- 20 déc. 2010, 20:34
#167765
Ma femme a invité un collègue samedi soir. Je soupçonnais déjà quelque chose entre eux. Elle m’avait affirmé qu’elle n’était pas insensible à son charme mais qu’il ne s’était encore rien passé de notable. J’ignorais alors qu’elle lui avait fait part de mes faibles performances au lit. Il savait aussi que j’avais du accepter de la partager avec d’autres hommes, il venait donc en pays conquis mais je ne le savais pas encore. La première chose qui m’a paru suspecte, c’est la manière dont elle s’est habillée pour le recevoir : jupe courte en cuir, chemisier rouge en soie, assise on voyait presque sa culotte. Elle portait des bas et porte-jarretelles, elle n’avait pas mis de soutien-gorge et on voyait pointer ses seins à travers le corsage en soie. Je dois dire qu’elle était excitante habillée ainsi. L’autre indice qui me rendait perplexe, c’est qu’elle avait passé un temps infini dans la salle de bain à se préparer, se parfumer, j’ai su qu’elle avait utilisé le rasoir pour se raser la chatte, car il avait changé de place. Vers les neuf heures du soir son collègue est arrivé. Grand, brun, plutôt bel homme, commençant la cinquantaine, il avait en effet une certaine prestance. Elle l’invita à s’assoir sur le canapé, elle-même s’assit sur un fauteuil en face de lui et je servis l’apéritif. Je me doutais que lorsqu’elle croisait et décroisait les jambes, elle lui révélait une vue plongeant sur sa petite culotte en dentelles noires. Son chemisier était à moitié ouvert et on devinait la rondeur de ses seins. Elle me demanda de faire quelques photos souvenir, je m’exécutais. Son collègue portait un jeans en toile assez moulant qui laissait deviner une virilité conséquente, une veste en daim affirmait sa carrure. Apres une conversation d’usage nous passâmes à table. Le diner était prêt et je passais un petit tablier pour servir les plats. Lorsque j’étais à la cuisine j’entendais vaguement les rires étouffés de ma femme qui se moquait sans doute de mon tablier à fleurs. Le repas arrosé de vins fins mis aussitôt de l’ambiance, ma femme commençait à se lâcher, elle se mit sur les genoux de notre hôte et elle glissait sa main sur son torse poilu, il avait une main sur sa cuisse car sa jupe était remontée, laissant apparaitre la couture des bas. Je partis faire la vaisselle et j’entendais les gloussements de ma femme. Lorsque je revins, ils étaient dans le salon, la main de notre hôte était alors entre les cuisses de ma femme, celle caressait la bosse de son pantalon. (a suivre).
Modifié en dernier par malabar le 10 déc. 2011, 01:20, modifié 1 fois.
