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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
par Tom78
#2239645
Cela faisait très longtemps que ce fantasme faisait partie de moi. Un jour il me prit d’avouer à ma compagne, au détour d’une conversation, que oui, j’aimerai la voir dans les bras d’un autre homme... Evidemment, elle ne pu concevoir même une seule seconde que je puisse penser à une telle chose. Preuve d’un manque d’amour de ma part ou alors si ce n’était pas le cas, d’une pure perversité.
Pas la peine d’insister, ni même de me justifier. Les choses ont été très claires : sexe = sentiments. C’est ainsi. Ok pour moi, ce n’est qu’un fantasme... On va pas se faire des noeuds à cause de ça... le jeu n’en vaut pas la chandelle. Je ne suis même pas sûr que je supporterai de le réaliser. Je suis, paradoxalement, d’un naturel jaloux.

Malgré tout, l’aveux était fait. Une confidence suffisamment atypique et surprenante pour que son esprit soit marqué. Son inconscient empreinté.
Le temps passe et un jour alors qu’elle était partie faire une course au supermarché du coin, elle remarqua un homme plutôt seduisant, la quarantaine à peine grisonnante sur sa barbe qui ajoutait un aspect viril à ce qu’il semblait avoir de charme naturel.
Elle l’avait déjà vu souvent ici, il doit être du quartier mais cette fois ci, il l’a regardait... La suivait du regard. C’est peut-être pour cela que cette fois ci elle remarqua son charme.
 
Ce n’était pas la 1ère fois qu’un homme la regardait, loin de là, mais son charme à lui faisait qu’elle se sentait plus flattée que d’habitude. Mais bon, bref cette histoire s’arrête là. Son modèle, c’est moi. Sa vie c’est moi. Elle n’y prêtera pas plus d’attention que cela. Elle continue de déambuler dans les rayons oubliant presque ce bel homme.

Soudain, surprise. Une main se pose sur son épaule en même temps qu’une voix grave et suave lui dit "Excusez moi mademoiselle, désolé de vous importuner mais je ne peux m’empêcher de vous regarder. Vous êtes..." et il finit par un soupir.
Elle compris bien sûr de quoi était faite la fin de cette phrase et répondit "merci, c’est gentil mais je suis déjà en couple" avec un air désolé mais souriant.
Il n’a pas insisté et leurs chemins se sont séparés ainsi.
De retour à la maison, elle me racontait cette scène qu’elle venait de vivre et me dit sans mentir qu’elle l’avait trouvé beau garçon mais surtout très courageux.
Je n’ai pas fait cas de cette histoire et nous avons continué nos occupations.

Ce soir là, je l’ai trouvé différente. En venant me retrouver au lit, elle avait enfilé sa nuisettes la plus sexy. La noire transparente et ses bas résilles.
"J’ai envie d’être belle" me dit-elle l’air épanoui.
D’habitude, c’est moi qui la pénétrait mais cette fois, c’est elle qui a inséré ma verge dans son intimité.
Elle fermait les yeux pendant que nous faisions l’amour.
Evidemment, j’avais fait le rapprochement avec ce qui c’était passé à la superette. Mais je n’ai rien dit. Cela m’a excité et je m’étais imaginé que ce n’était pas moi qui lui faisait l’amour mais "lui".
Au final, nous avons tout les 2 eu le même fantasme sans se le dire...

Des jours, des semaines passèrent. Quelques fois je la trouvais pensive.
Un jour, elle me surprit en me demandant si j’avais toujours le même fantasme. C’était un soir où nous avions bu une bouteille de vin tout les 2 après un repas en amoureux.
Je lui répondis que oui mais que j’avais bien compris que ça ne lui disait rien.
Elle me dit "alors qu’est ce qu’on fait ?".
Cette question m’a frappé de plein fouet. Une étape, au moins au niveau de la discussion, allait être franchie.
"Je ne sais pas... Tu as une idée toi ?"
"Tu te rappelles du gars dont je t’avais parlé qui m’a dragué l’autre jour au magasin ? Eh bien qu’est ce que tu dirais si je lui rendai le compliment qu’il m’a fait l’autre fois ?"
Je lui reponds avec un pincement au coeur "vas y... il te plaisait ?"
"Il était vraiment mignon oui et du coup pourquoi pas vu que tu m’as dit que ça te plairait"
J’étais mal mais excité je lui donnais mon accord sur le champs.

Je ne lui posais qu’une condition, celle d’être présent. "Mon fantasme ,c’est de t’admirer".
Je ne lui ai même pas demandé pourquoi elle avait changé d’avis. J’aurai dû...
Quand nous avons fait l’amour cette nuit là, le gode était de sortie et je lui demandais clairement pour la 1ère fois d’imaginer que c’était lui. Elle aimait ça, son corps parlait.

Quelques jours plus tard, nous sommes retournés au supermarché avec pour but d’accoster ce mystérieux monsieur. Elle s’apprêtait et moi, j’apprehendais.
Nous sommes resté au moins une heure à parcourir les rayons avec un caddie faussement rempli.
Nous allions partir bredouille quand soudain elle fit un petit saut d’excitation en me disant "il est làbas !".
Mon coeur s’est mis à battre la chamade, je passait au scanner cet homme qui était à quelques mètres de nous.
"Qu’est ce que je fais ? J’y vais ? T’es sûr ?"
Mon coeur a dit "non" ma bouche a dit "ok vas y". Et elle y allait sans même m’embrasser.

Elle l’accosta assez franchement et je le voyais sourire puis se gratter la tête.
Elle me montra du doigt et me fit signe de venir les rejoindre.
Il prit la parole directement : "Salut, c’est bizarre votre délire. Mais je vais dire ok pour voir. Vous avez une femme superbe. Je crois que je ne pourrais pas passer à côté d’une telle occasion même si ce n’est que pour pouvoir effleurer sa peau.".
Je la voyais flattée, souriante..
Je proposais que nous allions faire connaissance dans un bar pas loin et nous nous y rendîme.
Ils discutaient tous les 2. Moi j’étais en retrait, je les regardais comme hypnotisé. Il l’a faisait rire. Il était intelligent, il était fin. Je voyais en lui les qualités que je n’avais pas et j’assistais, avec jalousie et impuissance, à la naissance de toutes les affinités qu’ils pouvaient avoir.
Il nous proposa de se revoir vite. Dès le lendemain. Ma femme était d’accord, je n’ai pas donné plus d’avis qu’un hochement de tête et eĺle lui proposa de venir boire l’apéro à la maison. Il se firent la bise en partant, elle en en posant sa main sur sa hanche.

Une fois rentrés, on en a pas vraiment discuté. Elle ne disait plus rien.
"Alors ?" lui demandais je pour casser le silence.
"Alors il est vraiment craquant, après, on verra...".
J’aurais dû en discuter beaucoup plus avec elle pour avoir son ressenti mais je ne l’ai pas fait. J’étais dans mes pensées à imaginer la suite...
On a pas fait l’amour même si on en avait envie.

Le lendemain soir arriva. Elle était belle.
Sous ses habits se cachait sa plus belle lingerie et ce soir, accessoire qu’elle ne sortait jamais, elle mit ses talons aiguille.
Un beau rouge à lèvre, un peu de maquillage sans exagération.

Il frappa à la porte, elle lui ouvrit.
Moi je me suis mis naturellement dans le rôle d’un hôte qui accueillerai un couple. J’ai mis de la musique et faisait le service.
Ils étaient installés sur le canapé. Ils discutaient. Ils s’entendaient bien. Je n’en étais pas ravi...
Pourtant, je continuais de favoriser le passage à l’acte en remplissant régulièrement les verres et en laissant seuls en ma présence.
Elle ne faisait pas attention à moi. Elle s’intéressait à lui. Elle regardait tout le temps ses lèvres.
Elle finit par craquer et lui fit un smack en plein milieu de sa phrase.
Il lui rendit un baiser plus long, plus charnel et je la vis se laisser emporter. L’heure n’était plus à la discussion. Quant à moi je restais invisible. Il y avait pourtant un volcan à l’intérieur de moi. Je voulais tout arrêter, c’était insupportable. J’avais mal. Il y a quelques temps il lui était impossible selon elle d’avoir des rapports sans sentiments...
Qu’est ce qui me retenait ? Cette bosse dans mon caleçon ? Ma jalousie se transcendait en exitation.
Elle lui enleva le haut puis elle le laissa la désabiller. Il ne lui restait plus comme vêtement que son string, ses bas et ses talons.
Puis ils continuèrent à s’embrasser avec passion. Je voyais leur langue s’entremêler avec lenteur.
Elle lui caressait et lui embrassait le torse, lui, il lui caressait ses cuisses galbées par ses bas.
Elle semblait déguster avec une infinie profondeur toutes les sensations qu’elle vivait et chaque cm2 de sa peau.
Il se leva, baissa son pantalon et se mit face à elle. Elle parcouru sa verge, la lécha puis la glissa lentement dans sa bouche. J’étais médusé. Mon érection me faisait presque mal alors j’ai sorti ma queue pour masturber doucement.

L’étape suivante fût tout aussi intense et c’est une véritable étape que de l’avoir vu retirer son string car cela signifiait qu’elle voulait l’avoir en elle.
Elle s’allongea sur le dos et lui s’allongea sur elle.
Avec moi, c’est à ce moment qu’elle sort le tube de vaseline pour s’en étaler une noisette sur le vagin.
Là, pas de vaseline...
Il l’embrassait toujours et cherchait instinctivement l’entrée de son vagin sans s’aider de ses mains.
J’ai compris que la pénétration avait lieu lorsque j’ai vu la tête de ma femme partir en arrière et le démarrage d’un lent va et vient des hanches de son amant.
De mon côté je ne me touchais presque pas de peur de jouir trop vite.
Ils étaient beaux. Elle était magnifique.
Ils n’ont pas changé de position. Cela a duré un bon 1/4 d’heure. Ma femme a eu des orgasmes pendant le rapport car elle a été prise de légers spasmes. L’un a été plus puissant que les autres lorsqu’il s’est mis à accéler ses coup de reins, juste avant d’éjaculer.
Elle lui a dit "viens" et... il est venu... C’est à ce moment là que moi aussi j’ai joui.
Avant qu’ils ne se rhabillent, ils sont restés un petit moment à se câliner.
Moment plein de culpabilité pour moi. L’excitation est descendu en flèche. J’étais au plus mal et n’avait besoin que d’une chose : que ma femme me rassure, qu’elle me revienne.

Nous avons convenu que la soirée s’arrêtait là. Il s’est rhabillé, elle est restait nue. Elle l’a raccompagné à la porte. Ils se sont embrassés une dernière fois et lui a dit "tu sais où me trouver, à bientôt j’espère".

Elle ferma la porte et se mit à pleurer. Elle s’assit sur le canapé où avait eu lieu leur rapport. Je lui demandais ce qu’il se passait. Elle ne me répondit pas tout de suite.
Puis elle me regarda les yeux plein de larmes et me dit "je suis en train de tomber amoureuse..."
clahire, zztop, jml59 et 13 autres a liké
#2239648
Le fantasme hors contrôle (2)

Un remord grand comme un océan me gagna dès l’instant où je n’ai su répondre à une telle déclaration.
Voilà j’ai tout gagné... elle est amoureuse de lui et tout était de ma faute. Elle n’avait d’yeux que pour moi et m’avait confié l’entièreté de sa vie. Moi je l’ai poussé dans les bras de la tentation en ne sachant pas me freiner, en me laissant submerger par mon fantasme. En bref, en ne pensant qu’avec ma bite... 
Toutes ces années durant lors desquelles mon fantasme parcourait mes veines, je me suis retenu de l’avouer sachant quels risques j’encourais. Qu’est ce qui m’a pris de le porter à sa connaissance ? 
Est ce que c’était évitable ? Ce fantasme était plus qu’un fantasme. En fait, c’était moi. 
Fallait il continuer de lui mentir en lui laissant penser que quand nous faisions l’amour nous n’étions que 2 dans mon esprit ?
Fallait il continuer à parsemer de trop légères insinuation à l’universalité de son pouvoir de séduction en lui achetant des tenues aguicheuses qu’elle pensait porter juste pour me plaire ? 
Fallait il continuer à errer de manière compulsive sur les sites traitant de ce sujet ? A chercher comment les clés pour la convaincre et comment me rassurer. 
N’ai je pas seulement voulu être moi même et me montrer tel que je suis ? 
Ce qui vient de se produire ne serait il pas de toute façon arrivé plus tard dans le cadre d’un adultère ?
... A cet instant j’ai l’impression d’être fautif d’avoit fait passer devant trop de choses importantes une simple pulsion sexuelle. 
Maintenant nous étions là, dans notre salon, moi avec mon propre sperme sur la main droite et elle, nue en pleurs sur le canapé avec son odeur sur la peau et le souvenir plus que récent de l’avoir eu et voulu au plus profond de son intimité. 
Je n’osais pas la toucher plus qu’en lui caressant la nuque sans mot dire pendant quelques instants. Petit rapprochement qui semblait l’apaiser un peu. 
Je finis par lacher un fébrile "Je suis désolé mon coeur" comme pour entamer une terrible discussion qui semblait inévitable. 
Elle ne me répondit pas de la manière dont j’aurai cru après une telle scène car ce fût par un baiser doux comme l’amour. Puis elle me dit d’une simplicité cruelle : "je ne vais pas me laver, j’ai envie garder son odeur".

Elle partit se coucher. Moi je restais seul dans le salon. 
Il fallu que je prenne mon courage à 2 mains pour monter à mon tour me coucher près d’elle. Près de cette femme dont je ne savais pas si elle était encore la mienne. 
Dans le lit, pendant quelques secondes, rien ne se passa. Sa main finit par prendre la mienne comme 2 wagons se raccrochent. C’est sur cela que nous nous sommes endormis.

Elle s’est levée plus tôt que moi. Quand je me suis réveillé, il n’y avait pas un bruit. Elle n’était pas dans la maison. 
Une lettre attendait que j’ouvre les yeux sur ma table de nuit. Je l’ai parcouru assoifé de nouvelles informations sur la bonne ou mauvaise santé de notre couple.

Elle fût immédiatement rassurante car elle commençait par ces 2 mots : "Mon amour,..."
Elle m’expliquait que je ne devais pas m’en faire. Qu’elle m’avait prévenu qu’elle était incapable de, selon ses mots, se "faire sauter" par un mec sans éprouver quelque chose pour lui. Elle me remerciait pour cette expérience. Puis qu’elle m’aimait. 
Qu’elle voulait qu’on en discute quand elle serait rentrée.

Je me sentais comme un cascadeur qui venait de frôler la mort, heureux de constater que j’étais encore entier. 
Mais où est-elle partie ?
A peine je me posais cette question qu’elle rentrait. 
"Ca va, bien dormi chéri ?" Me demanda t-elle. 
Je lui répondais que "oui enfin bof". J’étais décidé à reprendre le contrôle de mon couple après cette cavalcade et lui dit de suite que je voulais qu’on discute dès maintenant. 
Je me mis à l’interroger :"Comment te sens tu toi ?"
"Plutôt bien. Un peu remuée. Je suis surtout inquiète pour toi. J’ai pas contrôlé. Après je t’avais dit que je risquais d’avoir des sentiments..."
"Tu l’aimes vraiment ?"
"Avec le recul c’est un bien grand mot" me dit-elle "en tout cas je ressens des choses oui et hier soir oui je le pensais vraiment. Après, je t’aime avant tout mon chérie et ça je ne m’en aperçois que maintenant. Et c’est tant mieux. Tu es mon homme à moi. J’espère juste que tu as aimé ce que tu as vu et surtout que tu ne vas pas me demander la même chose !" finit-elle avec un sourire interrogateur. 
"Ecoute non, j’ai pas envie d’une autre femme et je crois que si on monte dans la chambre là tout de suite, il va se passer que je vais te faire l’amour comme jamais". 
Alors nous sommes monté presqu’en courant comme 2 gosses et j’ai repris possession de son corps et de son âme comme d’un diamant que j’aurais perdu puis retrouvé. 
Nous avons continué notre discussion dans les bras l’un de l’autre. 
Je lui demandais si l’idée un jour de recommencer lui avait traverser l’esprit. 
Elle me dit que oui. Ce "oui" me fît bander de nouveau... Elle s’en aperçu et posa sa main sur ma verge en même temps que nous discutions
"Alors cette fois ci je veux qu’on se mette des règles parce que j’avoue j’ai eu peur. 
Je veux qu’on est un code pour ralentir les choses et un autre pour tout stopper.
Dernière chose, je ne veux pas que ce soit avec lui la prochaine fois."
Elle refusa cette dernière condition. Battement de coeur.. 
Elle m’expliqua qu’elle avait trop apprécié ses mains, sa manière de faire et d’être. Qu’elle voulait aller au bout de cette idylle qu’elle qualifia d’"éphémère" pour me rassurer. Malgré tout je continuais de refuser et elle me supplia presque. 
Finalement, je finis par accepter considérant d’une part qu’elle devait choisir ses amants, et d’autre part, je m’apercevais qu’elle me laissais le contrôle en me demandant, certes avec beaucoup d’insistance, mon accord. 
Mon plaisir étant tiré du sien je devais accepter ses fantasmes comme elle avait accepter le mien même si j’avalais difficilement encore le côté sentimental des choses.

Une fois cet accord posé, elle posa devant moi un morceau de papier et me dit "il a laissé son n° de téléphone dans la boite au lettre en partant. Je voudrais que ce soit toi qui l’appelle pour lui dire que je veux le revoir". 
Pris par le jeu, je n’attendais pas et m’emparait de mon téléphone. 
Pendant que je composais le n°, elle souleva la couette et entama une sur moi une fellation aussi douce que celle que je lui avait vu faire la veille. 
Il décrocha. C’était surréaliste de la voir me sucer pendant que j’avais son amant au bout du fil. 
On a pas discuté longtemps. Je voulais juste obtenir son consentement et je l’ai eu immédiatement. Je lui dit cependant pour bien clarifier les choses "Par contre, souviens toi toujours, c’est Ma femme". Il acquiesa. 
Je le réservais pour le week end suivant il me répondit "je me libère" aussi vite qu’il s’agissait pour lui d’une priorité. 
Je raccrochai. Ma femme m’avait toujours dans la bouche. 
"Tu penses à qui là en me suçant ?"
Elle releva la tête et me dit d’un air coquin "à lui." A cette évocation j’éjaculais quasi instantanément sur son visage.

Le soir même nous mettions en place l’organisation de ce week end. Elle était toute excitée à l’idée de le revoir. La pillule commençait à passer de mon côté et j’avais hâte de la voir à nouveau sous l’emprise de son amant. 
Je lui laissais champs libre quant au scénario qu’elle voulait mettre en place. J’avais envie qu’elle se fasse plaisir. 
Pour cette fois, elle me dit qu’elle voulait qu’on le voit le samedi après-midi pour une ballade en ville puis qu’on ferait ça une fois de plus à la maison. Le seul changement important qui me marqua un temps d’arrêt fût qu’elle pensait qu’ils seraient mieux dans notre lit conjugual. 
Malgré la symbolique, j’acceptais. 
Pour le reste, nous nous sommes dit que nous laisserions de la place à l’improvisation. 
Je formulais malgré tout une requête. Je voulais choisir sa tenue et sa lingerie. Elle accepta.

Le samedi matin, la tenue était choisi, je lui présentais en posant les différents éléments sur le lit.
Elle apprehendait un peu en pensant que j’allais la deguiser en pute. Je lui dit non "pas en pute mais attends toi à ce que Thierry ne soit pas le seul à te dévorer des yeux dans la rue". 
Il y a avait une jupe qui lui arrivait au milieu des cuisses. Un porte jarretelles avec des bas noirs. Ses talons haut rouges. Un boxer en dentelle transparente. 
Pour le haut, un soutien gorge assorti à son boxer pour qu’il puisse admirer au travers ses aréoles. Et un chemisier que je lui demandais de décolleter à sa guise en lui laissant entendre que je voulais que son amant se rende compte de la chance qu’il avait d’avoir pour lui une femme dotée d’un beau 95E. Elle était ok avec tout ça. 
Elle se prépara, mit ces habits et se para d’un maquillage sans exagération comme la dernière fois quoiqu’elle prit soin de faire en sorte que ses lèvres soient assorties à ses chaussures. Un beau rouge pulpeux.

Nous nous rendîme au lieu de rendez vous. Il s’exclama de la voir aussi belle (tu m’étonnes connard). Elle l’embrassa sur la bouche et nous entamions tous les 3 une petite ballade de courtoisie dans les rues commerçante de la ville. L’occasion de discuter plus précisement de leurs goûts en commun. 
Je m’effaçais comme la dernière fois, je les suivait comme un voyeur guettant le moindre signe de rapprochement entre eux 2. 
C’est dans les regards qu’ils se portaient que je prenais ma part de candaulisme. 
L’occasion pour moi également de constater les nombreux hommes qui se retournait sur elle. 
Ils restaient juste côte à côte car le risque de croiser des connaissance était faible mais existait.

La fin d’après midi arriva assez vite aussi bien que le début de soirée. Nous décidâme de rentrer à la maison avec lui. 
Elle fût plus attentionnée avec moi cette fois en me demandant régulièrement si ça allait. 
Et lui prenait garde de ne franchir des étapes que si j’étais ok. 
Cette fois ci j’avais hâte. J’avais préparé cette soirée avec alcool, bon repas et playlist de circonstance. J’avais envie de revivre cette expérience en n’en profitant pleinement. Finalement, je pense que nous étions tous les 3 dans la même optique. 
Je gardai malgré tout de la jalousie mais la mettais au profit de mon excitation en décidant de leur faire confiance. 
Heureusement car sur le chemin du retour, elle lui a pris la main. 
Ma gorge se serrait. Je n’y pouvais rien. Moi qui bornait encore il y a peu mon fantasme à une relation sexuelle, je prenais la mesure de ce que la réalité imposait. Une véritable prise de risque dans les sentiments que ce soit pour moi, pour ma femme et pour l’amant.

Arrivés à la maison j’espèrais que la montée en puissance des désirs ce fasse vite. Je repris mon rôle de serveur en facililtant l’aspect épicurien de notre soirée. Je servais des verres et distribuais la nourriture. 
Ils prirent à nouveau place sur le canapé et commencèrent très vite à se tripoter, à s’embrasser. Comme la dernière fois. Cette impression de déjà vu me facilita la digestion de mes ressentiments. 
Par contre, je ne me voyais pas participer encore une fois. J’avais juste envie de profiter du spectacle. 
Thierry me demanda une faveur après l’avoir chuchoté à l’oreille de ma femme pour qui la réponse était visiblement un oui excité. 
"Cela te conviendrai que ta femme passe le reste de la soirée en petite tenue ?" 
"Il est d’accord" répondit t’elle à ma place et elle s’exécuta sur le champs. Je souriais. J’étais ok de toute façon. 
Là voilà habillée devant nous ainsi : soutient gorge transparent, boxer transparent, porte jarretelle, bas et talons hauts. 
Elle nous demanda à tous les 2 si elle nous plaisait en tournant sur elle même. Je ne répondais que par un sourire. 
Thierry par un "indescriptible". 
Je pensais "Là tu ressembles à une pute par contre" mais je ne dis rien. 
La bosse sur le pantalon de l’amant confirmait ma pensée. 
Elle vint lui toucher comme pour le féliciter d’avoir eu cette réaction. 
Elle lui demanda si il pouvait sortir son "engin" pour l’embrasser. Ce qu’il fît. Amusé.
Il ouvrit sa braguette et sortit son sexe. 
Elle se baissa, embrassa son gland et le glissa dans sa bouche en fermant les yeux comme quand on déguste un mets exquis.
Elle lui fît ensuite ranger son "matériel". Et nous dit à tous les 2 : "Je suis un peu pompette, et si on montait à l’étage ? Tu n’as jamais vu l’étage ! Venez voir très cher".

Elle lui pris la main et ils montèrent ensemble l’escalier. Je suivais, toujours voyeur.
A ce moment, je me disais qu’il faudrait qu’elle m’explique en quoi ma présence inactive avait, dans cette expérience, une valeur ajoutée pour elle. Je me disais surtout que je devais surtout les faire chier à les suivre partout sans rien faire...
Bref je lui demanderai après la soirée...

Elle l’attira dans notre chambre, alluma une lumière tamisée. 
Elle me demanda si je pouvais aller chercher des verres et une nouvelle bouteille de vin. Ce que je fîs. 
Je prenais un peu mon temps... au moins 5 minutes et je découvrais l’excitation que cela me provoquait de les laisser seul... puis je remontais, impatient malgré tout. 
La porte était entrouverte, je la poussais. Et les découvris tous les 2 sous la couette en train de s’enlacer, de s’embrasser avec toujours cette même lente passion. 
Elle glissa sa tête sous la couette que je vis se soulever en rythme. Je ne pouvais que deviner ce qu-il se passait en dessous. Et c’était bon d’imaginer... 
Je restais debout et sortis mon membre pour me toucher. Toujours avec une grande parcimonie. L’excitation était trop forte. L’éjaculation difficilement contrôlable.

Je pris l’initiative de tirer la couette parce que je voulais voir quand même. Ils étaient déjà nus. Lui ne disait rien, il fermait les yeux et caressait les cheveux de ma femme. Il penchait qques fois la tête en arrière en signe pout montrer l’intensité de son plaisir et lui tirait les cheveux sans violence.
Elle arrêta sa pipe, releva la tête vers lui en lui souriant, cheveux ébouriffés.
Puis elle monta sur lui comme un serpent en parcourant son torse de ses lèvres, arriva sur sa bouche et se cala sur son corps. Prête à recevoir son membre. Il n’avait plus qu’à lui glisser dans sa fente humide. Ce qu’il avec une infinie douceur. 
Cette fois ci elle jouit plus fort à plusieurs reprises. Ses gémissements et ses tremblements trahissaient ses orgasmes. 
Quant à lui j’ai déduit son plaisir à la puissance du râle qu’il émit quand il déchargea à l’intérieur.

Ils restèrent à nouveau enlacés après. Câlins. 
Je ne jouis pas mais ce n’était pas grave. Ce fût un instant de grâce où j’ai élevé ma femme au rend de déesse et où je lui ai offert tout le plaisir qu’elle méritait.

Je me demandais ce qui allait se passer ensuite. 
Elle me répondit à cette question en venant me voir nue, souillée de plaisir et en me disant "je veux qu’il reste là cette nuit..."
clahire, zztop, Cocucornu et 9 autres a liké
#2239649
Le fantasme hors contrôle (fin)

Je ne fût pas choqué de cette demande même si je ne l’avais pas vraiment anticipée. Pourquoi ne pas les laisser faire l’amour plusieurs fois s’ils en avaient envie ?
Je dis donc "ok". Elle m’embrassa et retourna dans le lit auprès de son amant et tira la couette sur eux pour ramener à eux chaleur et intimité. 
Elle lui posa la question avec tendresse dans la voix :
- "Tu veux bien rester toi ? ". 
Il me regarda. Je ne fîs aucun signe d’approbation. Et il lui répondit :
- "Bien sûr que j’en ai envie"
- "Alors tu restes" dit-elle.
Elle l’embrassa puis posa sa tête sur son torse pour se reposer en attendant sa prochaine érection. Pour l’y aider, sous la couette, elle prit sa verge encore molle dans la main. 
Malheureusement ou heureusement, je ne saurais dire, l’alcool et les efforts aidant, elle s’endormit dans cette position. 
Il me dit à voix basse :
- "je fais quoi ? Je m’en vais ? ".
A demi consciente peut-être l’avait-elle entendu mais elle nous répondit en enlevant sa main de sa verge et en le serrant tendrement dans ses bras comme s’il était un nounours qui l’aidait à se sentir bien dans son sommeil. 
- "Je crois qu’elle nous a répondu" dis je.
- "Toi ça ne te dérange pas de rester même si c’est juste pour dormir ?"
Il me dit :
- "non si c’est bon pour toi..."

J’avais l’impression de ne pas avoir le choix malgré les règles que nous nous étions fixés. 
Mais j’étais comme un con là... je pensais "Je vais pas rester planté là à les regarder dormir. Et c’est quoi ça ? Maintenant je leur laisse mon lit et moi je vais dormir sur le canapé ? Putain mais on va où là ??"

L’idée de départ que je me faisais de mon fantasme candauliste s’éloignait à nouveau. Où était la limite de ce que je devais accepter en contrepartie du fait qu’elle ait accepter de le réaliser. Qu’est ce qu’il se passait réellement dans sa tête, dans son cœur ?

Savait-elle où elle allait ?
Autant de questions sans réponse, elle dormait. 
Il referma ses bras autour d’elle. 
Je descendais et m’installait sur le canapé. 
Je me mis à me masturber en plein tourment. 
Ni l’excitation ni les sentiments n’étaient contrôlables...
Je n’ai pas dormi...

Je suis resté devant la télévision, les yeux fixes, pris dans mes pensées à mesurer l’ampleur de mes conneries. Celle de lui avoir avouer mon fantasme, celle de ne pas avoir cadrer les choses, celles de laisser faire alors que je pouvais utiliser la règle du Stop si je me sentais mal.

Le petit matin pointa son nez. Il faisait gris dehors, un temps à rester sous la couette.

J’entendis une voix grave là haut. Elle devait être réveillée également.

Je me suis levé et suis monté doucement. La porte était encore entre ouverte. Je rentrais dans la chambre. Ils étaient toujours sous la couette. Il était sur elle, prêt à lui faire l’amour. 
Je me mis à côté du lit. Ici je pouvais voir son visage. 
Elle me regarda et me sourit d’un air compatissant mais ne me dit rien. 
Elle arrêta de me regarder et ferma les yeux lorsqu’il s’introduisit en elle. Elle tourna son visage à nouveau vers lui et se laissa embrasser tandis qu’il allait et venait en elle. 
Je les regardais avec tristesse et pourtant ce que je voyais me faisait encore bander.

Le plaisir qu’ils dégageaient de leur étreinte était une évidence. Elle poussa un gémissement lorsqu’il la fît jouir. 
Juste après cet orgasme, elle tourna la tête à nouveau vers moi. 
Elle me lança un regard doux et triste. Une larme se mit à couler sur sa joue alors qu’il continuait son va et vient...

Je n’écrirai pas de suite à ce récit. Je vous remercie de m’avoir lu.

 
zztop, jaliberti, Olivierito et 11 autres a liké
#2239657
@cocucornu je ne sais pas... qques fois il faut laisser libre court à l'interpretation du lecteur :-) c'est à celui qui lit de voir ce qu'il a envie de voir et d'y trouver son intérêt..

Pour te donner le ressenti que j'ai eu en écrivant cette fin, ce n'est pas une fin très heureuse parce que moi, le narateur, je me demande justement aussi ce que veulent dire ces larmes. Et comme être sensible, j'ai tendance à malgré moi imaginer le pire.
Dans ce texte je voulais rapporter tant mon excitation que mes craintes à amener mon fantasme vers le réel.
Mais pourquoi pas des larmes de jouissance :-)
Je ne cherche pas à avoir des likes mais plutôt à provoquer des réactions.
Si tu as lu les 3 textes en tout cas je t'en remercie !
jaliberti, sergio, nousdeux00 et 2 autres a liké
#2240871
@gemini @YauteSavoie
Ce récit est le fruit de mon imagination.
C'est ce que j'espère et c'est aussi ce dont j'ai peur.
Je pense que je vais le re-écrire en enlevant les scènes qui sont dures. Histoire de le soumettre à ma femme.
Qu'elle m'engueule un bon coup mais peut-être de planter une graine... aaaaaaah putain j'hésite...!!!...
sergio, Pandatine, nousdeux00 et 2 autres a liké
#2242799
@Duodenfer oui oui je me doute :D
Celui ci je l'ai, comment dirai-je.. , vomi.. je sais pas si c'est le bon terme...
J'vais essayer d'en écrire un autre sous une autre forme. Plus positive. Avec des craintes, il en faut.. mais avec plus de confiance en elle, plus de bonheur :D
sergio a liké
#2253684
Bonjour à tous,
Je suis nouveau sur ce forum, et habituellement, je ne fais qu’observer à distance. Mais cette fois ci, j’etais obligé de poster un commentaire.
Votre récit est incroyable. De justesse, de profondeur, d’emotion. Il traduit mot pour mot mon envie, mes craintes, mon fantasme, mes peurs. C’est fascinant, bouleversant. À la lecture de ce texte, j’ai été pris de stress, la boule au ventre, avcompagnée d’une érection aussi forte qu’inattendue.
Je voulais vous dire bravo, pour avoir mis des mots si vrais et simples si un fantasme si complexe.
La question est : dois je me lancer ?

Merci à vous à nouveau !
sergio a liké
#2254072
Excellent. Cette histoire même au travail m’a fait réfléchir, penser. Je m’imaginais à ta place et quels sentiments mélangés entre excitation et peur, souffrance et bonheur, jalousie et stimulation. La fin est pour moi trop triste. Je ne peux m’empecher d’etre pessimiste comme toi
sergio a liké
#2256338
Bonjour, le texte explique bien tout le mélange d'envie, de peur, de plaisir, de stress et de risques en mélange perpétuel dans le candaulisme..qui en font sa puissance....exprimé ainsi par le mari qui avoue avoir conscience de tout cela..donc preuve qu'il est amoureux de sa femme , la respecte et veut le mieux pour elle, pour son plaisir qui en sera le sien avec ce jeu...mais qui a aussi peur des conséquences pour lui... elle ..son couple....il pense et espère pourvoir se gérer lui...mais qu'en est il de sa femme au fond puisqu'il ne peut pas approfondir la réflexion avec elle visiblement pour l'instant...donc si vous voulez présenter le texte à votre femme, ne le modifiez pas, à mon avis....elle prendra conscience de tout et de la difficulté pour le mari, bien qu'il soit le moteur de ce fantasme...pour moi il ne faut rien enlever, même les larmes afin que madame soit consciente de tout elle aussi et accepte d'en parler si jamais...
Joseph5 a liké
#2256823
Je voulais vous remercier pour vos commentaires. Sincérement, ça fait plaisir. Certains me touchent bcp. Encore merci.
Je disais que je n'écrirai pas de suite. Vous me donnez envie d'avoir menti :D

@mistersweet franchement je comprends bien ta logique et elle est tentante, d'ailleurs j'ai tenté de retoucher le texte et je n'y arrive pas. Je pense cpdt que si je veux un jour lui donner envie de partager et participer à ce "secret" avec moi, il faudra que je sois plus... disons confiant sur les aspects positifs de ce fantasme.
Archer, Paulettetpolo, sergio et 2 autres a liké
#2258871
tu as la possibilité de construire une histoire "dont vous êtes le héros"...un choix à faire à certains moments pour savoir comment l'histoire évolue et ce que ça implique comme conséquences...si ta femme aime tu fais en sorte qu'elle explore toutes les "possibilités" si le début du "livre" l'accroche..comme ça tu as d'un côté comme son esprit la ferait évoluer au début....et ensuite permet d'aborder les cas, les risques...tranquillement et progressivement....bon faut être bon dans la prose et la gestion du suspens....mais possible....par contre si tu publies un livre comme ça sur le candau....tu penseras à l'inventeur pour les droits d'auteurs...merci
jaliberti a liké
#2284425
J'ai vécu cela ... après des amants d'un soir ,ma femme est tombée amoureuse de Franck ... son regard désolé et plein de compassion pour moi , m'a dévasté ...
Elle voulait rester avec Franck , mais lui , ne voulait pas d'un autre homme ... ils m'ont chassé de la chambre et je me suis retrouvé à chialer dans la cuisine ... ma femme a fini par venir , m'a caressé les cheveux et m'a dit :" bonne nouvelle ! j'ai convaincu Franck de te garder , il a les clefs de ta cage et des projets pour toi ... si tu m'aimes tu dois devenir la petite lopette de mon homme " ...
J'ai récolté ce que j'avais semé ... fantasme qui devient une réalité hors contrôle ...
Bravo pour les textes , j'ai pris beaucoup de plaisir à les lire !
sergio, Cocucornu, Olivierito et 1 autres a liké
#2285467
@bambinose27 situation que je n'aurai pas accepté: je suis plutôt "mâle et jaloux" (Paradoxalement) comment s'est passé votre suite? Avez vous accepté de vous soumettre? Comment va votre couple aujourd'hui?
sergio a liké
#2285515
Au fond de moi , je me sens mâle hétéro et je suis jaloux , mais comment contrôler la situation , lorsque l'on est en couche culotte et soutien-gorge , avec la cage et le martinet gode ?
Oui ! je me suis soumis ce jour là ... mon épouse m'a donné l'ordre de prendre un lavement , de bien m'épiler la chatte , de mettre un soutien-gorge , un porte jarretelles et des bas , et une culotte à dentelles ...
Mon épouse était radieuse , en me voyant ainsi , elle a sorti un plateau , et disposé dessus , une paire de gants en latex , un gros tube de vaseline et le martinet ...
" tu frappes à la porte , tu entres , tu fais la révérence à Maitre Franck , tu lui tends le plateau , tu te mets à genoux et tu attends ses ordres ! Je viendrais moi, avec de quoi t'emmaillotter "
Maitre Franck a fait de moi , sa Sissy soumise et incontinente !
#2603494
Je ne sais pas si tu dois réaliser ce fantasme.
Peut-être que tu dois continuer à le garder en rêve si, en même temps qu'il t'attire, il t'effraie.
Mais, en tout cas, tu as une très belle plume, et, de ce côté là, il serait dommage de ne pas aller plus loin : autorise-toi à imaginer la suite (seuls les idiots ne changent pas d'avis), et/ou de nouveaux récits, autour de ce motif - récurrent en art quand on y prend garde - de la jalousie et du désir qui en se mélangeant déchirent l'individu entre l'extase et la souffrance.
Bravo.
Tom78, sergio, dane a liké

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