- 24 déc. 2011, 16:39
#908708
Je rêve pour ma part d'une relation suivie, d'un vrai trio qui explore les limites de sa dépravation et de ses sentiments. Je rêve d'un cocu anéanti de voir sa femme à mon bras car il saura qu'il y aura entre elle et moi bien plus qu'un sympathique plan cul.
Premier contact
Ainsi j'imagine une soirée de prise de contact dans un restaurant un soir de printemps. Lui en fait un peu trop, elle reste dans l'attente. Nous discutons de tout sauf de sexe et de candaulisme. Elle est cultivée et a de l'humour, nous discutons tous les trois mais au fur et à mesure que la soirée se passe, lui se retrouve en position de plus en plus périphérique dans la conversation. Ses interventions ne sont plus prises en compte ou alors immédiatement démontées par sa femme ou par moi. Nous quittons le restaurant après un bon moment, il tient à payer la note pour se replacer au centre du jeu. Dans la rue nous déambulons jusqu'à leur voiture, elle et moi sommes naturellement côté à côté, lui marche 5 mètres devant. Il se retourne et aperçoit que nos mains se frôlent. J'ai pour son épouse un comportement prévenant et protecteur qu'elle semble apprécier.
Elle s'accroche à mon bras, nous rions de choses qu'il n'a pas entendues. Tout le monde dans la rue nous prend maintenant pour un couple plein de tendresse l'un pour l'autre.
Leur voiture est garée dans un coin plus calme, elle et moi nous nous tenons maintenant par la main. Alors qu'il arrive à la portière, il se retourne et constate que nous ne le suivons plus depuis 10 bons mètres. L'un contre l'autre, nous échangeons un baiser langoureux, seuls au monde sous son regard.
Nos bouches se séparent, je l'embrasse dans le cou, elle tourne la tête vers son époux et le fixe ostensiblement, sans qu'il sache ce que cela veut dire. Doit-il céder le terrain ? Doit-il proposer de finir la soirée quelque part ? Doit-il attendre qu'elle lui fasse signe ?
Elle et moi nous rendons finalement à la voiture et nous montons à l'arrière. Je place ma main sur l'épaule du mari et l'appelle par son prénom. Ma voix est sympathique. Je lui donne quelques indications sur la route à prendre. Pendant que nous roulons, la conversation entre elle et moi reprend, nous sommes collés l'un à l'autre, ma main caresse son sein au travers de ses vêtements. Je la complimente, je lui fait par du désir que j'ai pour elle. Sur le chemin, elle reçoit mes caresses, exhibe subrepticement les parties les plus intimes de son anatomie, me fait part de ses goûts en matière sexuelle et évoque sa frustration à trouver une amant qui sache lui donner le plaisir quelle recherche, elle dénigre notre chauffeur sans pour autant s'acharner. Elle me rend mes caresses, sa main presse mon sexe au travers de mon pantalon.
Intrigué je lui demande pourquoi son mari ne suffit pas à son plaisir, elle entreprend alors de me raconter tous ses travers sexuels, les humiliations dont il faut l'objet, tout ce qui fait de lui un piètre mâle, une sorte de chien misérable qui l'admire sans parvenir à être à la hauteur. Très amusé je demande des confirmations au mari qui doit verbaliser sa condition de cocu et de lopette.
Arrivé chez moi, elle et moi passons dans la chambre alors que lui doit se débrouiller pour trouver un couchage dans le salon. La seule consigne qu'il reçoit est une interdiction de se masturber. Il entend assurément tout ce qui se passe dans la chambre au travers de la porte. Cette première nuit est relativement sage, c'est une nuit de découverte l'un de l'autre, la promesse d'une relation érotique profonde, qui prend son temps. Les plus importantes perversions s'exprimeront plus tard, quand la confiance et l'attachement seront en place.
Premier contact
Ainsi j'imagine une soirée de prise de contact dans un restaurant un soir de printemps. Lui en fait un peu trop, elle reste dans l'attente. Nous discutons de tout sauf de sexe et de candaulisme. Elle est cultivée et a de l'humour, nous discutons tous les trois mais au fur et à mesure que la soirée se passe, lui se retrouve en position de plus en plus périphérique dans la conversation. Ses interventions ne sont plus prises en compte ou alors immédiatement démontées par sa femme ou par moi. Nous quittons le restaurant après un bon moment, il tient à payer la note pour se replacer au centre du jeu. Dans la rue nous déambulons jusqu'à leur voiture, elle et moi sommes naturellement côté à côté, lui marche 5 mètres devant. Il se retourne et aperçoit que nos mains se frôlent. J'ai pour son épouse un comportement prévenant et protecteur qu'elle semble apprécier.
Elle s'accroche à mon bras, nous rions de choses qu'il n'a pas entendues. Tout le monde dans la rue nous prend maintenant pour un couple plein de tendresse l'un pour l'autre.
Leur voiture est garée dans un coin plus calme, elle et moi nous nous tenons maintenant par la main. Alors qu'il arrive à la portière, il se retourne et constate que nous ne le suivons plus depuis 10 bons mètres. L'un contre l'autre, nous échangeons un baiser langoureux, seuls au monde sous son regard.
Nos bouches se séparent, je l'embrasse dans le cou, elle tourne la tête vers son époux et le fixe ostensiblement, sans qu'il sache ce que cela veut dire. Doit-il céder le terrain ? Doit-il proposer de finir la soirée quelque part ? Doit-il attendre qu'elle lui fasse signe ?
Elle et moi nous rendons finalement à la voiture et nous montons à l'arrière. Je place ma main sur l'épaule du mari et l'appelle par son prénom. Ma voix est sympathique. Je lui donne quelques indications sur la route à prendre. Pendant que nous roulons, la conversation entre elle et moi reprend, nous sommes collés l'un à l'autre, ma main caresse son sein au travers de ses vêtements. Je la complimente, je lui fait par du désir que j'ai pour elle. Sur le chemin, elle reçoit mes caresses, exhibe subrepticement les parties les plus intimes de son anatomie, me fait part de ses goûts en matière sexuelle et évoque sa frustration à trouver une amant qui sache lui donner le plaisir quelle recherche, elle dénigre notre chauffeur sans pour autant s'acharner. Elle me rend mes caresses, sa main presse mon sexe au travers de mon pantalon.
Intrigué je lui demande pourquoi son mari ne suffit pas à son plaisir, elle entreprend alors de me raconter tous ses travers sexuels, les humiliations dont il faut l'objet, tout ce qui fait de lui un piètre mâle, une sorte de chien misérable qui l'admire sans parvenir à être à la hauteur. Très amusé je demande des confirmations au mari qui doit verbaliser sa condition de cocu et de lopette.
Arrivé chez moi, elle et moi passons dans la chambre alors que lui doit se débrouiller pour trouver un couchage dans le salon. La seule consigne qu'il reçoit est une interdiction de se masturber. Il entend assurément tout ce qui se passe dans la chambre au travers de la porte. Cette première nuit est relativement sage, c'est une nuit de découverte l'un de l'autre, la promesse d'une relation érotique profonde, qui prend son temps. Les plus importantes perversions s'exprimeront plus tard, quand la confiance et l'attachement seront en place.
Modifié en dernier par Bart le 25 déc. 2011, 17:58, modifié 1 fois.