- 18 avr. 2017, 03:10
#2022718
Voici le rêve que j'ai fait ce matin. Dite moi si c'est un indice sur mon fanstame d'ête cocu ?
Ma femme et moi venu d’avoir notre séance de soins relaxants, massages et nous venons de sortir de nos douches respectives. Tous les deux, nous nous retrouvons dans le couloir avec pour seul habit un peignoir blanc. Nous échangeons un regard complice et un petit baiser. Nous entrons dans un grand vestiaire. Sur notre gauche se trouve une rangée de casiers et au centre se trouve un énorme pouf, suffisamment grand pour accueillir au moins cinq personnes. Nous nous dirigeons vers le pouf et nous nous y installons l’un à côté de l’autre. Le pouf est confortable et nous sommes pratiquement allongés. Heureusement que nos peignoir sont correctement ceinturés.
Nous nous tenons l’un à côté de l’autre, nos mains tendrement enlacées. Je commence doucement à somnoler. Je susurre à l’oreille de ma femme que peut être nous devrions retourner dans notre chambre pour profiter un peu de ce temps de tranquillité. Mais la torpeur me gagne. Dans un demi-rêve, entre veille et conscience, je vois un homme entrer dans le vestiaire par le couloir d’où nous venions. Il est grand et bien bâti, il ne nous regarde pas et se dirige tout droit vers son casier. Il se déshabille comme si nous n’étions pas là, peut-être qu’il ne nous a pas vus. Il range ses affaires et se retrouve tout nu. Je remarque un tatouage tribal sur sa cuisse droite.
A ce moment-là, il se retourne vers nous et nous regarde. Maintenant face à nous, je peux voir son sexe entouré d’une toison parfaitement entretenue. Sa virilité est encore au repos mais elle est déjà impressionnante. Je me demande pourquoi il nous regarde soudainement, enfin surtout ma femme. Et je comprends qu’il avait constaté que ma femme ne l’avais pas quitté des yeux depuis son entrée. Le regard de l’homme reste planté pendant un long moment dans celui de ma femme. Ce moment se prolonge et dans mon demi-sommeil, je sens la main de ma femme doucement se desserrer et glisser hors de la mienne. Je ne retiens pas sa main, je n’y arrive pas ou n’en ai pas envie. Dans le même temps, et à mon plus grand étonnement, je vois les jambes de ma femme s’écartées doucement, tout doucement. Le peignoir suit le mouvement de ses jambes et s’écarte aussi doucement pour exposer sans pudeur son intimité. Je n’y crois pas, elle est vraiment en train de lui montrer son sexe, elle qui est d’habitude si pudique, si passive.
Allongé à côté d’elle, je ne sais si je rêve ou si c’est la réalité, je suis comme dans un état second et je suis comme paralysé. A côté de moi, ma femme a maintenant, de façon complètement impudique, les jambes largement écartées. Elle dévoile ainsi à cet inconnu sa petite toison qu’elle avait pris soin de délicatement raccourcir le matin même, ainsi que sa vulve toute lisse. Je crois même que son autre main se faufile vers son bas-ventre et commence à caresser son clitoris. L’homme n’avait pas bougé et continuait à regarder ma femme. Son sexe cependant commence à réagir. Tout à coup, je sens que je m’enfonce un peu plus dans le pouf et entre mes paupières lourdes de sommeil je vois ma femme se lever. Elle se lève dans un mouvement souple et divin et elle le rejoint. Elle marche vers lui en prenant tout son temps. D’une main, je vois qu’elle desserre sa ceinture de peignoir qui doucement tombe à terre. Son peignoir, toujours sur ces épaules, balance au rythme de son déhanché qu’elle exagère au fur et à mesure qu’elle avance vers lui. Délicatement le peignoir glisse de ses épaules à ses bras pour enfin complètement tomber par terre. Hallucinant, ma femme est complètement nue devant un autre homme. Il lève la main le long du bras de ma femme et délicatement redescend, caressant du revers de sa main son bras. De son autre main, il caresse délicatement le sein de ma femme et lui pince le téton durcit par l’excitation.
Ma femme s’agenouille devant lui et commence à flatter le sexe de notre inconnu. Elle caresse respectueusement sa bite avant de la prendre complètement en main pour la mettre au garde à vous. L’homme descend ses mains le long du visage de ma femme et lui caresse doucement les joues. Ma femme décide de baiser ce sexe dressé devant elle, et commence à le lécher. D’abord le gland, puis de haut en bas avant de l’avaler goulument.
Dans mon état second, je m’aperçois que c’est la première fois que je la vois faire une fellation avec autant d’envie, elle qui d’habitude n’aime pas trop ce genre de pratique. Au visage de notre inconnu je sens qu’il apprécie cette pipe. Mais il en veut plus. Il la fait se relever et sa main descend le long du ventre de ma femme. Elle écarte timidement les jambes pour lui laisser libre accès à sa vulve. Il la caresse, glisse ses doigts, la pénètre de ses doigts. Elle rejette la tête en arrière et commence à plier les genoux sous les assauts répétés. Puis il la retourne vers les cassiers pour qu’elle y pose les mains. Il la cambre et lui fait écarter les jambes. Il se place derrière elle et ma pénètre sans égard. Elle pousse en arrière à la rencontre de son sexe puis se cambre de plus belle pour bien sentir sa queue en elle. Il la besogne pendant un moment avant de la retourner et de la porter. Il se dirige vers moi en la portant dans ses bras. Elle se laisse faire et passe ses bras autour de son cou le visage caché dans le creux du cou. En fait, il ne vient pas vers moi mais pour le pouf et il compte bien en profiter. Il allonge ma femme à côté de moi comme si je n’existais pas. Elle écarte d’elle-même les jambes pour lui donner pleine accès à sa chatte déjà bien luisante de désir et ouvert de plaisir. Il s’agenouille entre ses jambes et rentre, comme au ralenti, sa queue dans la chatte de ma femme qui s’ouvre sur son passage pour l’absorber complètement. Elle gémit de plaisir, mais pas trop fort pour ne pas me « réveiller ». Il la prend de plus en plus sauvagement et elle se pince les lèvres mais j’entends quand même ces « hmm, hmm ». Alors dans un chuchotement elle lui dit : « Prends-moi à fond ! Met la moi bien profond ! ». Ce qu’il fait dans l’instant et ce à quoi elle répond : « Oui, comme ça tout au fond ! ». Ma femme relève et écarte ses jambes afin de lui faciliter la pénétration pour qu’elle soit la plus profonde possible. Il la pilonne de toute sa longueur, accentue ces va et vient en elle, sort sa bite presque complètement avant de la replonger au plus profond de sa chatte. Ils continuent comme ça toutes les deux pendant un temps infini. Puis l’homme se penche vers elle et lui murmure dans le creux de l’oreille : « Je ne vais pas tarder à venir, je vais sortir de ton sexe et je vais venir sur tes seins ».
A ma plus grande surprise, ma femme se cambra encore plus et resserra ses jambes autour de lui. Puis dans un souffle quasi inaudible, elle lui dit : « non, reste en moi. Viens en moi. »
Alors dans un dernier mouvement encore plus bestial, l’inconnu hausse le rythme et dans un râle il vide ses couilles en plusieurs longs jets dans la chatte de ma femme, au plus profond de son intimité, dans ce sanctuaire que moi seul avait jusque-là été.
Puis dans un dernier petit moment d’échange entre eux deux, et il se lève et part s’habiller pour repartir d’où il était venu. Alors on se retrouve tous deux dans ce vestiaire, seul, comme dans un rêve, tous les deux allongés sur le pouf. D’ailleurs était-ce un rêve ? Dans mon état de demi-conscience, je bouge les doigts puis la main et j’entre en contact avec le corps de ma femme qui est à côté de moi. Au même endroit que lorsque nous nous sommes allongés un peu plus tôt. J’entends sa respiration, lente comme si elle dormait. Ma main remonte le long de sa hanche et passe du côté de son ventre. Puis elle descend le long de son mont de Vénus. Je m’y attarde un peu et la masse doucement en jouant avec ses poils. Puis, ma main glisse le long du haut de sa cuisse. Elle écarte légèrement les jambes me donnant accès à sa petite chatte. Mes doigts découvrent son intimité déjà bien humide et son clito me semble bien dresser. Serait-elle excitée ? Je continue mon exploration et descend encore plus bas vers son vagin. Et là, je sens qu’elle est déjà ouverte, ses lèvres sont trop humides et glissantes, son clitoris trop dur, sa vulve bien trop glissante. Et de son vagin, cette fois-ci c’est sûr, le liquide qui s’écoule ce n’est pas ses sécrétions habituelles, alors ce n’était pas un rêve, elle l’a vraiment fait.
Ensuite je me suis réveillé. J'avais éjaculé dans mon sommeil.
dur réveil.
Ma femme et moi venu d’avoir notre séance de soins relaxants, massages et nous venons de sortir de nos douches respectives. Tous les deux, nous nous retrouvons dans le couloir avec pour seul habit un peignoir blanc. Nous échangeons un regard complice et un petit baiser. Nous entrons dans un grand vestiaire. Sur notre gauche se trouve une rangée de casiers et au centre se trouve un énorme pouf, suffisamment grand pour accueillir au moins cinq personnes. Nous nous dirigeons vers le pouf et nous nous y installons l’un à côté de l’autre. Le pouf est confortable et nous sommes pratiquement allongés. Heureusement que nos peignoir sont correctement ceinturés.
Nous nous tenons l’un à côté de l’autre, nos mains tendrement enlacées. Je commence doucement à somnoler. Je susurre à l’oreille de ma femme que peut être nous devrions retourner dans notre chambre pour profiter un peu de ce temps de tranquillité. Mais la torpeur me gagne. Dans un demi-rêve, entre veille et conscience, je vois un homme entrer dans le vestiaire par le couloir d’où nous venions. Il est grand et bien bâti, il ne nous regarde pas et se dirige tout droit vers son casier. Il se déshabille comme si nous n’étions pas là, peut-être qu’il ne nous a pas vus. Il range ses affaires et se retrouve tout nu. Je remarque un tatouage tribal sur sa cuisse droite.
A ce moment-là, il se retourne vers nous et nous regarde. Maintenant face à nous, je peux voir son sexe entouré d’une toison parfaitement entretenue. Sa virilité est encore au repos mais elle est déjà impressionnante. Je me demande pourquoi il nous regarde soudainement, enfin surtout ma femme. Et je comprends qu’il avait constaté que ma femme ne l’avais pas quitté des yeux depuis son entrée. Le regard de l’homme reste planté pendant un long moment dans celui de ma femme. Ce moment se prolonge et dans mon demi-sommeil, je sens la main de ma femme doucement se desserrer et glisser hors de la mienne. Je ne retiens pas sa main, je n’y arrive pas ou n’en ai pas envie. Dans le même temps, et à mon plus grand étonnement, je vois les jambes de ma femme s’écartées doucement, tout doucement. Le peignoir suit le mouvement de ses jambes et s’écarte aussi doucement pour exposer sans pudeur son intimité. Je n’y crois pas, elle est vraiment en train de lui montrer son sexe, elle qui est d’habitude si pudique, si passive.
Allongé à côté d’elle, je ne sais si je rêve ou si c’est la réalité, je suis comme dans un état second et je suis comme paralysé. A côté de moi, ma femme a maintenant, de façon complètement impudique, les jambes largement écartées. Elle dévoile ainsi à cet inconnu sa petite toison qu’elle avait pris soin de délicatement raccourcir le matin même, ainsi que sa vulve toute lisse. Je crois même que son autre main se faufile vers son bas-ventre et commence à caresser son clitoris. L’homme n’avait pas bougé et continuait à regarder ma femme. Son sexe cependant commence à réagir. Tout à coup, je sens que je m’enfonce un peu plus dans le pouf et entre mes paupières lourdes de sommeil je vois ma femme se lever. Elle se lève dans un mouvement souple et divin et elle le rejoint. Elle marche vers lui en prenant tout son temps. D’une main, je vois qu’elle desserre sa ceinture de peignoir qui doucement tombe à terre. Son peignoir, toujours sur ces épaules, balance au rythme de son déhanché qu’elle exagère au fur et à mesure qu’elle avance vers lui. Délicatement le peignoir glisse de ses épaules à ses bras pour enfin complètement tomber par terre. Hallucinant, ma femme est complètement nue devant un autre homme. Il lève la main le long du bras de ma femme et délicatement redescend, caressant du revers de sa main son bras. De son autre main, il caresse délicatement le sein de ma femme et lui pince le téton durcit par l’excitation.
Ma femme s’agenouille devant lui et commence à flatter le sexe de notre inconnu. Elle caresse respectueusement sa bite avant de la prendre complètement en main pour la mettre au garde à vous. L’homme descend ses mains le long du visage de ma femme et lui caresse doucement les joues. Ma femme décide de baiser ce sexe dressé devant elle, et commence à le lécher. D’abord le gland, puis de haut en bas avant de l’avaler goulument.
Dans mon état second, je m’aperçois que c’est la première fois que je la vois faire une fellation avec autant d’envie, elle qui d’habitude n’aime pas trop ce genre de pratique. Au visage de notre inconnu je sens qu’il apprécie cette pipe. Mais il en veut plus. Il la fait se relever et sa main descend le long du ventre de ma femme. Elle écarte timidement les jambes pour lui laisser libre accès à sa vulve. Il la caresse, glisse ses doigts, la pénètre de ses doigts. Elle rejette la tête en arrière et commence à plier les genoux sous les assauts répétés. Puis il la retourne vers les cassiers pour qu’elle y pose les mains. Il la cambre et lui fait écarter les jambes. Il se place derrière elle et ma pénètre sans égard. Elle pousse en arrière à la rencontre de son sexe puis se cambre de plus belle pour bien sentir sa queue en elle. Il la besogne pendant un moment avant de la retourner et de la porter. Il se dirige vers moi en la portant dans ses bras. Elle se laisse faire et passe ses bras autour de son cou le visage caché dans le creux du cou. En fait, il ne vient pas vers moi mais pour le pouf et il compte bien en profiter. Il allonge ma femme à côté de moi comme si je n’existais pas. Elle écarte d’elle-même les jambes pour lui donner pleine accès à sa chatte déjà bien luisante de désir et ouvert de plaisir. Il s’agenouille entre ses jambes et rentre, comme au ralenti, sa queue dans la chatte de ma femme qui s’ouvre sur son passage pour l’absorber complètement. Elle gémit de plaisir, mais pas trop fort pour ne pas me « réveiller ». Il la prend de plus en plus sauvagement et elle se pince les lèvres mais j’entends quand même ces « hmm, hmm ». Alors dans un chuchotement elle lui dit : « Prends-moi à fond ! Met la moi bien profond ! ». Ce qu’il fait dans l’instant et ce à quoi elle répond : « Oui, comme ça tout au fond ! ». Ma femme relève et écarte ses jambes afin de lui faciliter la pénétration pour qu’elle soit la plus profonde possible. Il la pilonne de toute sa longueur, accentue ces va et vient en elle, sort sa bite presque complètement avant de la replonger au plus profond de sa chatte. Ils continuent comme ça toutes les deux pendant un temps infini. Puis l’homme se penche vers elle et lui murmure dans le creux de l’oreille : « Je ne vais pas tarder à venir, je vais sortir de ton sexe et je vais venir sur tes seins ».
A ma plus grande surprise, ma femme se cambra encore plus et resserra ses jambes autour de lui. Puis dans un souffle quasi inaudible, elle lui dit : « non, reste en moi. Viens en moi. »
Alors dans un dernier mouvement encore plus bestial, l’inconnu hausse le rythme et dans un râle il vide ses couilles en plusieurs longs jets dans la chatte de ma femme, au plus profond de son intimité, dans ce sanctuaire que moi seul avait jusque-là été.
Puis dans un dernier petit moment d’échange entre eux deux, et il se lève et part s’habiller pour repartir d’où il était venu. Alors on se retrouve tous deux dans ce vestiaire, seul, comme dans un rêve, tous les deux allongés sur le pouf. D’ailleurs était-ce un rêve ? Dans mon état de demi-conscience, je bouge les doigts puis la main et j’entre en contact avec le corps de ma femme qui est à côté de moi. Au même endroit que lorsque nous nous sommes allongés un peu plus tôt. J’entends sa respiration, lente comme si elle dormait. Ma main remonte le long de sa hanche et passe du côté de son ventre. Puis elle descend le long de son mont de Vénus. Je m’y attarde un peu et la masse doucement en jouant avec ses poils. Puis, ma main glisse le long du haut de sa cuisse. Elle écarte légèrement les jambes me donnant accès à sa petite chatte. Mes doigts découvrent son intimité déjà bien humide et son clito me semble bien dresser. Serait-elle excitée ? Je continue mon exploration et descend encore plus bas vers son vagin. Et là, je sens qu’elle est déjà ouverte, ses lèvres sont trop humides et glissantes, son clitoris trop dur, sa vulve bien trop glissante. Et de son vagin, cette fois-ci c’est sûr, le liquide qui s’écoule ce n’est pas ses sécrétions habituelles, alors ce n’était pas un rêve, elle l’a vraiment fait.
Ensuite je me suis réveillé. J'avais éjaculé dans mon sommeil.
dur réveil.