés dans un sous-sol, dans une petite salle. Un des hommes enlève nos bandeaux. Nous supposons être dans un QG de campagne, aux murs des affiches du candidat opposé. Il y a quelques hommes qui semblent occupés. « Ils arrivent dit l’un d’eux ».
J’essaie de capter le regard de mon époux qui regarde autour de lui sans trop comprendre.
« Elle est belle ta femme… Elle mérite mieux que toi » dit l’un des hommes.
Il s’approche de moi et relève ma robe, exposant à tous ma culotte de soie noire. Doucement il l’enlève, et me force à écarter les jambes. Il s’agenouille ensuite face à moi et commence à me lécher du bout de la langue. Mon mari le regarde faire, sidéré. Mais je sais qu’au fond de lui il aime ça… Moi aussi d’ailleurs, et cet homme-là sait s’y prendre ! Mais alors que je prenais mon pied, il se relève, et intime l’ordre à mon mari de prendre sa place, et de me lécher. Mon époux obéi et introduit sa langue en moi. C’est agréable, mais c’est vrai que c’est moins bien. L’homme semble le voir sur mon visage. « Il est moins bon que moi, hein ? » dit-il. « Oui », dis-je à mi-voix en baissant la tête.
« Alors si il est moins bon c’est que ce n’est pas un homme ! » lance-t-il à ses collègues présents. « Et si ce n’est pas un homme, qu’est-ce que c’est ? »
« UNE FEMME !! » répondent-ils en chœur. Je regarde mon époux qui sous l’émotion a arrêté de me lécher, il me regarde, il a atteint à présent la couleur bordeaux de mes chaussures.
Des hommes le saisissent en lui enlèvent son pantalon, et le penchent sur une table, fessier tendu vers l’assemblée. Une bonne quarantaine d’hommes nous entourent à présent. Sur le dos de mon mari l’affiche est toujours collée. Ils me font avancer et me positionnent de façon identique, juste en face de lui.
« Regarde cocu, on va bien la baiser ta femme. Elle qui veut que le vote blanc soit reconnu, on va lui en bourrer l’urne ! » Je le regarde, il me regarde. Je sais qu’il est transit entre un mélange d’excitation intense et de peur. Je sens son odeur, sa sueur, cette odeur si caractéristique des grandes frayeurs. Et en même temps je sens de sa tête à quelques centimètres de la mienne, une intense chaleur qui se dégage.
« Alors mes amis, les consignes de votes sont simples : vous avez ici le représentant du candidat que nous détestons ! Selon votre choix, enculez-le ou cocufiez-le ! Vous avez deux heures pour remplir leurs urnes ! On dépouillera ensuite et le plus rempli des deux emportera l’élection ! A vous de jouer ! »
Aussitôt dit, les uns se mettent derrière lui, les autres derrière moi, et je sens aussitôt une verge épaisse entrer en moi, brulante d’envie. Le gaillard me ramone sans ménagement et me donne un plaisir indicible ! Il tient fermement mes hanches et me bourre sans ménagement. Ca fait longtemps que je n’avais pas été baisée comme ça ! Soudain je l’entends grogner et je sens son sperme chaud se répandre à grands jets au fond de moi. Mais aussitôt, il applique une grande claque sur ma fesse droite en disant « A voté ! » Puis il se retire un autre prend aussitôt sa place. Sur ma fesse blanche subsiste rouge et chaude la trace de la main du précèdent. Je regarde mon mari, il est en train de se faire prendre par un petît excité sous les yeux du colosse au regard amusé qui compte lui succéder. Le petit l’encule en regardant l’affiche du candidat et en criant de toutes ses forces « T’as vu François !! T’es cocu François !! T’es pédé et t’es cocu !! Tu la sens passer ma bite François !! Je te la mets bien profond moi aussi, hein ?! » Mon mari me regarde, il bande ferme lui aussi… Un claque retenti sur ses fesses « A voté !! » Et c’est le colosse qui l’empoigne, et le prend à son tour…
Allez ! Bonne soirée à tous !
Pour des raisons pratiques, j’ai choisi de nommer "François" le candidat que nous soutiendrons dans cette histoire. A vous d’en faire le "François" de votre choix !
C’est le soir du premier tour, les résultats viennent de tomber. Le candidat que je soutiens avec mon mari est au second tour et a une nette avance sur son concurrent. Nous avons déjà participé à des actions de collage d’affiche, et ce soir encore, à 23h, quelques heures donc après la réception des résultats, nous sommes tous les deux en mission dans les rues de Paris avec un bon paquet de nouvelles affiches, pour un recollage en force !
Nous sortons d’un bon restaurant où nous avons diné avec des amis. Lui est en costume, moi j’ai une jolie robe noire peu décolletée mais avec un dos nu assez plongeant. Ma robe s’arrête juste au-dessus du genou, et je porte des escarpins bordeaux, assortis à mon rouge à lèvre et au nœud qui attache mes cheveux. Il est donc 23h, et nous collons à tour de bras, particulièrement appliqués à recouvrir les affiches du candidat opposé ! Nous rions, cella nous rappelle notre jeunesse !
Quand soudain, une fourgonnette blanche s’arrête à notre hauteur bruyamment. Quatre hommes baraqués en descendent et s’approchent vers nous, menaçant. Nous reconnaissons des membres de l’équipe adverse, et nous ne savons pas à quoi nous attendre… Ils nous entourent, nous ne pouvons plus nous échapper. Mon mari tient les affiches, moi la colle. Ils nous bousculent un peu, nous intimident, se demandent ce qu’ils vont bien pouvoir faire de nous. Quelques plaisanteries grivoises, l’un d’entre eux ose même effleurer mes seins. Mon mari de dit rien, il n’ose pas. Pour l’humilier, l’un d’entre eux saisi mon pinceau plein de colle, et en badigeonne le dos de mon mari avant d’y apposer l’affiche du candidat que nous soutenons. Puis il fait mine de le sodomiser, prononçant fort le nom du candidat assortit d’un « je t’encule François !! », sous les rires gras de ses collègues. Mon mari est rouge de honte, mais ne dis toujours rien !
L’un d’eux passe ses bras autours de ma taille et m’attire contre lui en me demandant « Alors ma belle, tu ne préfères pas les hommes forts aux looser ? Tu ne vas pas rester avec un pédé quand même ! » Je ne sais que dire. Je réfléchis vite, et je décide de jouer leur jeu. Je fais mine de ne rien oser dire, d’être gênée.
Dans leurs têtes aussi les idées défilent… « Que penses-tu du vote blanc ? » me demande celui qui tient mon mari. Je suis étonnée. « Je pense qu’il devrait être reconnu » dis-je aussitôt. Tous alors explosent de rire. « Vous avez entendu les gars ?! Elle est pour le vote blanc la petite dame ! Allez ! Embarquez-les !! »
Aussitôt nous sommes jetés sans ménagement à l’arrière de la camionnette qui démarre et roule à vive allure. Nos yeux sont bandés. Nous avons assez peur.
Après 20 bonnes minutes de trajet, nous nous arrêtons, nous descendons et nous sommes emmenés dans un sous-sol, dans une petite salle. Un des hommes enlève nos bandeaux. Nous supposons être dans un QG de campagne, aux murs des affiches du candidat opposé. Il y a quelques hommes qui semblent occupés. « Ils arrivent dit l’un d’eux ».
J’essaie de capter le regard de mon époux qui regarde autour de lui sans trop comprendre.
« Elle est belle ta femme… Elle mérite mieux que toi » dit l’un des hommes.
Il s’approche de moi et relève ma robe, exposant à tous ma culotte de soie noire. Doucement il l’enlève, et me force à écarter les jambes. Il s’agenouille ensuite face à moi et commence à me lécher du bout de la langue. Mon mari le regarde faire, sidéré. Mais je sais qu’au fond de lui il aime ça… Moi aussi d’ailleurs, et cet homme-là sait s’y prendre ! Mais alors que je prenais mon pied, il se relève, et intime l’ordre à mon mari de prendre sa place, et de me lécher. Mon époux obéi et introduit sa langue en moi. C’est agréable, mais c’est vrai que c’est moins bien. L’homme semble le voir sur mon visage. « Il est moins bon que moi, hein ? » dit-il. « Oui », dis-je à mi-voix en baissant la tête.
« Alors si il est moins bon c’est que ce n’est pas un homme ! » lance-t-il à ses collègues présents. « Et si ce n’est pas un homme, qu’est-ce que c’est ? »
« UNE FEMME !! » répondent-ils en chœur. Je regarde mon époux qui sous l’émotion a arrêté de me lécher, il me regarde, il a atteint à présent la couleur bordeaux de mes chaussures.
Des hommes le saisissent en lui enlèvent son pantalon, et le penchent sur une table, fessier tendu vers l’assemblée. Une bonne quarantaine d’hommes nous entourent à présent. Sur le dos de mon mari l’affiche est toujours collée. Ils me font avancer et me positionnent de façon identique, juste en face de lui.
« Regarde cocu, on va bien la baiser ta femme. Elle qui veut que le vote blanc soit reconnu, on va lui en bourrer l’urne ! » Je le regarde, il me regarde. Je sais qu’il est transit entre un mélange d’excitation intense et de peur. Je sens son odeur, sa sueur, cette odeur si caractéristique des grandes frayeurs. Et en même temps je sens de sa tête à quelques centimètres de la mienne, une intense chaleur qui se dégage.
« Alors mes amis, les consignes de votes sont simples : vous avez ici le représentant du candidat que nous détestons ! Selon votre choix, enculez-le ou cocufiez-le ! Vous avez deux heures pour remplir leurs urnes ! On dépouillera ensuite et le plus rempli des deux emportera l’élection ! A vous de jouer ! »
Aussitôt dit, les uns se mettent derrière lui, les autres derrière moi, et je sens aussitôt une verge épaisse entrer en moi, brulante d’envie. Le gaillard me ramone sans ménagement et me donne un plaisir indicible ! Il tient fermement mes hanches et me bourre sans ménagement. Ca fait longtemps que je n’avais pas été baisée comme ça ! Soudain je l’entends grogner et je sens son sperme chaud se répandre à grands jets au fond de moi. Mais aussitôt, il applique une grande claque sur ma fesse droite en disant « A voté ! » Puis il se retire un autre prend aussitôt sa place. Sur ma fesse blanche subsiste rouge et chaude la trace de la main du précèdent. Je regarde mon mari, il est en train de se faire prendre par un petît excité sous les yeux du colosse au regard amusé qui compte lui succéder. Le petit l’encule en regardant l’affiche du candidat et en criant de toutes ses forces « T’as vu François !! T’es cocu François !! T’es pédé et t’es cocu !! Tu la sens passer ma bite François !! Je te la mets bien profond moi aussi, hein ?! » Mon mari me regarde, il bande ferme lui aussi… Un claque retenti sur ses fesses « A voté !! » Et c’est le colosse qui l’empoigne, et le prend à son tour…
Allez ! Bonne soirée à tous !
