- 15 juin 2010, 07:14
#47815
Cela s'est passé sur une aire de repos entre Toulouse et Narbonne et c'est vrai qu'elle est bandante ... une pure jument.. trés excitante. Elle ne laisse personne indifférent, il faut voir les yeux des hommes qui la croisent .. simplement envie de la prendre.. voilà ce que traduise leur regard et ceci sans aucune pudeur, même en présence de leur propre femme ou de la mienne. Sur le troisième cliché photo, dont vous remarquerez facilement la médiocrité du cadrage, notre ami routier est positionné entre le fauteuil conducteur et le fauteuil passager.. c'est de loin la meilleure place pour monter l'audacieuse qui osa s'aventurer dans son entre, mal lui en a pris.. ou du moins je sais plus, elle si réticente cinq minutes auparavent, se laissant pénétrer par ce rustre, oubliant même la présence de son mari dans la cabine tellement l'excitation, le plaisir l'envahissaient au plus profond de son intimité ..dans son sexe.. normalement réservé exclusivement à celui avec qui elle partage sa vie. Mais cela ne comptait apparement plus sur le moment, il n'y avait que lui qui prévalait, elle était simplement sienne et c'est tout! banissant et reniant toutes valeurs sentimentales dû à ma personne et encore moins à ma présence. Cela explique la médiocrité du troisième cliché photo, impossible d'y croire et pourtant l'évidence était là, devant moi, ils s'étaient trouvés, ils se régalaient... d'où la difficulté de prendre simplement une photo correcte, mon corps en emoi, je restais stoic devant l'incroyable.
Je revois encore les mains ,engailladies par le travail, de son amant d'un soir palmer généreusement ses fesses blanches, fraiches et pulpeuses alors qu'il pénétrait goulument sa chatte inondée de mouille... c'était là aussi.. incontestablement elle mouillait plus avec lui qu'avec moi sans la moindre pudeur.
Quand nous nous sommes retrouvés dans la voiture, excité et désemparé à la fois, je m'empressais de lui glisser ma main dans sa culotte pour m'apercevoir au travers d'une humidité extrême et épaisse que sa vulve était encore toute gonflée par le plaisir... hum.. ou le désir?.. en avait elle eu au moins assez? son regard la trahissait un peu, mais elle était fière de ce qu'elle était et de ce qu'elle m'avouait en quelque sorte ce soir là et assumait pleinement devant moi.
Arrivés à notre résidence, elles marchait devant moi, mes yeux fixés sur son jean's qui laissait apparaitre les formes de son cul rebondit, cambré aux formes hormonalement généreuse et qui semblait me révéler l'évidence même : "j'aime me faire baiser par un autre, j'en ai eu un ce soir et j'en aurai d'autres, ce n'est que le début ! toi tu es la partie sentimentale de ma vie, mon gentil mari, mais j'ai besoin d'un homme, un vrai, un homme aguerri et bien monté, trés dur et épais, un homme qui en a baisé des femmes, un homme idéalement agé, velu, qui saura me ramener, sans ménagement, à mon état primaire de femelle docille et satisfaite en comblant mes chaleurs, tu n'auras qu'une partie de moi ... le reste je le réserve à celui que je choisirai... ce cul n'est pas à toi contrairement à ce que tu pourrais croire.. tu y as cru..? ...vraiment?.. tu n'est pas au bout de tes surprises! apparement tu ne sais pas tout de moi, tu nous as sous-estimé moi et mes besoins même si j'ai l'air d'une femme délicate, raffinée"
Quel cul de folie!!! vous savez ce genre de cul incroyable qui claque bien quand on les baise en levrette, ce genre de cul où on voudrait jamais que cela se termine malgré une énorme envie d'y jouir dedans cinquante fois et empressement, ce genre de cul où vous savez plus sur le moment s'il faut continuer ou "lacher tout"! on y est bien et fou à la fois - seuls les véritables amateurs comprendront!
Mais je m'égare, veuillez m'excuser, donc comme je le disais plus haut, alors que nous rentrions chez nous, ma femme ne manqua pas de saluer poliement notre chère voisine, une sextagénaire qui ne pense que du bien de ma femme et qui n'a en revanche pour moi que du mépris, ouvri la porte d'entrée, enleva son manteau, j'en fit de même laissant apparaitre une énorme bosse à travers mon jean's, elle sourit et comprit.. Nous allâmes dans la chambre, elle se dévêtit, s'allongea sur le lit du temps que je me déshabillais. Elle écarta ses cuisses et sans préléminaires de ma part (j'ai failli hésiter l'instant d'une seconde) je la pénétrais.. quelle sensation!.. comment dire.. dingue! j'étais hyper dur, gonflé à block !!! Ma figure au dessus de son visage éteint, je vassillais, à la missionaire, langoureusement dans son entre jambe sacrément élargi et inondé de mouille et de sperme de ce routier ... s'en traduisait une forte impression de m'immiscer dans leur intimité . Il ne me fallu pas moins de 40 secondes approximativement pour arriver à honorer ma promise. Mais en avais- je "lacher" plus que lui ? En effet sa vulve marquait véritablement les symptomes d'un trop plein carractérisé.
J'avais repris, l'instant d'un cour moment, possession de son corps mais apparement de façon uniquement complaisante et affectueuse de sa part pour son gentil mari, son regard trahissant les pensées obsessionnelles de la prise bestiale vécue trente minutes auparavent .
Ce soir, alors que nous devions passer une soirée sympa ensemble tout les deux, elle a reçu un sms vers 23 h 30 de son amant.... oui.. elle a biensûr décidé depuis ce jour d'avoir une relation extraconjugale avec un autre homme, qu'elle voit de façon régulière, elle lui est sienne. Un homme de 55 ans, 95 kg , velu, bien membré.. un sexe gros comme un avant bras de rugbyman.. Ils se sont rencontrés sur le net et elle s'est fait un plaisir de me montrer les photos de cet homme.. sexe trés épais.. elle aime ça. Il la baise, la sodomise, lui jouit dedans, il sait qu'elle est mariée mais cela ne le gêne pas et cela ne l'empêche pas de la contacter, avec son consentement, quand bon lui semble, même en soriée, afin d'assouvir ses envies de mâle sachant trés bien qu'elle attend que ça. Il me la prend quand il veut et cela sans se soucier de quoique ce soit. Biensûr, elle quitta le domicile vers minuit, il est six heures du mat et elle n'est toujours pas rentré. Il la baise en général trois fois quand ils se voyent me dit-elle.. deux fois le soir et une fois le matin, elle aime arriver au boulot fraichement baisée par son amant, personne biensûr s'en doute, cela l'excite.
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