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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
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par BelleIsa
#2016494
Voilà. Ce weekend je devais cocufier mon chéri et le lui raconter ici, ou lui écrire une histoire si je n’y parvenais pas. Et comme je n’y suis pas parvenue, voici un nouveau fantasme !

Il se déroule le jour de notre mariage. Familles et amis ainsi que quelques collègues de travail sont réunis pour assister à cette belle cérémonie, dans un petit village pittoresque de Bretagne, sous un magnifique ciel bleu qu’éclaire un soleil radieux.
Il est 10h du matin, la cérémonie est prévue pour 11H30. Je me prépare. Mon futur mari a l’interdiction de me toucher depuis un mois jour pour jour, afin d’avoir le plaisir de me redécouvrir ce soir. Je me prépare donc pour être la plus belle possible, tenue très sexy au-dessous (porte jarretelle et corset blanc immaculés, mais pas de culotte, suivant les ordres de mon futur époux) et assez sage au-dessus, une belle robe blanche assez simple mais très gracieuse, qui me transforme en jeune fille pure, insoupçonnable !

Une fois prête, je dois filer à la sacristie pour achever de régler les derniers détails de la cérémonie avec le prêtre. Ce que je fais. Il est seul. Il sort les instruments nécessaires à la bénédiction. Juché sur un tabouret il se dresse sur la pointe des pieds pour attraper le calice qui est sur une haute étagère. Ses doigts sont longs et fins.
Il redescend et m’aperçoit. « Ho ! Vous êtes très belle ! » dit-il. Je le remercie en rougissant. Il est très beau, assez jeune encore, 35 ans tout au plus. Ses cheveux sont noirs et bouclés sous son calot. Il semble assez élancé, il est grand, sa peau semble fraiche et douce. Je ne peux m’empêcher de penser que c’est du gâchis qu’un tel homme se soit privé de femmes. Ses yeux noirs sont doux, mais semblent animés d’une lueur particulière.
Je ne peux m’empêcher de sentir un certain désir monter en moi, d’autant plus que je suis à jeun depuis un mois moi aussi, ce qui est rarissime !
Pour penser à autre chose je demande au prêtre l’autorisation de mettre mon vernis à ongle tout en l’écoutant m’énoncer une fois encore le déroulement de la cérémonie. Il m’autorise en rigolant à « faire ce qu’il faut pour être parfaite en ce grand jour ». Je débouche mon petit flacon que je pose sur la longue table en bois et je commence mon petit peinturlurage du bout des doigts. Lui m’expose le déroulement des évènements, et prend quelques notes sur une feuille de papier. Je décroche, je ne l’écoute plus, je regarde sa nuque, son cou, ses cheveux, sa bouche dont les lèvres bougent si délicatement… Mon souffle s’accélère, mais je suis un peu gênée par mon corset. Il a fini, moi aussi. J’attends que mes ongles sèchent à présent. Je lui demande comment est la vie de prêtre. « C’est un vœu tout aussi engageant que celui du mariage » me répond-il. A ce moment-là je le veux et je décide de tout faire pour l’avoir. Je lui explique (faussement) que j’ai peur de ne pas savoir rester toute ma vie fidèle à mon mari. Que j’ai bien peur qu’il soit rapidement impuissant et que de toute façon il ne semble pas vraiment porté sur la chose. « Peut-être est-ce de ma faute, peut-être que je ne lui plais pas » dis-je en baissant les yeux. Le prêtre vient vers moi et prend mes mains dans les siennes pour me rassurer. « Ne vous inquiétez pas, je suis certaine que vous lui plaisez beaucoup, vous être une très belle jeune femme, et vous serez une épouse et une mère formidable »me dit-il. Je relève lentement la tête vers lui. Je le fixe droit dans les yeux, comme si j’étais pleine d’espoir et de confiance : « Vous croyez ? » Il presse mes mains et répond « J’en suis certain ».

Je lui demande comment il a choisi son métier. La vocation me répond-il. Je lui dis que souvent la vocation survient après une histoire malheureuse avec une femme. Il me dit que ce n’est pas son cas, qu’il n’en a jamais connu. Cet aveu m’excite au plus haut point ! Je sens que je commence à lubrifier abondamment. Je lui demande si ça ne lui manque pas, ainsi que le fait de n’avoir pas d’enfant. « Ce que l’on ne connaît pas ne peut pas vraiment nous manquer. Quant au fait d’avoir des enfants… Si, un peu. Mais c’est mon choix » dit-il tout en versant le vin de la cérémonie dans le calice doré.

Appuyée contre la table je le regarde. Je le désire. Mais je dois faire vite, la pendule marque déjà 11H ! Je respire un grand coup et je me lance. J’avance vers lui. Arrivée à sa hauteur il fait volte-face, et nous nous retrouvons nez à nez. Je suis presque aussi surprise que lui. Heureusement, le hasard m’a aidé.
Il me regarde et devient rouge. Il balbutie « Vous, enfin... votre… Vous avez… » Je ne le comprends pas. Il baisse les yeux vers ma poitrine et faisant de même, je remarque alors qu’un de mes tétons s’est échappé de mon bustier, sans doute quand j’ai pris ma respiration avant de me diriger vers lui. Il est là, tranquille, rose, dépassant de ma robe blanche, comme une petite fleur fraiche dans la neige. Il est tout dur d’excitation. Il attend.
Dans ma tête, les choses vont très vite. Je dois en profiter. Je fais mine d’être très gênée et d’essayer de le replacer à l’abri de nos regard, tout en essayant de ne pas toucher ma robe blanche avec mes ongles tout juste vernis de rouge carmin. C’est une situation impossible. Je le fais comprendre au prêtre. Je ne peux pas le faire seule, mon vernis n’est pas sec et je ne peux pas tacher ma robe blanche à quelques minutes de la cérémonie !
En réalité, mon vernis est sec depuis longtemps, miracle du ‘’24secondes chrono séchage express’’ que j’ai acheté pour l’occasion. Mais ça, il ne le sait pas !
« Aidez-moi s’il vous plait. Je ne peux rien faire avec mes mains. » Il rougit, semble embarrassé, alors je le regarde avec des yeux pleins d’innocence. Convaincu il accepte. S’approche de moi, et essaie maladroitement, sans me faire mal, de tirer sur le corset pour laisser l’impudent mamelon reprendre sa place. Discrètement je gonfle ma poitrine pour faire échouer sa manœuvre. Constatant son échec il semble un peu indécis, me regarde, cherchant mon approbation pour tenter une autre méthode. Je valide d’un petit signe de tête. Alors il pose sa main droite sur mon sein, le plaque fermement et de l’autre main tire de nouveau sur mon bustier pour replacer l’intrus. La technique fonctionne. Mais au moment où il veut retirer sa main, je pose la mienne dessus, pour l’empêcher de partir. Je le regarde, il est beau, tremblant, je lui demande si il trouve agréable de toucher les seins d’une femme. Il me répond que oui, que c’est très doux et très chaud. Mon cœur bat plus vite, et je vois que son souffle s’accélère. J’enserre sa taille de son bras libre. Il ne m’en empêche même pas. Je le serre contre moi à présent. Je sens toute l’empreinte de son corps contre le mien. A travers nos deux robes nos corps rayonnent de chaleur et d’envie, et je sens que son sexe durcit terriblement. Il me semble d’ailleurs de très grosse taille. J’appuie encore plus fort mon sexe contre son membre, tout en reculant tout doucement jusqu’à la longue table en bois. A présent je m’assieds sur le rebord de la lourde table, tout en tenant fermement contre moi le jeune prêtre qui ne se débat pas. Son souffle fébrile m’indique la diminution régulière de sa volonté de résister, et son augmentation croissante de pénétrer en moi. Pour ma part je lubrifie abondamment.

Je remonte alors mes jambes autour de sa taille. Il me laisse encore faire. Alors, enhardie par ce succès, je remonte les pans de ma robe jusqu’à mon nombril, laissant voir mon sexe avide de plaisir à mon partenaire. D’ailleurs il le regarde avec émotion, et sa main presse mon sein un peu plus. Je glisse son autre main sur ma taille. Je soulève sa soutane pour découvrir un caleçon ample, blanc à petites fleurs jaunes…
Il tremble un peu, et de peur qu’il ne m’échappe j’accélère la manœuvre. Je baisse ce dernier vêtement, et je découvre l’énorme sexe rouge parcouru de veines violacées qui se dresse face à moi ! Son gland au bout duquel perle déjà une grosse goute de liquide séminal, est démesurément grand, et je me dis un instant que la pénétration va être impossible. Mais mon envie de me faire foutre par l’homme qui va m’unir à mon époux dans quelques minutes est trop grande pour que je renonce. Je saisis son sexe et le dirige vers le miens. Il me regarde sans comprendre. Tout en fixant ses yeux, je commence la lente pénétration. Je sens progressivement son énorme gland monter en moi, défonçant tout sur son passage. A la moitié de son sexe il s’arrête, et semble reprendre ses esprits. Je n’ose pas bouger, j’ai peur qu’il renonce. Au bout de quelques secondes je décide de ne pas lui laisser le choix, et mes jambes qui l’enlacent le serrent contre moi, ce qui a pour effet d’introduire la moitié de pénis restante dans mon vagin. Cette pénétration brutale lui arrache un gémissement de plaisir. Maintenant il est au fond de moi, tout au fond de moi. Il me regarde. La lueur de son regard change et se fait plus sombre à présent. Aussitôt il me met deux grands coups de bassins, et je gémis à mon tour de bonheur. Ce sexe est si j’ose dire, un cadeau du ciel ! Il me regarde à présent comme si il avait sur moi tout pouvoir. « Salope, tu veux que je te baise, hein ? He bien je vais te baiser, je vais bien te baiser puisque ton mari ne te touche pas assez. Je vais tellement te défoncer que ce soir il ne touchera plus les bords ! Espèce de salope, va ! » Et en disant ses mots il se met à donner des grands coups de pénis dans ma petite chatte humide qui n’en demandait pas tant. Je m’abandonne à lui. Il me tringle sans ménagement, aussi fort qu’il peut, il grogne de plaisir et de rage. Sa main sur mon sein est à présent serrée et le comprime, mais j’aime ça. « Imprime bien ce que tu sens sale trainée ! Ce sera sans doute une autre danse ce soir ! » dit-il encore.
Soudain il se retire. Je rouvre les yeux et je le regarde. En un mouvement, et d’une force que je ne soupçonnais pas, il me retourne et me met dos à lui, courbée sur la table. Ses deux mains saisissent mes hanches et avant que j’ai eu le temps de comprendre quoi que ce soit, je sens son énorme bite entrer en moi de nouveau. Et cette pénétration s’accompagne d’une gigantesque claque sur mes fesses blanches. Je ne le sais pas encore, mais cette marque rouge restera intacte pendant presque trois jours, pour le plus grand délice de mon mari ! Il parcourt mon orifice vaginal avec la vigueur d’un jeune étalon. « Salope ! Salope !! Si ton mari savait qu’il va épouser une telle chienne ! Pauvre homme. Avec une pute dans ton genre il ne pourra jamais être certain d’être le père de vos enfants ! » dit-il tout en continuant à me labourer. Moi, étendue sur la table, je profite de chaque seconde de plaisir qu’il me donne. Mon sexe est de plus en plus chaud, et le sien est presque brulant. Je sens le bout de sa verge comme un tison au fond de mes entrailles. Tout à coup, me pénétrant totalement, il s’immobilise. Je le sens tressaillir. « Tiens, prend ça salope ! T’es bonne qu'à ça espèce de putain !!!! » et, disant ses mots, je sens son membre agité de secousse répandre en moi tout le sperme chaud qu’il gardait en réserve depuis des années. Je défaille de plaisir. Au bout de trois longs jets puissants il recommence à me défoncer de ses coups de boutoir, tout en grimaçant de plaisir. Les cloches commencent à sonner, et sous les coups de bite du prêtre qui finit de se vider dans ma petite chatte de future mariée, je jouis à mon tour. Je défaille, je crie, je râle, son pénis énorme amplifie mon orgasme, et il jouit encore. Je me sens pleine. Lui par contre doit se sentir vide… Il s’est arrêté, les cloches sonnent toujours. Il reste en moi quelques minutes, les bras le long du corps, il réalise sans doute ce qu’il vient de faire. Moi je me remets, la chatte pleine, je reprends mon souffle. Il se retire, remonte son caleçon, rabaisse sa soutane. Je me redresse, je reprends mes esprits. Il est 11H35 à présent. Tout le monde doit nous attendre. Je réajuste ma robe, vérifie mon maquillage dans le miroir de mon poudrier. Je replace quelques mèches de cheveux. Lui me regarde, il semble perdu dans ses pensées. Je le rassure. Je lui dis de ne pas s’en vouloir. Que c’est l’œuvre du seigneur. Intérieurement je suis morte de rire, mais je ne laisse rien paraître. La seule œuvre du seigneur ici c’est son énorme engin. Et dieu que je l’en remercie !
Je file à l’entrée de l’église, où mon beau-père m’attend pour me mener à l’hôtel. « Vous êtes radieuse ! » me dit-il. Nous marchons, je contracte mon périnée aussi fort que possible pour ne pas laisser échapper sur mon trajet la précieuse semence du jeune prêtre dont je vois la silhouette se dessiner près de l’autel. J’entends nos invités féliciter ma bonne mine, mon visage rayonnant et mes joues roses. Je me retiens de rire. J’avance plus vite, je sens le sperme descendre peu à peu en moi, je dois arriver à l’autel rapidement.

Une fois près de mon mari, je le regarde avec un grand sourire, et des yeux coquins. Incrédule je le vois écarquiller les siens. La cérémonie commence, il étend sa main, nous sommes dos à l’assemblée, et ma main s’approche de la sienne pour se poser dessus. C’est alors que je lui fais le signe du cocu avec les doigts. Ses yeux deviennent fous et brillent de mille feux. Je le vois me regarder fou de désir. J’aime ça !
Le long de mes jambes je sens la cuvée spéciale du prêtre qui dégringole. J’essaie bien de l’étaler en mes cuisses mais il y en a trop. Mon futur époux, sans un mot essaie de savoir quel est l’auteur de ce cocufiage pré-marital. D’un regard je lui désigne le prêtre qui avance vers nous. Mon amoureux, septique me regarde. Je fais un petit pas en arrière, et je le laisse apercevoir la petite flaque de sperme crémeux qui vient tomber de mon vagin sur le sol. Mon futur époux regarde incrédule cet amas. Puis regarde le prêtre qui arrive justement vers nous. Puis nous regardons de nouveau tous les trois la semence blanchâtre qui tache le sol de pierre grise. Puis mon mari et le prêtre se regardent de nouveau. Il sait. Et l’autre sait qu’il sait. Je me délecte de cette scène. Le prêtre blêmis. Je vois dans le pantalon de mon mari une bosse qui signifie clairement qu’il est excité et prêt à m’en remettre une deuxième couche dès que la cérémonie sera terminée !
J’ai hâte. Mais la cérémonie d’abord. Nous devons nous jurer fidélité ! ;)

Voilà ! Il y a une petite variante possible que j’espère pouvoir vous proposer rapidement. J’espère que mon amoureux aura suite à cette lecture très envie de m’épouser rapidement ! (Une salope de cette envergure il vaut mieux ne pas la laisser trainer dans la nature, surtout quand elle a la cuisse légère !) ^^ Et plus sérieusement j’espère que ça lui permettra un petit moment de détente après son dur weekend.

Commentez ! Ça me motive pour écrire !! Ce que vous aimez, n’aimez pas… Etc… Merci !
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par Carnelu
#2023792
Mickey51 a écrit :I love it ! Quelle chance il a de t'avoir effectivement


Oh oui, j'en ai conscience et je savoure cette chance chaque jour !! Et c'est encore plus intense maintenant que d'autres la savourent aussi de temps à autre...

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