- 08 sept. 2015, 08:30
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une exhib racontée par mon épouse :
Serge aimait me caresser la chatte lorsque nous étions en voiture. Dès que nous partions pour une destination assez lointaine, Serge exigeait que je sois en jupe, et que je sois « disponible », c’est à dire seins accessibles, et sans culotte.
Serge avait un appartement à La Baule. Dès le printemps nous empruntions l’A11 jusqu’à Nantes, ce qui donnait l’occasion à Serge de me branler pendant plusieurs heures. Cela me rendait folle. Lors d’un de nos premiers voyages, nous avions été obligés de ralentir à cause de travaux, l’autoroute passant de 3 à 2 voies. Depuis plus d’une heure, Serge me branlait très fortement. Il avait l’habitude de tirer sur les lèvres, et d’exercer un mouvement circulaire très violent sur mon clitoris, qui me faisait sursauter de plaisir. J’avais baissé le dossier de mon siège, me permettant ainsi d’être dans une position allongée, j’avais le buste dégagé, et je maintenais l’écartement de mes cuisses à son maximum en posant mes talons sur le tableau de bord. Je m’offrais sans pudeur aux regards, en plein jour, sans que cela prête à conséquence, les vitres de la voiture étant suffisamment opaques pour rendre malaisée (lorsque nous roulions à vitesse « normale »), la vision de mon corps dénudé.
Lors du dépassement d’un camion dans ce secteur limité à 90, nous sommes restés à hauteur de la cabine d’un camion qui était sur la voie de droite pendant une dizaine de secondes.
J’avais simplement ôté mes pieds du tableau de bord, mais j’avais gardé la jupe retroussée, et le chemisier ouvert.
Dès la fin de notre dépassement, j’ai aperçu dans le rétroviseur extérieur, des appels de phare.
« Il a l’air d’avoir apprécié » souligna Serge.
« Tu crois ? » répondis-je faussement étonnée.
Nous avons poursuivi notre route en roulant à vitesse normale. Serge continuait à me branler fortement. Je me laissais faire, j’avais repris ma position favorite. Je fermais les yeux pendant que Serge me frottait vigoureusement le clitoris.
« Je crois qu’ils se sont passés le mot par leur CB, cela fait plusieurs routiers que je vois complètement tournés lorsque nous les doublons ».
« Ah bon ? » je m’en moquais un peu, profitant du bien être dans lequel je me trouvais depuis que Serge s’acharnait sur ma chatte.
Un moment, je sentis la voiture ralentir. Je jetais un œil au rétroviseur extérieur. Il n’y avait personne derrière. Devant, l’autoroute était dégagée. Seul un camion occupait la voie de droite. C’était un grand camion blanc. Manifestement Serge avait décidé de me montrer.
Il arriva lentement à la hauteur du camion, et resta à la même vitesse.
« Ecarte toi bien, branle toi, montre lui tes seins, regarde le… » Serge s’excitait.
Je m’offris au regard le plus possible, les cuisses très écartées. Le chauffeur dont je voyais le visage complètement tourné vers nous, n’en manquait pas une miette. Il ne regardait pas la route.
Nous sommes restés ainsi une trentaine de secondes, ce qui m’a apparu très long, je me caressais les seins et la chatte, le chauffeur était rivé à sa vitre. Serge se mit à accélérer. Je constatai que plusieurs voitures s’approchaient, et manifestement Serge ne voulait pas aller plus loin dans mon exhibition.
Je vis de nombreux appels de phares du camion, avant que nous soyons loin devant.
Nous sommes rentrés « normalement ». Serge m’a branlé jusqu’au péage.
Serge a renouvelé ce petit jeu pratiquement à chacun de nos voyages Paris/La Baule. Avec la CB, les routiers se déchaînaient, et cela devenait gênant. Plusieurs automobilistes, se doutant de ce qui se passait, ralentissaient pour nous suivre, espérant apercevoir quelque chose. Mais Serge ne voulait m’exhiber qu’aux routiers. Il considérait que leur « impuissance » en faisait des voyeurs privilégiés, nous permettant de mettre fin à ce jeu quand nous le souhaitions. Ce n’était pas le cas avec les automobilistes, qui pouvaient nous suivre.
Serge a donc décidé, devant le comportement qu’il jugeait idiot des routiers, de réserver ces exhibitions aux routiers étrangers, et particulièrement portugais, espagnols ou italiens. Sur cette autoroute, il y en avait peu, mais il pensait éviter ainsi les messages d’alerte transmis par la CB.
Un jour, nous avons eu droit aux appels de phares d’un camion portugais, après que nous l’ayons doublé assez lentement, gênés par une voiture.
Serge s’est arrêté une dizaine de kilomètres plus loin, pour aller aux toilettes, ce qui a permis au camion de combler son retard, et d’arriver en même temps que nous au péage d’Angers. Le conducteur nous avait vu dans son rétro, il avait baissé sa vitre. Serge a roulé à la même vitesse que le camion, pendant les derniers quatre cents mètres précédant le péage. Le jeune routier (il m’a paru assez beau), avait le buste complètement sorti de la portière, et il souriait en levant le pouce en l’air. Il me voyait complètement offerte, dans ma position favorite. Un autre homme était à côté de lui et essayait de voir le spectacle.
Ce fut une véritable débauche d’appels de phare, dès que le camion redémarra derrière nous. Il avait mis son clignotant pour nous demander de nous arrêter (c’est ce que m’a expliqué Serge), mais nous avons continué notre route.