- 20 août 2013, 20:00
#1403077
Mon métier m'oblige à m'éloigner régulièrement et longtemps de ma compagne. C'est très regrettable pour notre vie de couple, mais ça ne change pas grand chose à nos ébats de toute façon limités par le stress et la vie moderne.
Je ne sais pas, d'ailleurs, comment les femmes, jeunes et moins jeunes, à la libido hyperactive présentes (ou présentées) sur ce forum se débrouillent...
Quoi qu'il en soit, j'ai rencontré au hasard d'un séjour en Italie une jeune femme fort sympathique et avenante. Rapidement intéressés l'un par l'autre, nous nous sommes revus en toute amitié (il n'y a pas que le sexe, voyons...) et elle m'a présenté "un ami". Elle m'a avoué rapidement qu'il s'agissait de "son ami", plutôt que d' "un ami".
Distinction importante pour la suite.
En effet, quelques jours après, nous nous sommes rendus à Lido Centro (une station de train romain), pour aller à la plage. C'est toujours un plaisir d'aller à la plage à partir de Rome, quitter l'extrême chaleur de l'été (accompagné, en général, d'un plein train de jeunes gens comptant une bonne moitié de superbes créatures féminines, mais rester à Paris à son charme aussi... le RER, Gare du Nord.... à la réflexion, Paris risque d'avoir du mal à jouer dans cette cour là)
A la plage, nous nous déshabillons. La jeune femme portait un bikini très minimal, et j'avoue en être encore impressionné, telle une pellicule photographique exposée à trop de lumière... cerveau vide. J'ôte pour ma part mon jean, un Levi's qui en a vu des vertes et des pas mûres, et des kilomètres de paysages variés. Je n'hésite pas à dire que mon jean est mon outil de travail le plus fidèle! Et voilà, me voilà prêt à batifoler dans l'eau et prendre des coups de soleil douloureux, à peine atténués par la crème solaire appropriée. La peau pâle du travailleur de bureau ne pardonne guère!
Son ami, quelque peu en retard, nous rejoint au bout d'un petit quart d'heure et se débarrasse de son propre jean.
Santa madonna! comme s'écrient les romains. L'animal!
Le très moulant boxer de coton noir qu'il portait ne dissimulait pas grand chose du monstre. La nature de leur relation m'apparut dès lors une inévitable réalité. Musclé, puissant, intelligent et doté d'un calibre "arme de guerre"? Certains hommes ont tout pour eux. La réaction des nombreuses natives du Lazio, toujours très discrètes... méditerranéennes oblige, ne laissait guère de doute sur ce point!
Nous avons bien profité de l'eau (loin d'être glacée, on s'en doute) de la Mer Tyrrhénienne, propice à faire la planche et autres activités reposantes.
J'ai gardé contact avec eux deux, qui ne voyagent pas toujours ensemble, la gazelle ayant un métier prenant dans le domaine du marketing en Allemagne, et lui vivant sur des fonds accumulés auparavant, profitant de son temps pour visiter l'Europe.
Le touriste. Il a bien raison, car maghrébin d'origine, il ne connait que le sud de la Méditerrannée (encore que depuis qu'il voyage, je soupçonne qu'il commence à connaître plus que moi mon continent!)
Mais je dérive, ou peut-être pas. J'ai toujours été tenté de voir ma compagne se soumettre à un arabe musclé, jeune, dominant, bien doté (figurez vous qu'ils ne le sont pas tous), mais aussi élégant, cultivé et intelligent. Le spécimen, évidemment, ne court pas les rues, les autochtones s'assurant de les garder pour elles (comment le leur reprocher?)...
J'aimerais lui proposer de visiter Paris, ma compagne pouvant l'accueillir dans son appartement. Évidemment, il aurait alors le choix entre un canapé trop petit pour son gabarit ou une moitié du grand lit. Je crois qu'il ne sera pas difficile sur ce point de convaincre ma très aimée, aussi généreuse qu'empathique, de partager amicalement une partie du lit.
La lampe "de chevet" étant au pied du lit (mais bon, 'lampe de pied de lit', c'est un peu ridicule, n'est-ce pas), et la salle de bain entre la lampe et le lit, lorsqu'il viendra s'allonger, elle ne pourra pas manquer de faire la même remarque que les romaines. J'espère que l'idée qu'elle est allongée à côté d'un étalon aura quelque effet sur sa nuit.
Il faut ajouter que ma belle ne dort jamais nue. Seule, elle porte un pyjama confortable, et disons-le, affreux, et je pense que le concepteur brûle déjà en Enfer pour l'atteinte au Beau que cette chose représente. En ma présence, et je pense en forme de compensation pour le peu d'activité qu'elle m'autorise, elle porte toujours de très jolies choses. Elle est magnifique, et gare à qui me contredirait sur ce point, il serait ignoré d'un total mépris
Quand des personnes extérieures sont présentes (copines, amis), elle porte en général un ensemble composé d'une culotte (qui peut, d'ailleurs, être sexy, car elle est cachée par un petit short de coton très laid), du dit short, et d'un t-shirt totalement informe qu'elle considère plus décent que son pyjama et ses nuisettes. Je ne suis pas totalement convaincu par son raisonnement sur ce point, le tshirt étant finalement relativement court, et rendu translucide par des années d'utilisation. Je pense, sans avoir la moindre justification, que le port du t-shirt en question est plus motivé par un sentiment de sécurité qu'autre chose, la dite sécurité provenant du fait qu'elle le porte depuis plus de 15 ans (ah, l'époque où les Français achetaient des tissus français... c'est pas de la qualité Shanghai, ma bonne dame). Forcément, étant très familier de ses courbes, je devine toujours son corps sous le tissu, mais je pense que d'autres yeux n'auraient pas plus de mal que moi à discerner la créature sous sa carapace illusoire...
Lui demander de se laisser aller, c'est l'assurance d'une scène de ménage (tu ne m'aimes donc plus, que tu veuilles me laisser à un autre?) Que diable, je sais, j'ai déjà tenté cette approche il y a longtemps, et je ne m'y risquerais plus!
Alors, comment faire pour orienter les choses vers un "accident"? J'ai pensé, le touriste maghrébin en question buvant autant d'alcool qu'un Lillois moyen (mais je n'ai rien contre les Lillois, je _con_sta_teuh), qu'encourager ma belle à lui faire visiter les coins cool de Paris, et en particulier certains bars sympas, pourrait aider quelque peu. L'alcool, comme chez de nombreuses femmes, la transforme quand il ne la rend pas malade...
**********
Qui sait, si ce fil est commenté peut-être fournirais-je quelque matière supplémentaire, support à l'imagination?
Nota: S'il vous plait, pas d'insulte ou de vulgarité, je ne trouve pas cela très ragoûtant...
Je ne sais pas, d'ailleurs, comment les femmes, jeunes et moins jeunes, à la libido hyperactive présentes (ou présentées) sur ce forum se débrouillent...
Quoi qu'il en soit, j'ai rencontré au hasard d'un séjour en Italie une jeune femme fort sympathique et avenante. Rapidement intéressés l'un par l'autre, nous nous sommes revus en toute amitié (il n'y a pas que le sexe, voyons...) et elle m'a présenté "un ami". Elle m'a avoué rapidement qu'il s'agissait de "son ami", plutôt que d' "un ami".
Distinction importante pour la suite.
En effet, quelques jours après, nous nous sommes rendus à Lido Centro (une station de train romain), pour aller à la plage. C'est toujours un plaisir d'aller à la plage à partir de Rome, quitter l'extrême chaleur de l'été (accompagné, en général, d'un plein train de jeunes gens comptant une bonne moitié de superbes créatures féminines, mais rester à Paris à son charme aussi... le RER, Gare du Nord.... à la réflexion, Paris risque d'avoir du mal à jouer dans cette cour là)
A la plage, nous nous déshabillons. La jeune femme portait un bikini très minimal, et j'avoue en être encore impressionné, telle une pellicule photographique exposée à trop de lumière... cerveau vide. J'ôte pour ma part mon jean, un Levi's qui en a vu des vertes et des pas mûres, et des kilomètres de paysages variés. Je n'hésite pas à dire que mon jean est mon outil de travail le plus fidèle! Et voilà, me voilà prêt à batifoler dans l'eau et prendre des coups de soleil douloureux, à peine atténués par la crème solaire appropriée. La peau pâle du travailleur de bureau ne pardonne guère!
Son ami, quelque peu en retard, nous rejoint au bout d'un petit quart d'heure et se débarrasse de son propre jean.
Santa madonna! comme s'écrient les romains. L'animal!
Le très moulant boxer de coton noir qu'il portait ne dissimulait pas grand chose du monstre. La nature de leur relation m'apparut dès lors une inévitable réalité. Musclé, puissant, intelligent et doté d'un calibre "arme de guerre"? Certains hommes ont tout pour eux. La réaction des nombreuses natives du Lazio, toujours très discrètes... méditerranéennes oblige, ne laissait guère de doute sur ce point!
Nous avons bien profité de l'eau (loin d'être glacée, on s'en doute) de la Mer Tyrrhénienne, propice à faire la planche et autres activités reposantes.
J'ai gardé contact avec eux deux, qui ne voyagent pas toujours ensemble, la gazelle ayant un métier prenant dans le domaine du marketing en Allemagne, et lui vivant sur des fonds accumulés auparavant, profitant de son temps pour visiter l'Europe.
Le touriste. Il a bien raison, car maghrébin d'origine, il ne connait que le sud de la Méditerrannée (encore que depuis qu'il voyage, je soupçonne qu'il commence à connaître plus que moi mon continent!)
Mais je dérive, ou peut-être pas. J'ai toujours été tenté de voir ma compagne se soumettre à un arabe musclé, jeune, dominant, bien doté (figurez vous qu'ils ne le sont pas tous), mais aussi élégant, cultivé et intelligent. Le spécimen, évidemment, ne court pas les rues, les autochtones s'assurant de les garder pour elles (comment le leur reprocher?)...
J'aimerais lui proposer de visiter Paris, ma compagne pouvant l'accueillir dans son appartement. Évidemment, il aurait alors le choix entre un canapé trop petit pour son gabarit ou une moitié du grand lit. Je crois qu'il ne sera pas difficile sur ce point de convaincre ma très aimée, aussi généreuse qu'empathique, de partager amicalement une partie du lit.
La lampe "de chevet" étant au pied du lit (mais bon, 'lampe de pied de lit', c'est un peu ridicule, n'est-ce pas), et la salle de bain entre la lampe et le lit, lorsqu'il viendra s'allonger, elle ne pourra pas manquer de faire la même remarque que les romaines. J'espère que l'idée qu'elle est allongée à côté d'un étalon aura quelque effet sur sa nuit.
Il faut ajouter que ma belle ne dort jamais nue. Seule, elle porte un pyjama confortable, et disons-le, affreux, et je pense que le concepteur brûle déjà en Enfer pour l'atteinte au Beau que cette chose représente. En ma présence, et je pense en forme de compensation pour le peu d'activité qu'elle m'autorise, elle porte toujours de très jolies choses. Elle est magnifique, et gare à qui me contredirait sur ce point, il serait ignoré d'un total mépris

Quand des personnes extérieures sont présentes (copines, amis), elle porte en général un ensemble composé d'une culotte (qui peut, d'ailleurs, être sexy, car elle est cachée par un petit short de coton très laid), du dit short, et d'un t-shirt totalement informe qu'elle considère plus décent que son pyjama et ses nuisettes. Je ne suis pas totalement convaincu par son raisonnement sur ce point, le tshirt étant finalement relativement court, et rendu translucide par des années d'utilisation. Je pense, sans avoir la moindre justification, que le port du t-shirt en question est plus motivé par un sentiment de sécurité qu'autre chose, la dite sécurité provenant du fait qu'elle le porte depuis plus de 15 ans (ah, l'époque où les Français achetaient des tissus français... c'est pas de la qualité Shanghai, ma bonne dame). Forcément, étant très familier de ses courbes, je devine toujours son corps sous le tissu, mais je pense que d'autres yeux n'auraient pas plus de mal que moi à discerner la créature sous sa carapace illusoire...
Lui demander de se laisser aller, c'est l'assurance d'une scène de ménage (tu ne m'aimes donc plus, que tu veuilles me laisser à un autre?) Que diable, je sais, j'ai déjà tenté cette approche il y a longtemps, et je ne m'y risquerais plus!
Alors, comment faire pour orienter les choses vers un "accident"? J'ai pensé, le touriste maghrébin en question buvant autant d'alcool qu'un Lillois moyen (mais je n'ai rien contre les Lillois, je _con_sta_teuh), qu'encourager ma belle à lui faire visiter les coins cool de Paris, et en particulier certains bars sympas, pourrait aider quelque peu. L'alcool, comme chez de nombreuses femmes, la transforme quand il ne la rend pas malade...
**********
Qui sait, si ce fil est commenté peut-être fournirais-je quelque matière supplémentaire, support à l'imagination?
Nota: S'il vous plait, pas d'insulte ou de vulgarité, je ne trouve pas cela très ragoûtant...