- 27 avr. 2010, 19:41
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Dimanche j'ai accompagné ma femme a un centre de formation, Elle doit y rester trois jours. Je l'ai donc accompagnée, juste a 80km de notre domicile et je suis reparti le soir meme. Nous avons pris possession de la chambre, agréable, qui donne sur un jardin. Elle a installé ses affaires dans le placard, je n'ai pu manqué de remarquer qu'elle avait apporté des vetement assez sexy tels que chemisiers transparents et swetter décoletés. Comme nous avions le temps, avant d'aller diner j'ai entrepris de l'exiter, puis, mon sexe devenant dur je l'ai pénétrée mais, comme le plus souvent je n'ai pas pu tenir plus de 4mn sans déverser une émission. J'ai du la finir avec les doigts et j'ai eu droit au sempiternel: "je ne sais pas pourquoi tu essayes puisque a chaque fois c'est la meme chose, tu me laisse a la moitié!". Nous sommes allés ensuite diner, il y avait pas mal de monde, beaucoup d'hommes de différentes enreprises, certains se connaissaient, peu de femmes, plutot jeunes, mais toutes habillées sexy, ma femme qui avait passé un chemisier noir transparent et une jupe courte ne dénotait pas trop. Elle me présente comme son "petit mari" (elle m'appelle ansi a cause de ma petite queue). Nous nous asseyons, commencons le diner et tres vite l'homme qui était assis a coté de ma femme commence a lui faire du plat. Elle semble ne pas refuser ses avances, au dessert il avait déja une main sur le haut de sa cuisse que ma femme semblait ignorer et il avait passé son bras sur la chaise qu'occupait ma femme. je commence a comprendre que ces sessions de formations sont parfaitement organisées et sont bien destinées a ce que les gens se lachent, ce qu'ils ne peuvent faire dans le cadre de leur travail. Il est bientot le temps de rentrer pour moi, je prend congé et je laisse ma femme en de bien chaudes compagnies. On imagine facilement l'état dans lequel je suis rentré, imaginant une autre queue pénétrant ma femme, mais celle-ci beaucoup plus vigoureuse.... J'essayerais d'appeler demain pour savoir ce qui s'est passé, bien que je m'en doute, vu l'état dans lequel je l'ai laissée.