- 26 nov. 2016, 18:23
#1970980
A lire en premier http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?f=46&t=69593&p=1968419#p1968510
Que seraient l'érotisme et le libertinage dans une réflexion morale ? De la copulation bestiale.
C'est ce que les bigots, les ayatollahs, les culs serrés, voudraient nous faire croire. Et force est de constater, dans bien des cas, ils n'ont pas tout à fait tort.
Ouvrez n'importe quel magazine libertin "papier" : amoncellement de corps, concours de la plus belle bite, de la chatte la plus aguicheuse… symphonie de roses crus. BEURK : " Je baise donc je suis ".
L'objet n'est pas d'interdire. A la limite, il est souhaitable que ce monde existe, il est même utile de l'explorer.
Mais donner du sens à ces actes, à ces jeux, ne serait pas sans conséquence pour notre liberté. Eros peut primer sur Thanatos, l'instinct de vie et de plaisir sur celui de la mort et de la mortification.
Ils sont nombreux, d'Héraclite à Onfray, en passant par les libertins du XVIIIème siècle à avoir cherché à faire de ce plaisir " le but de l'"exisence ".
Un(e) bon(ne) libertin(e) doit se placer dans cette perspective et en étudier les idées.
"Jouir et faire jouir sans faire de mal ni à toi ni à personne, voilà je crois le fondement de toute morale."
Nicolas de Chamfort
Que seraient l'érotisme et le libertinage dans une réflexion morale ? De la copulation bestiale.
C'est ce que les bigots, les ayatollahs, les culs serrés, voudraient nous faire croire. Et force est de constater, dans bien des cas, ils n'ont pas tout à fait tort.
Ouvrez n'importe quel magazine libertin "papier" : amoncellement de corps, concours de la plus belle bite, de la chatte la plus aguicheuse… symphonie de roses crus. BEURK : " Je baise donc je suis ".
L'objet n'est pas d'interdire. A la limite, il est souhaitable que ce monde existe, il est même utile de l'explorer.
Mais donner du sens à ces actes, à ces jeux, ne serait pas sans conséquence pour notre liberté. Eros peut primer sur Thanatos, l'instinct de vie et de plaisir sur celui de la mort et de la mortification.
Ils sont nombreux, d'Héraclite à Onfray, en passant par les libertins du XVIIIème siècle à avoir cherché à faire de ce plaisir " le but de l'"exisence ".
Un(e) bon(ne) libertin(e) doit se placer dans cette perspective et en étudier les idées.
"Jouir et faire jouir sans faire de mal ni à toi ni à personne, voilà je crois le fondement de toute morale."
Nicolas de Chamfort