- 15 sept. 2016, 11:00
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M est une grande femme sèche, au sourire marquant. Elle aime les tenues ajustées très serrées et reçoit des couples tous les soirs.
Se retrouvent là un médecin fameux totalement soumis à son impérieuse infirmière de femme. Quelquefois ils apportent avec eux un soumis qui trouve son plaisir dans l’effacement et la frustration. C’est un monsieur tout le monde qui traîne, grotesque, derrière eux comme pour rendre service. Souvent il est habillé en femme, il échauffe, il astique, il nettoie.
Il y a aussi souvent le marchand de porc en gros et sa femme, elle aussi est dominante, mais surtout elle est vicieuse, je crois qu’hors libertinage elle serait bien une méchante bonne femme.
M a toujours auprès d’elle des jeunes femmes indolentes qui n’obéissent qu’après un temps, sans qu’on sache si tout cela les ennuie profondément ou si une sorte de mépris est exigé par M.
Ce soir quand je suis arrivé et qu’une de ces jeunes femmes a pris mes vêtements (on se rafraîchi et on découvre la tenue que M aimera de vous voir porter dans un petit salon près du hall, toute opération assistée, bien entendu, de l’ange qui vous reçoit ) quand je suis arrivé donc j’ai repéré de nouveaux invités.
Je les connaissais tous les deux pour avoir été sucé par ce curieux couple quelques semaines plus tôt. Je me suis rappelé immédiatement le jeu de rôle, le passage de pouvoir et enfin leur jouissance amoureuse devant moi.
J’étais un peu surpris de les voir là. Il prétendaient que monsieur était soumis, mais je sais que ça n’est que partiellement vrai.
Quand je suis venu saluer M au salon bleu, tout ce petit monde était assis dans les fauteuils confortables.
Déjà M avait demandé à l’infirmière si son mari et leur soumis pouvait faire le service.
Bien entendu l’infirmière s’était fait un devoir d’exiger de son mari mais surtout du soumis de servir les boissons et de prendre soins des invités.
M était servie la première et pour remercier aimablement le service, elle renversa un peu de son champagne sur ses cuisses. Tout de suite le médecin compris l’hommage exceptionnel qui était fait a sa dévotion et vînt récupérer avec la langue le breuvage entre les doigts de pied de M à travers ses chaussures ouvertes, puis sur son pied, sur la chaînette de sa cheville, les jambes et presque les cuisses de M, mais sa femme lui a demandé de bien se conduire en société et il s’est remis à son service.
Pendant ce temps, monsieur tout le monde avait distribué du champagne à tous les convives sauf une des jeune femmes de M qui avait horreur de tous ces trucs et s’était fait servir un schweppes agrumes après avoir regardé trop longtemps le soumis sans lui répondre, ce qui l’avait mis mal à l’aise. Ensuite elle avait ri, sans que je puisse comprendre ce que ce rire recouvrait.
Dans le couple curieux seule Fuki trinquait, parce que monsieur s’était présenté comme soumis mais bien vite tout le monde a remarqué l’effronterie de Fuki qui partageait sa coupe avec son mari. Le message est passé qu’il faudrait avoir des égards pour monsieur.
La femme du marchand de porc était assez vulgaire, son corps rond, son visage et ses tétons fardés, ses manières et surtout sa façon de s’adresser à son mari était d’une vulgarité telle qu’un certaine excitation venait naturellement à l’idée de l’avidité au vice de cette femme. La première elle écarta les jambes pour se caresser le ventre et les cuisses pendant que la conversation continuait comme si de rien n’était. Elle se caressait comme on se gratte, distraitement.
Mais bientôt les mots grossiers et la respiration plus profonde, le bruit humide des doigts qui se perdent autour du clitoris et entre les lèvres de la femme du marchand de porc, électrise un peu la conversation.
M demande alors à Fuki de…