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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
#1962863
Cela faisait très longtemps que ce fantasme faisait partie de moi. Un jour il me prit d’avouer à ma compagne, au détour d’une conversation, que oui, j’aimerai la voir dans les bras d’un autre homme... Evidemment, elle ne pu concevoir même une seule seconde que je puisse penser à une telle chose. Preuve d’un manque d’amour de ma part ou alors si ce n’était pas le cas, d’une pure perversité.
Pas la peine d’insister, ni même de me justifier. Les choses ont été très claires : sexe = sentiments. C’est ainsi. Ok pour moi, ce n’est qu’un fantasme... On va pas se faire des noeuds à cause de ça... le jeu n’en vaut pas la chandelle. Je ne suis même pas sûr que je supporterai de le réaliser. Je suis, paradoxalement, d’un naturel jaloux.

Malgré tout, l’aveux était fait. Une confidence suffisamment atypique et surprenante pour que son esprit soit marqué. Son inconscient empreinté.
Le temps passe et un jour alors qu’elle était partie faire une course au supermarché du coin, elle remarqua un homme plutôt seduisant, la quarantaine à peine grisonnante sur sa barbe qui ajoutait un aspect viril à ce qu’il semblait avoir de charme naturel.
Elle l’avait déjà vu souvent ici, il doit être du quartier mais cette fois ci, il l’a regardait... La suivait du regard. C’est peut-être pour cela que cette fois ci elle remarqua son charme.

Ce n’était pas la 1ère fois qu’un homme la regardait, loin de là, mais son charme à lui faisait qu’elle se sentait plus flattée que d’habitude. Mais bon, bref cette histoire s’arrête là. Son modèle, c’est moi. Sa vie c’est moi. Elle n’y prêtera pas plus d’attention que cela. Elle continue de déambuler dans les rayons oubliant presque ce bel homme.

Soudain, surprise. Une main se pose sur son épaule en même temps qu’une voix grave et suave lui dit "Excusez moi mademoiselle, désolé de vous importuner mais je ne peux m’empêcher de vous regarder. Vous êtes..." et il finit par un soupir.
Elle compris bien sûr de quoi était faite la fin de cette phrase et répondit "merci, c’est gentil mais je suis déjà en couple" avec un air désolé mais souriant.
Il n’a pas insisté et leurs chemins se sont séparés ainsi.
De retour à la maison, elle me racontait cette scène qu’elle venait de vivre et me dit sans mentir qu’elle l’avait trouvé beau garçon mais surtout très courageux.
Je n’ai pas fait cas de cette histoire et nous avons continué nos occupations.

Ce soir là, je l’ai trouvé différente. En venant me retrouver au lit, elle avait enfilé sa nuisettes la plus sexy. La noire transparente et ses bas résilles.
"J’ai envie d’être belle" me dit-elle l’air épanoui.
D’habitude, c’est moi qui la pénétrait mais cette fois, c’est elle qui a inséré ma verge dans son intimité.
Elle fermait les yeux pendant que nous faisions l’amour.
Evidemment, j’avais fait le rapprochement avec ce qui c’était passé à la superette. Mais je n’ai rien dit. Cela m’a excité et je m’étais imaginé que ce n’était pas moi qui lui faisait l’amour mais "lui".
Au final, nous avons tout les 2 eu le même fantasme sans se le dire...

Des jours, des semaines passèrent. Quelques fois je la trouvais pensive.
Un jour, elle me surprit en me demandant si j’avais toujours le même fantasme. C’était un soir où nous avions bu une bouteille de vin tout les 2 après un repas en amoureux.
Je lui répondis que oui mais que j’avais bien compris que ça ne lui disait rien.
Elle me dit "alors qu’est ce qu’on fait ?".
Cette question m’a frappé de plein fouet. Une étape, au moins au niveau de la discussion, allait être franchie.
"Je ne sais pas... Tu as une idée toi ?"
"Tu te rappelles du gars dont je t’avais parlé qui m’a dragué l’autre jour au magasin ? Eh bien qu’est ce que tu dirais si je lui rendai le compliment qu’il m’a fait l’autre fois ?"
Je lui reponds avec un pincement au coeur "vas y... il te plaisait ?"
"Il était vraiment mignon oui et du coup pourquoi pas vu que tu m’as dit que ça te plairait"
J’étais mal mais excité je lui donnais mon accord sur le champs.

Je ne lui posais qu’une condition, celle d’être présent. "Mon fantasme ,c’est de t’admirer".

Je ne lui ai même pas demandé pourquoi elle avait changé d’avis. J’aurai dû...
Quand nous avons fait l’amour cette nuit là, le gode était de sortie et je lui demandais clairement pour la 1ère fois d’imaginer que c’était lui. Elle aimait ça, son corps parlait.

Quelques jours plus tard, nous sommes retournés au supermarché avec pour but d’accoster ce mystérieux monsieur. Elle s’apprêtait et moi, j’apprehendais.
Nous sommes resté au moins une heure à parcourir les rayons avec un caddie faussement rempli.
Nous allions partir bredouille quand soudain elle fit un petit saut d’excitation en me disant "il est làbas !".
Mon coeur s’est mis à battre la chamade, je passait au scanner cet homme qui était à quelques mètres de nous.
"Qu’est ce que je fais ? J’y vais ? T’es sûr ?"
Mon coeur a dit "non" ma bouche a dit "ok vas y". Et elle y allait sans même m’embrasser.

Elle l’accosta assez franchement et je le voyais sourire puis se gratter la tête.
Elle me montra du doigt et me fit signe de venir les rejoindre.
Il prit la parole directement : "Salut, c’est bizarre votre délire. Mais je vais dire ok pour voir. Vous avez une femme superbe. Je crois que je ne pourrais pas passer à côté d’une telle occasion même si ce n’est que pour pouvoir effleurer sa peau.".
Je la voyais flattée, souriante..
Je proposais que nous allions faire connaissance dans un bar pas loin et nous nous y rendîme.
Ils discutaient tous les 2. Moi j’étais en retrait, je les regardais comme hypnotisé. Il l’a faisait rire. Il était intelligent, il était fin. Je voyais en lui les qualités que je n’avais pas et j’assistais, avec jalousie et impuissance, à la naissance de toutes les affinités qu’ils pouvaient avoir.
Il nous proposa de se revoir vite. Dès le lendemain. Ma femme était d’accord, je n’ai pas donné plus d’avis qu’un hochement de tête et eĺle lui proposa de venir boire l’apéro à la maison. Il se firent la bise en partant, elle en en posant sa main sur sa hanche.

Une fois rentrés, on en a pas vraiment discuté. Elle ne disait plus rien.
"Alors ?" lui demandais je pour casser le silence.
"Alors il est vraiment craquant, après, on verra...".
J’aurais dû en discuter beaucoup plus avec elle pour avoir son ressenti mais je ne l’ai pas fait. J’étais dans mes pensées à imaginer la suite...
On a pas fait l’amour même si on en avait envie.

Le lendemain soir arriva. Elle était belle.
Sous ses habits se cachait sa plus belle lingerie et ce soir, accessoire qu’elle ne sortait jamais, elle mit ses talons aiguille.
Un beau rouge à lèvre, un peu de maquillage sans exagération.

Il frappa à la porte, elle lui ouvrit.
Moi je me suis mis naturellement dans le rôle d’un hôte qui accueillerai un couple. J’ai mis de la musique et faisait le service.
Ils étaient installés sur le canapé. Ils discutaient. Ils s’entendaient bien. Je n’en étais pas ravi...
Pourtant, je continuais de favoriser le passage à l’acte en remplissant régulièrement les verres et en laissant seuls en ma présence.
Elle ne faisait pas attention à moi. Elle s’intéressait à lui. Elle regardait tout le temps ses lèvres.
Elle finit par craquer et lui fit un smack en plein milieu de sa phrase.
Il lui rendit un baiser plus long, plus charnel et je la vis se laisser emporter. L’heure n’était plus à la discussion. Quant à moi je restais invisible. Il y avait pourtant un volcan à l’intérieur de moi. Je voulais tout arrêter, c’était insupportable. J’avais mal. Il y a quelques temps il lui était impossible selon elle d’avoir des rapports sans sentiments...
Qu’est ce qui me retenait ? Cette bosse dans mon caleçon ? Ma jalousie se transcendait en exitation.
Elle lui enleva le haut puis elle le laissa la désabiller. Il ne lui restait plus comme vêtement que son string, ses bas et ses talons.
Puis ils continuèrent à s’embrasser avec passion. Je voyais leur langue s’entremêler avec lenteur.
Elle lui caressait et lui embrassait le torse, lui, il lui caressait ses cuisses galbées par ses bas.
Elle semblait déguster avec une infinie profondeur toutes les sensations qu’elle vivait et chaque cm2 de sa peau.
Il se leva, baissa son pantalon et se mit face à elle. Elle parcouru sa verge, la lécha puis la glissa lentement dans sa bouche. J’étais médusé. Mon érection me faisait presque mal alors j’ai sorti ma queue pour masturber doucement.

L’étape suivante fût tout aussi intense et c’est une véritable étape que de l’avoir vu retirer son string car cela signifiait qu’elle voulait l’avoir en elle.
Elle s’allongea sur le dos et lui s’allongea sur elle.
Avec moi, c’est à ce moment qu’elle sort le tube de vaseline pour s’en étaler une noisette sur le vagin.
Là, pas de vaseline...
Il l’embrassait toujours et cherchait instinctivement l’entrée de son vagin sans s’aider de ses mains.
J’ai compris que la pénétration avait lieu lorsque j’ai vu la tête de ma femme partir en arrière et le démarrage d’un lent va et vient des hanches de son amant.
De mon côté je ne me touchais presque pas de peur de jouir trop vite.
Ils étaient beaux. Elle était magnifique.
Ils n’ont pas changé de position. Cela a duré un bon 1/4 d’heure. Ma femme a eu des orgasmes pendant le rapport car elle a été prise de légers spasmes. L’un a été plus puissant que les autres lorsqu’il s’est mis à accéler ses coup de reins, juste avant d’éjaculer.
Elle lui a dit "viens" et... il est venu... C’est à ce moment là que moi aussi j’ai joui.
Avant qu’ils ne se rhabillent, ils sont restés un petit moment à se câliner.
Moment plein de culpabilité pour moi. L’excitation est descendu en flèche. J’étais au plus mal et n’avait besoin que d’une chose : que ma femme me rassure, qu’elle me revienne.

Nous avons convenu que la soirée s’arrêtait là. Il s’est rhabillé, elle est restait nue. Elle l’a raccompagné à la porte. Ils se sont embrassés une dernière fois et lui a dit "tu sais où me trouver, à bientôt j’espère".

Elle ferma la porte et se mit à pleurer. Elle s’assit sur le canapé où avait eu lieu leur rapport. Je lui demandais ce qu’il se passait. Elle ne me répondit pas tout de suite.
Puis elle me regarda les yeux plein de larmes et me dit "je suis en train de tomber amoureuse..."

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