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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
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par Bart
#908708
Je rêve pour ma part d'une relation suivie, d'un vrai trio qui explore les limites de sa dépravation et de ses sentiments. Je rêve d'un cocu anéanti de voir sa femme à mon bras car il saura qu'il y aura entre elle et moi bien plus qu'un sympathique plan cul.

Premier contact

Ainsi j'imagine une soirée de prise de contact dans un restaurant un soir de printemps. Lui en fait un peu trop, elle reste dans l'attente. Nous discutons de tout sauf de sexe et de candaulisme. Elle est cultivée et a de l'humour, nous discutons tous les trois mais au fur et à mesure que la soirée se passe, lui se retrouve en position de plus en plus périphérique dans la conversation. Ses interventions ne sont plus prises en compte ou alors immédiatement démontées par sa femme ou par moi. Nous quittons le restaurant après un bon moment, il tient à payer la note pour se replacer au centre du jeu. Dans la rue nous déambulons jusqu'à leur voiture, elle et moi sommes naturellement côté à côté, lui marche 5 mètres devant. Il se retourne et aperçoit que nos mains se frôlent. J'ai pour son épouse un comportement prévenant et protecteur qu'elle semble apprécier.

Elle s'accroche à mon bras, nous rions de choses qu'il n'a pas entendues. Tout le monde dans la rue nous prend maintenant pour un couple plein de tendresse l'un pour l'autre.

Leur voiture est garée dans un coin plus calme, elle et moi nous nous tenons maintenant par la main. Alors qu'il arrive à la portière, il se retourne et constate que nous ne le suivons plus depuis 10 bons mètres. L'un contre l'autre, nous échangeons un baiser langoureux, seuls au monde sous son regard.

Nos bouches se séparent, je l'embrasse dans le cou, elle tourne la tête vers son époux et le fixe ostensiblement, sans qu'il sache ce que cela veut dire. Doit-il céder le terrain ? Doit-il proposer de finir la soirée quelque part ? Doit-il attendre qu'elle lui fasse signe ?

Elle et moi nous rendons finalement à la voiture et nous montons à l'arrière. Je place ma main sur l'épaule du mari et l'appelle par son prénom. Ma voix est sympathique. Je lui donne quelques indications sur la route à prendre. Pendant que nous roulons, la conversation entre elle et moi reprend, nous sommes collés l'un à l'autre, ma main caresse son sein au travers de ses vêtements. Je la complimente, je lui fait par du désir que j'ai pour elle. Sur le chemin, elle reçoit mes caresses, exhibe subrepticement les parties les plus intimes de son anatomie, me fait part de ses goûts en matière sexuelle et évoque sa frustration à trouver une amant qui sache lui donner le plaisir quelle recherche, elle dénigre notre chauffeur sans pour autant s'acharner. Elle me rend mes caresses, sa main presse mon sexe au travers de mon pantalon.

Intrigué je lui demande pourquoi son mari ne suffit pas à son plaisir, elle entreprend alors de me raconter tous ses travers sexuels, les humiliations dont il faut l'objet, tout ce qui fait de lui un piètre mâle, une sorte de chien misérable qui l'admire sans parvenir à être à la hauteur. Très amusé je demande des confirmations au mari qui doit verbaliser sa condition de cocu et de lopette.

Arrivé chez moi, elle et moi passons dans la chambre alors que lui doit se débrouiller pour trouver un couchage dans le salon. La seule consigne qu'il reçoit est une interdiction de se masturber. Il entend assurément tout ce qui se passe dans la chambre au travers de la porte. Cette première nuit est relativement sage, c'est une nuit de découverte l'un de l'autre, la promesse d'une relation érotique profonde, qui prend son temps. Les plus importantes perversions s'exprimeront plus tard, quand la confiance et l'attachement seront en place.
Modifié en dernier par Bart le 25 déc. 2011, 17:58, modifié 1 fois.
par melmax
#908737
Bart a écrit :Je rêve pour ma part d'une relation suivie, d'un vrai trio qui explore les limites de sa dépravation et de ses sentiments. Je rêve d'un cocu anéanti de voir sa femme à mon bras car il saura qu'il y aura entre elle et moi bien plus qu'un sympathique plan cul.

…il tient à payer la note pour se replacer au centre du jeu. .
. En plus il faut qu'il paye l'addition le pauvre !! :) :D :evil:
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par Bart
#909681
Autre fantasme...

Elle et moi prenons souvent du bon temps en son absence. Nous sortons, baisons sans lui, partons en week-end. Ni elle ni moi ne l'oublions complètement pour autant. J'enregistre le son de nos ébats, il entend les soupirs, les halètements et les grognements, le son humide de nos bouches léchant, suçant et aspirant le sexe de l'autre. Il peut écouter ces sons dans sa voiture, ou dans les transport. Nous utilisons avec son épouse un vocabulaire cru qui traduit l'abandon total à notre plaisir.

Une fois de temps en temps, lors de nos soirées communes, il est autorisé à s'en donner. Nous lui montrons les photos de nos ébats, un casque sur les oreilles. Il se déshabille sous notre regard et se masturbe sur les photos de sa légitime épouse et de son amant. Nous le déconcentrons de sa tâche avec des questions, voit-il à quelle point elle prend du plaisir avec un autre ? Se rend-t-il compte qu'elle me donne bien plus qu'à lui, qu'il n'est pas à la hauteur. Elle lui fait remarquer la profondeur de sa nullité et à quel point il est misérable de se branler ainsi. Il éjacule sur le sol sous nos regards amusés.
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par Bart
#912621
Les choses deviennent sérieuses. Elle et moi jouons bien gentiment depuis le début mais nous avons tous les deux l'envie de passer à la vitesse supérieure. Nous avons parlé de nos perversions respectives et il est temps de partager nos univers de dépravation.

Elle apparaît moulée dans un pantalon de cuir épais, voir ses cuisses et son cul moulé dans cette matière organique me transporte. Lui porte un sac, rempli d'accessoires et semble plus nerveux qu'à l'accoutumée. Elle s'installe confortablement dans le canapé et allume une cigarette en me demandant de mater son mari. Elle semble soudain si inaccessible, cela ne me donne pourtant pas envie de la vénérer mais plutôt de la baiser brutalement. Je sais qu'il faut pour cela que je la fasse basculer au delà de l'insatisfaction chronique qui lui fait considérer tout homme comme insuffisant à la satisfaire. Lui me regarde avec une lueur de défi, il a l'habitude de prendre cher, je ne lui fait pas peur et il espère bien que ne parvienne pas à passer au travers de la carapace de sa maîtresse.

A ma demande, il se déshabille entièrement à l'exception de la cage qui contient son sexe puni. Debout, les jambes à demi écartées, je l'interroge sur sa capacité à prendre les coups. Il se fait fouetter et fesser à intervalle régulier et ne semble pas avoir peur. Je n'ai pourtant pas l'intention de lui faire subir ce que sa légitime épouse lui fait endurer. Elle le fait nécessairement mieux que moi. J'ai en tête quelque chose de plus viril, quelque chose hors de ses capacités physiques. Je l'averti, les frappes seront lourdes, il sentira les coups raisonner dans tout son corps. A l'issue de cette scéance, il sera couvert de bleus. Pour sa propre sécurité, à chacune de mes frappes, il devra contracter ses muscles, l'échange sera brutal.

Vêtu d'un pantalon de toile ample et d'un tshirt moulant mes formes. Je commence prudemment par lui asséner un coup lourd avec la base du poing sur le muscle de l'avant bras. Je réitère plus fort de chaque côté. Il sent les fibres de sa viande se tétaniser, la douleur est supportable pourtant. Les coups continuent avec une régularité de quelques secondes, frappes avec la paume, la base du poing, puis avec les phalanges et les pieds pleuvent sur ses bras, son ventre, ses pectoraux, au milieu du dos, sur les cuisses et les mollets. Ils se font de plus en plus fort au point où ses jambes tremblent. Pour ma part, l'effort me fait transpirer et j'enlève le haut pour être plus à l'aise. Mon torse luit dans la lumière. J’attendris sa viande comme le ferai un boucher. Il est moulu, atonique, tremblant sur ses appuis. Un violent coup de pied à l'intérieur de chaque mollet achève le supplice, il ne parvient plus à tenir debout, il prend appui contre le dossier d'un fauteuil. Le voilà préparé pour sa maîtresse.

Celle-ci extirpe un gode ceinture du sac et l'enfile par dessus son pantalon, je l'assiste pour ajuster l'appareil. Elle fait gicler du lubrifiant dans la raie tremblante de son époux et fait glisser le pénis de plastique en lui sans effort apparent. Elle le sodomise avec application, manifestement très excitée par la situation. Je la regarde faire avec fascination, le rythme de ses coups de reins restent régulier même si leur force s’accroît, lui, penché en avant comme une petite chienne, gémit à chaque fois. Elle me demande de le faire taire, je sors une gagball du sac, empoigne les cheveux de l'époux sodomite et le gifle avec quelques insultes, je fais rentrer la boule dans sa bouche et serre les lanières à l'arrière de son crâne. Comme cela ne suffit pas j'exerce quelque pressions de strangulation contrôlée alors qu'il se fait ramoner l'anus. Elle m'invite à venir voir de prêt et se retire puis replonge 10 fois d'affilé et me demande si ça m'excite. Nous nous embrassons à pleine bouche et elle continue à prendre le cul de son mari en plongeant sa main dans mon pantalon pour saisir ma queue au garde à vous. J'embrasse ses seins, caresse ses fesses au travers du pantalon de cuir.

Saisie par une forme d'urgence elle se retire soudain et se débarrasse de son attirail et retire son pantalon et sa culotte. Elle ordonne à son chien de se tenir à quatre pattes pendant que j'enfile un préservatif. Elle s'assoie sur son dos et guide ma queue en elle alors qu'elle se laisse aller en arrière, en appui sur les coudes, sur le dos du cocu. Je pénètre sa chatte trempée, elle m'encourage à la prendre avec force, chacun de mes coups de rein lui fait lâcher un petit cri de rage, le visage contracté, plein de colère, elle reçoit mes coups de queue avec un plaisir animal.

L'autre en-dessous ressent chacune des secousses. La peau de sa femme et contre la sienne et pourtant son plaisir n'est pas le sien. Elle a une main accroché à ma nuque l'autre travail son clitoris pendant que je la prend. Curieusement elle me guide hors de vagin pour me faire pénétrer le trou bien préparé du cocu. Elle se plaque contre moi, masturbant et fixant d'autorité son regard dans le mien. Je sodomise alors le cocu en restant fixé contre sa maîtresse. Mes coups de reins deviennent alors brutaux et rapides, je défonce le cul du cocu, libérant toute l'agressivité contenue depuis le début, c'est à ça qu'il sert.

Elle jouit plusieurs fois, lui finit par s'effondrer sous les coups de boutoir. Elle rit, retire le préservatif de ma queue et commence à me sucer avec la détermination d'une femme qui veut faire gicler son amant. Je me laisse aller, recevant avec un plaisir considérable ce privilège. J'éjacule finalement dans sa bouche, elle y garde mon sperme. Elle me fait signe ensuite de relever son mari, je l'attrape donc par le cheveux et présente son visage à sa femme sur lequel, elle crache mon sperme. Nous reprenons notre souffle enlacés sur le canapé alors que le cocu git au sol, souillé, chacun de ses muscles endolori, rompu au point, laissant couler le sperme sur son visage.
#933150
Une vraie cocufieuse, c'est le cas de mon épouse cherche toujours plus qu'un sympathique plan cul.
Sinon, on est dans le libertinage...

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