- 08 déc. 2022, 14:43
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Nos premiers pas
Mariés depuis deux ans, pendant plusieurs mois nous avions partagé cette envie de la faire s'exhiber devant un papy, fantasme que nous abordions très souvent alors que nous étions au lit. Mais sans jamais le réaliser.
Elle avait tout juste 22 ans lorsque pendant des vacances, alors que nous venions d'évoquer ce fantasme, je lui ai proposé d'adopter une tenue qui lui permettrait de franchir le pas si l'occasion se présentait. (robe courte ouverte sur le devant sans soutif ni culotte). Elle était hésitante, mais quelques heures plus tard elle me dit avoir envie d'essayer de se promener dans cette tenue.
Elle est sortie ainsi vêtue pendant plusieurs jours et a rapidement pris plaisir à se sentir le cul à l'air sous sa robe. Ce qui renforçait, chez elle, le désir de le laisser voir si l'occasion se manifestait. Nous sortions en fin d'après-midi nous promener le long de la plage elle dans cette tenue. Un jour que nous étions assis sur un banc je lui ai fait remarquer qu'un vieux monsieur était assis juste en face de nous. Alors insensiblement elle a progressivement et innocemment écarté les cuisses, offrant ainsi à notre voisin d'en face une vue imprenable. Elle se pencha vers moi pour me dire à l'oreille que de se sentir ainsi regardée la faisait mouiller. Elle a poursuivi ce jeu un petit quart d'heure et nous nous sommes levés pour partir. En passant à côté de lui, notre voisin lui a souri et elle lui a murmuré "à demain peut-être". Nous sommes rentrés dans notre location de vacances pour aller immédiatement au lit pour baiser. Elle était trempée, excitée d'avoir ainsi osé s'offrir à la vue d'un papy. Je dois dire qu'il en était autant pour ma part, j'étais très excité d'avoir vu ma femme s'offrir ainsi à la vue d'un inconnu et en avoir autant mouillé.
Le lendemain, je la trouvais préoccupée et peu attentive à ce qui se passait. Alors que nous étions à la plage, elle me dit avoir très envie d'y retourner, mais hésiter à céder à cette envie. C'est moi qui lui ai dit que nous allions rentrer pour qu'elle puisse se doucher et se préparer pour sortir, et que j'espérais bien que le papy serait toujours sur son banc. instantanément elle devint souriante et pressée d'aller se préparer. Le vieux monsieur était là lorsque nous sommes arrivés. Il lui sourit et elle répondit par son plus beau sourire avant que nous allions prendre place sur le banc qui faisait face au sien. Et le jeu a repris avec toujours autant de plaisir, mais plus longtemps que la première fois.
A notre retour, alors que nous baisions elle me dit qu'elle ne pensait pas prendre autant de plaisir à s'exhiber devant un inconnu et qu'elle avait envie de continuer. De mon côté je lui ai confirmé que moi aussi j'étais très excité par cette situation et que j'étais d'accord pour qu'elle continue et aille plus loin dans son désir d'exhib. Elle finit par me dire qu'elle avait envie de se laisser peloter par le papy. Je lui proposais alors d'arriver sur place seule la première et que je la rejoindrai un peu plus tard, ce qui permettrait d'établir un contact avec le papy. Elle hésita et finit par me dire qu'elle était à la fois inquiète et excitée de se retrouver seule avec lui.
Le troisième jour, je l'ai laissée y arriver la première et ne l'ai rejointe q'un bon moment plus tard, pour la trouver en pleine conversation avec le papy, le haut de la robe était déboutonné offrant ainsi une vue plongeante sur ses seins, et une main du papy était posée sur sa cuisse. Lorsque nous fûmes seuls elle me dit que pendant toute leur conversation le papy lui avait caressé l'intérieur des cuisses, et lui avait proposé d'aller dans un petit bois à l'écart de la plage pour qu'elle puisse lui en montrer plus. Elle avait repoussé la proposition au lendemain prétextant que je devais la rejoindre. Elle me dit "Tu sais je suis une vraie cochonne, je suis excitée à l'idée de me trouver nue devant lui et j'ai très envie de le laisser me tripoter partout". Je lui ai répondu que nous le ferions dès le lendemain.
Le lendemain toute le journée elle a été excitée comme une puce à l'idée de ce que nous allions faire.
C'est ainsi que nous nous sommes retrouvés plusieurs jours de suite à l'écart de la plage dans un petit bois tranquille où elle pouvait ouvrir complètement sa robe pour que son papy puisse la peloter partout, et la faire jouir de ses doigts. Plus nous approchions de l'heure de notre sortie, plus son excitation montait et à chaque fois c'est avec délices qu'elle s'offrait aux mains expertes du papy et jouissait sous ses doigts. Sitôt rentrés dans notre location de vacances nous baisions comme des fous pour évacuer la tension provoquée par les jeux avec le papy. Elle était extrêmement excitée de s'être laissée tripoter et branler par un homme qui aurait pu être son grand-père. Elle était à la fois excitée et rassurée par la différence d'âge. Moi je bandais comme un fou de voir ma femme prendre du plaisir entre les mains d'un inconnu trois fois plus âgé qu'elle. Dès la troisième fois le papy proposa que nous nous retrouvions chez lui pour être plus à l'aise. Ce qui fut fait dès le lendemain. il nous accueillit très aimablement et nous offrit de partager un verre. Mon épouse et moi dans le canapé et notre hôte dans un fauteuil qui faisait face. il pouvait ainsi se repaître de la vue sur la chatte que ma femme exposait à sa vue sans aucune retenue. Puis prétextant la chaleur elle se leva pour retirer sa robe et ainsi totalement nue elle s'est approchée de notre hôte s'offrant à ses caresses. Resté dans le canapé je bandais comme un âne de voir mon épouse debout cuisses ouvertes se laisser branler par notre papy. Et jouir sous ses doigts.
Nous étions la veille de notre départ, et d'elle même, sans qu'il n'ait rien demandé, elle a entrepris de sortir son sexe pour lui rendre ses caresses et le branler jusqu'à le faire éjaculer. Lorsque la chose fut faite, elle remit sa robe, et ils se firent la bise avant de se quitter.
Lorsque je demandais demandais à ma femme, comment elle vivait cette expérience, elle m'avoua être attirée par la situation et inquiète de "faire sa cochonne" avec cet inconnu et y prendre autant de plaisir à lui avoir vidé les couilles. De mon côté je lui avouais être fier et excité de la voir vu "faire sa cochonne". Je la rassurais lui disant que nous étions en plein accord pour faire cette expérience, et que le fantasme que nous venions de réaliser nous appartenait à tous les deux.
Les vacances terminées, rentrés chez nous, bien que nous en ayons parlé à plusieurs reprises, cette aventure de vacances n'eut pas de suite. Jusqu'à l'approche de l'été suivant lorsque nous avons évoqué le sujet des vacances. C'est elle qui suggéra de retourner sur le même lieu de villégiature pour prendre des nouvelles de son papy. J'abondais dans son sens lui disant que nous nous amuserions bien. Elle était bien décidée à repiquer au jeu, elle se fit faire le maillot avant le départ, et me faisant voir le résultat elle ajouta :"Me voilà prête à refaire la cochonne, et vider les couilles de mon papy", ce à quoi je lui ai répondu : "Tu sais sucer ce n'est pas tromper, si tu veux le faire je n'ai rien contre".
Notre papy habitant du lieu était toujours là et pendant la quinzaine que nous y avons passée chaque jour elle alla sa promener au bois et chez lui où elle pouvait évoluer devant lui totalement nue. Les choses se limitaient à du pelotages, des masturbations réciproques et des pipes. Je dois avouer que la première fois où j'ai vu ma femme s'accroupir pour le prendre en bouche a été pour moi un moment très fort. J'étais fasciné de la voir ainsi accroupie tétant avec application le sexe de son papy qui se laissait faire avec délice. La première fois, à la dernière minute elle dirigea le jet de sperme sur ses seins. Puis elle reprit le sexe en bouche pour aspirer les dernières gouttes et laisser un sexe propre. Comme à chacune de nos rencontres, une fois les couilles vidées elle enfilait sa robe lui faisait la bise et nous rentrions chez nous. À peine dehors nous nous sommes embrassés à pleine bouche partageant le goût de la bite et du sperme du papy. Elle me dit alors : "j'ai bien aimé faire ma cochonne qui suce les bites et vide les couilles". Comme à chaque fois nous nous sommes précipités chez nous pour baiser. Au lit elle me dit "Demain je boirai son jus".
Elle était excitée par cette relation discrète, elle était heureuse de "pouvoir faire sa cochonne".
Pour ma part j'assistais en voyeur à leurs rencontres, et je prenais plaisir à voir ma femme dans les bras de son papy, jouir sous ses doigts habiles, le branler jusqu'à éjaculation et le sucer jusqu'à recevoir en bouche son jus qu'elle avalait. Une fois elle me dit "Tu sais, ta femme aime bien sucer des bites et se nourrir au jus de couilles".
Alors que nous approchions de la fin du séjour sentant qu'elle était en train de franchir une étape de sa sexualité je lui demandais si elle n'avait pas envie d'aller plus loin. Elle me répondit qu'elle faisait sa cochonne pour son plaisir mais aussi pour le mien. Qu'elle regretterait peut-être de ne pas être allée au lit avec lui, mais qu'elle ne l'aurait pas fait sans que je le lui suggère.
Puisqu'il ne nous restait que 3 jours, je lui ai donc confirmé que j'étais d'accord. Que moi aussi j'avais envie de la voir se faire baiser par son papy, et que cela ne porterait pas à conséquence, puisque nous l'aurions choisi tous les deux. J'ajoutais que j'aimais qu'elle prenne plaisir à "faire sa cochonne". Ce qui fut fait chaque jour avant notre départ. Leur séance se termina par une levrette, j'étais fasciné de voir ma femme agenouillée sur le canapé tendant son cul pour recevoir la bite du papy. Alors que la première fois le papy n'alla pas au bout et sortit d'elle pour décharger sur son cul, les deux derniers jours il a déchargé en elle. Après quoi Ils se firent la bise et nous sommes rentrés chez nous. Sur le chemin du retour elle me murmura à l'oreille "c'est génial son jus me coule de la chatte ". Arrivés nous sommes allés immédiatement au lit et là, à sa demande, j'ai léché sa chatte sur laquelle il y avait encore le goût du papy. Cette situation m'excitait au plus haut point, et je bandais comme un âne en nettoyant sa chatte encore souillée du sperme du papy. Puis je l'ai baisée dans le reste du jus du papy.
Alors que nous reprenions des forces je lui dis "je t'aime ma grosse cochonne " et elle me répondit "ta cochonne est amoureuse de toi mon cochon, qui a bouffé le jus du papy à même ma chatte de cochonne".