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Il y a quelques années, j'avais conçu pour une femme (qui avait une bonne expérience, sortait de deux ans de lesbianisme et souhaitait être soumise un scénario intitulé Valorisation des acquis de l'expérience érotique. Une variation sur le thème du maître et de l'élève. Ce scénario a duré deux ans jusqu'à ce qu'il soit interrompu par une "longue maladie". J'étais très attaché à cette élève et sa disparition m'a beaucoup affecté. J'avais mis le scénario de côté mais il en restait quelques traces sur Internet. Pour des raisons d'évolution personnelle, je souhaite reprendre ce scénario. Je vais progressivement republié le contenu du projet et le contrat qu'avait signé cette soumise sur mon blog rubrique "VAEE". Pour le découvrir suivre : https://libertinagetpolitique.blogspot.fr/
S'il y a des candidates intéressées, elles peuvent me joindre en MP avec une lettre de motivation. Il faut ce qu'il faut

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Ce projet vient en complément de celui des "petits soupers " : http://www.forum-candaulisme.fr/viewtopic.php?t=69535

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(NDLR) Je recherche une jeune femme curieuse qui souhaiterait se soumettre aux règles de ce scénario. Laisser messages en MP

Qu'importe les raisons intimes qui font qu'une personne s'engage, par contrat, à se soumettre à une autre devenue de ce fait dominatrice.

C'est un jeu et tout jeu à ses règles.

Dans ce monde de la domination/soumission, le modèle généralement mis en avant est celui du " maître et de l'esclave ", décalage répétitif d' "Histoire d'O ".

Non seulement soucieux de faire preuve d'originalité, mais conscient que s'agissant d'adultes ayant fait leurs parts d'expériences, bonnes et mauvaises, le scénario d'initiation ne s'imposait pas, dans quelles directions pouvait-on trouver cette originalité ?

Par ailleurs, adepte d'un hédonisme libertaire, certaines connotations (cf : " Portier de nuit "= ne facilitaient pas la recherche d'un scénario qui voulait échapper aux clichés. Il ne s'agissait surtout pas de transformer la soumise en actrice passive de sa vie ou d'acquérir, à bon compte, une " bonne à tout faire ", un situation malheureusement trop souvent croisée.

L'idée de la VAEE, validation des acquis de l'expérience érotique, est tombée à point pour solutionner ce dilemme.

La relation entre l'élève et le maître, entre le candidat et l'examinateur, entre le disciple et le professeur, se situe dans un monde d'adulte en devenir. Épisodique, elle tient tout autant sur l'autorité bienveillante et le respect actif, sur la réprimande que sur la récompense…

A l'âge adulte, il est parfois utile de faire le point, de vérifier la validité de ses connaissances et de ses savoirs faire, de compenser ses manques et de découvrir de nouveaux territoires de la connaissance.

C'est dans ce cadre, que le programme de la VAEE a été conçu.

A la différence des " humanités classiques ", la VAEE est le produit d'expériences concrètes, de visites, de voyages… complétés par une réflexion " humaniste " sur les fruits de ces savoirs acquis.
A la différence des " humanités classiques ", qui isolent les savoirs, la VAEE s'appuie sur la pluridisciplinarité (baliser un maximum des champs de l'expérience érotique) et la transdisciplinarité (mélanger ces savoirs pour un meilleur " être au monde ")
La VAEE s'appuie sur " des disciplines " (les savoirs à améliorer ou à acquérir) et " une discipline " (les règles à respecter dans ce travail de découverte, les punitions et les récompenses qui balisent les progrès et les manques dans les travaux pratiques).