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Dans cette section dédiée aux fantasmes du candaulisme et du cuckolding, nous vous invitons à partager avec la communauté du forum vos envies et aspirations les plus secrètes en matière d'épanouissement sexuel au sein de votre couple.

Le candaulisme et le cuckolding, bien que tabous et méconnus, représentent pour de nombreux couples un puissant stimulant de leur vie intime et amoureuse. Il s'agit d'explorer, au-delà des sentiers battus de la sexualité à deux, de nouveaux horizons riches en sensations fortes et en plaisir recherché.

Que ce soit le fait de voir son conjoint avec un ou une autre partenaire, de l'imaginer dans les bras d'un amant fictif, de partager vos ébats avec un voyeur consentant ou d'assister en simple observateur aux étreintes de votre moitié avec un tiers, les variations possibles offrent un vaste champ d'expression aux penchants plus ou moins exhibitionnistes de chacun.

Les membres de notre communauté sont invités à s'exprimer sans tabou ni retenue sur les scénarios, images mentales ou souvenirs qui titillent leur libido et alimentent leurs jeux de séduction à deux. Qu'il s'agisse de confidence, de témoignage, de questionnement ou de recherche de conseils avisés, cet espace se veut un lieu d'échange privilégié sur ces pratiques parfois mal comprises.

N'hésitez pas à partager avec nous, dans le détail suggestif ou cru de votre choix, ces petites « perversions » intimes qui subliment votre complicité de couple et boostent votre épanouissement sexuel. Car, il faut bien le reconnaître, le fantasme reste le meilleur moteur d'une sexualité épanouie !
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par lailatvx
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Mon mari et moi, sommes mariés depuis 7 ans, mais notre union a pris un nouveau départ depuis plusieurs mois. Mon travail m’oblige à de nombreux déplacements, et je dois souvent m’absenter de la maison pendant plusieurs jours. Jusqu’il y a quelque temps, notre sexualité n’a pas été trop perturbée par ces absences. Etant de nature plutôt pudique, j’ai un appétit sexuel assez faible, n’en déplaise à mon mari (même si mon physique avantageux attire de nombreux regards masculins). Mais jusqu’à là, quand j’étais favorable à des galipettes, il répondait présent (même si je n’ai eu que très peu d’orgasmes, c’était quand même très agréable).
Quelquefois pour pimenter notre relation, il voulait que je le domine, que je l’attache en lui faisant l’amour, que je lui donne quelques petites fessées. Ce n’était pas vraiment de la domination car c’est lui qui décidait ce que je devais lui faire, il me manipulait. A cette époque, il a acheté quelques ustensiles, comme une paire de menottes, et il voulait que je consulte certains sites spécialisés SM sur internet. Mais cela ne m’avait pas trop intéressée. Malgré cela, ma vie sexuelle me paraissait suffisante et notre vie s’est déroulée comme cela, de nombreuses années.
Puis mon mari a commencé à avoir de plus en plus de mal à me satisfaire. Et l’excuse de ces nombreuses pannes et du refus de mes avances était, selon lui, la fatigue et le stress de son travail. Le jour de mon vingt-septième anniversaire, j’avais organisé un petit dîner aux chandelles, j’avais une petite tenue très sexy et j’ai tout fait pour que l’on passe une soirée torride, mais lui ne montrait que peu d’entrain. C’était une fois de trop pour moi, alors j’ai craqué et je me suis mise à pleurer. Pour me consoler, il m’a affirmé qu’il m’aimait très fort et que j’étais toujours aussi belle, mais du fait de mes absences, il se masturbait très souvent et qu’il avait des envies moins importantes. Ce fut un choc pour moi, je fus très en colère, et je lui demandais d’arrêter immédiatement de se masturber. Apparemment, c’était plus fort que lui et il ne pouvait pas s’en empêcher. De plus, j’ai appris également que, pendant mon absence, il regardait très souvent des sites pornos sur Internet et qu’il faisait disparaître toutes les traces de ses visites sur notre Pc.
Après quelques jours de réflexion, et quelques souvenirs de sites Internet qu’il m’avait montrés, j’ai commencé à entrevoir une solution. Tout d’abord, j’ai mis un mot de passe sur le bios du PC pour empêcher mon mari de l’utiliser en mon absence (De toute façon, maintenant quand je suis là, il n’a plus vraiment le temps de l’utiliser, il a des occupations plus prenantes). Ensuite, je lui ai demandé sa carte bleue en lui disant que j’avais des emplettes à faire sur le net et que, s’il recevait des colis pendant mon absence, il ne devait surtout pas les ouvrir.
Quelques jours après, les colis arrivèrent, et profitante d’une séance de domination soft où il était attaché aux quatre coins du lit, j’attendis que son excitation soit au maximum pour déballer un des colis et lui montrer sa nouvelle ceinture de chasteté. Il fut assez surpris et un petit peu inquiet.
-« Mais mon chéri, c’est seulement pour t’aider à ne plus te masturber. De plus, je cacherai une clé dans une enveloppe scellée et en cas d’urgence (exemple, visite médicale,…), tu pourras toujours me joindre sur mon portable afin que je t’indique comment te libérer. Et de toute façon, si jamais tu refuses, tu n’es plus prêt de faire l’amour avec moi. De plus, si tu acceptes, dans quelques jours, on pourra utiliser le deuxième paquet surprise »
-« Oh ma chérie, tu ne peux pas me faire cela, j’ai trop envie de toi. »
-« Ok comme tu veux, alors bonne nuit. »
-« Non attends, je veux bien mais on fixe une limite maxi de 2 semaines car plus, je ne pourrai pas. »
-« Je ne peux pas te promettre de respecter cette limite mais j’essaierai de ne pas trop abuser, de toute façon, c’est pour ton bien». Tout en reprenant un lent va et vient de ma main sur son sexe, je lui demande de décider rapidement, sinon j’allais bientôt me coucher car je devais me réveiller tôt le lendemain. Et comme prévu, il accepta ma proposition. Je le chevauchais donc et fis l’amour avec lui. Ensuite, je lui nettoyais le sexe avec un gant de toilette, puis je lui installais sa nouvelle ceinture de chasteté en plastique rigide.
Déjà seulement après cinq jours, quand je suis rentrée de mon déplacement professionnel, un changement avait déjà commencé à opérer. Tout d’abord, il m’a accueillie à la porte, au lieu de rester affalé sur le canapé, en regardant la télévision, sans même un regard pour moi. De plus, la maison était à peu près aussi propre que je l’avais laissée, ce qui va m’économiser de longues heures de ménage. Et surtout, il était très tendre avec moi, très câlin et attentionné. Mais je le voyais venir avec ses grands sabots.
-« Oh ces quelques jours sans toi ont été très durs, tu m’as beaucoup manquée, j’ai très envie de toi et j’ai été très sage, je mérite que tu m’enlèves cette ceinture. »
S’il croit que ces cinq jours vont suffire à me faire oublier toutes ses branlettes dans mon dos et toutes ses défaillances, c’est vraiment qu’il me prend pour une conne et s’il espère encore me manipuler, il ne va pas être déçu. Evidemment qu’il a été sage, il n’en avait pas le choix.
-« Bien sur mon petit cœur, je vais t’enlever ta ceinture qui doit maintenant te serrer. Mais avant, déshabille-toi, va chercher les menottes et rejoins-moi à la salle de bain ! »
Une fois nu et fermement attaché, je lui ôtais cette ceinture afin de pouvoir lui faire un brin de toilette tout en profitant de lui faire des caresses sensuelles. Une fois que le nettoyage est terminé et que son excitation est à son apogée, je prétextais une fatigue soudaine pour lui dire qu’il serait préférable que je lui remette sa ceinture de chasteté.
-« Non, je t’en supplie ma chérie, tu ne peux pas faire ça, je fais tout ce que tu voudras si tu me laisses jouir. Et puis, vu la rigidité de ma bite, tu ne pourras pas la remettre. »
-« Mais si, tu vas voir. »
Je partis chercher des glaçons et je lui rafraîchis ses parties intimes.
-« Oh comme c’est rigolo, avec le froid, ton zizi est tout recroquevillé, on dirait un petit garçon. Tu vois que je peux le remettre facilement dans sa cage. Voilà, plus d’érection possible mon petit énuque ! » (Je disais cela tout en tapotant ses bouboules.)
-« Allez, ne fais pas la tête, ce n’est que partie remise et il faut que tu sois encore plus sage pour avoir droit à une gâterie. »
Cela fait maintenant deux semaines que mon mari porte sa ceinture de chasteté, et je trouve qu’il est tellement mignon quand il est en manque. C’est un mari adorable et attentionné, mais je reste encore en colère pour ce qu’il a fait en cachette pendant de nombreuses années. C’est Internet qui m’a donné l’idée d’une petite vengeance personnelle pour lui faire regretter ses masturbations et ses problèmes pour me satisfaire.
Donc, après le week-end où il a été au petit soin pour moi, je lui ai préparé une fin de soirée torride. J’ai tout fait pour qu’il soit excité au maximum, je l’ai déshabillé, mis les menottes et continué à lui faire des caresses sensuelles avec ma main et ma bouche.
-« Oh mon chéri, cela fait longtemps que je ne t’ai pas senti à l’intérieur de moi et je crois que tu es aussi excité que moi. Je pense que tu vas passer une soirée inoubliable. Mais avant, tu dois faire un choix entre deux possibilités. »
« Choix n°1 : La soirée est finie et tu remets ta ceinture pour une durée de trois semaines. A la fin de cette période, on pourra reprendre notre ancien train-train et tu seras débarrassé de cette ceinture. »
« Choix n°2 : Je te promets que je te viderai les couilles ce soir, mais en contre partie, tu deviendras mon soumis. Tu porteras ta ceinture continuellement et moi seule pourrai décider de ton dégagement. »
Comme prévu, il a choisi le choix n°2 (J’ai juste intensifié mes caresses lorsque je lui ai parlé du deuxième choix).
Ensuite, je l’ai emmené au salon et fermement attaché à la table. Ventre collé à celle-ci avec ses genoux posés et ficelés sur une chaise afin qu’il ait son petit cul offert, et que son sexe soit accessible au bord de la table.
Puis, je l’ai bâillonné et mis un bandeau sur les yeux. Enfin, j’ai pris les glaçons que j’avais préparés et, grâce à un sac plastique et un peu de ficelle, j’ai pu lui maintenir ses testicules au frais. Une fois que son zizi avait perdu un peu de son érection, je lui mis tant bien que mal un préservatif maintenu par un bout de scotch.
-« J’ai bientôt fini les préparatifs, ne bouge pas, je vais chercher le dernier élément qui se trouve dans l’autre paquet que l’on avait reçu la dernière fois. »
L’ustensile en question sert à faire un massage de la prostate. Pour tout vous dire, cela n’est pas très évident à s’en servir. Même s’il est assez fin et que je l’ai bien lubrifié, cela ne rentre pas facilement dans les fesses vierges de mon compagnon. Ensuite, il m’a fallu de longues minutes avant de découvrir la bonne zone à titiller surtout que le mode d’emploi n’est pas très clair. Mais ce fut une excitation très grande lorsque son sperme commença à remplir le préservatif.
-« Voilà mon chéri, tes couilles sont vides, moi je suis tellement humide que ma culotte est trempée. Quel dommage que ta queue soit inutilisable car j’ai trop envie de me faire pénétrer ! »
Je lui retirai quelques instants le bâillon afin de lui introduire, dans la bouche, le préservatif rempli de sa semence sans lui laisser le temps de protester.
-« Tiens ton cadeau, comme ça te déplaît que je n’aie jamais voulu avaler ton sperme, j’ai pensé que ça te ferait plaisir d’y goûter. C’est toi qui disais que c’était bon et naturel, alors régale-toi !».
Je lui mis ma culotte trempée sur la tête afin qu’il puisse remarquer mon degré d’excitation. Le problème c’est que je ne pensais pas que cela m’émoustillerait autant. J’avais vraiment une folle envie de me faire pénétrer, alors je partis à la recherche d’un sexe de substitution. Heureusement, j’ai été sauvée par une carotte recouverte d’un préservatif. Depuis, j’ai investi dans un vibromasseur afin que ce genre de mésaventure n’arrive plus.
-« Je n’ai pas le temps de te détacher tout de suite, car il faut que j’aille me masturber avec une carotte. Mais ne t’inquiet pas, je laisserai la porte de la chambre ouverte pour que tu puisses m’entendre m’amuser toute seule. J’espère que tu commences à regretter tes masturbations en cachette. Tu as intérêt qu’il ne reste plus une seule goutte de sperme dans le préservatif lorsque je reviendrai. »
Je dois avouer que je garde un très bon souvenir de cette soirée et que cette petite carotte m’a procurée un orgasme incroyable.
Les quelques jours suivants ont été un peu fastidieux car mon mari était un peu pénible et il avait du mal à accepter son nouveau statut de soumis. De plus, il n’arrêtait pas de me supplier de le laisser jouir.
-« Je te signale que c’est toi qui as voulu commencer à jouer à des jeux de domination. C’est toi également qui as choisi d’être soumis en prenant le choix n°2. Je sais que tu ne pensais pas perdre le contrôle de la situation, mais ces jeux m’amusent de plus en plus, même si toi tu rigoles un petit peu moins. Donc, si tu veux avoir un espoir de me pénétrer un jour, il va falloir que tu sois très mais alors très gentil. Il faut arrêter de te plaindre que tu ne jouisses pas assez. Je m’en contrefous que tu jouisses ou non, ce qui est important, c’est que je prenne mon pied. Donc, à chaque plainte ou à chaque contestation, je prolonge ta période de chasteté d’une semaine ! »
-« Mais, tu ne peux pas faire ... »
-« TAIS-TOI, laisse-moi finir. En plus, tu as perdu une bonne occasion de te taire, car tu viens d’allonger ta période d’abstinence. Je vais te rappeler les tâches d’un bon petit soumis :
Tout d’abord, c’est toi qui feras toutes les taches ménagères (vaisselle, cuisine, le linge, le repassage, les poussières, la serpillière, les poubelles, …). Je veux avoir une maison parfaitement entretenue, sinon abstinence et punitions. Ensuite, je veux être choyée, massages et caresses à volonté. J’ai même acheté une huile de massage relaxante. Comme je n’ai qu’un eunuque à la maison, il va falloir que tu sois performant avec ta langue et tes mains si tu ne veux pas que je te punisse. Si tu es sage, je t’autoriserai peut-être à tenir mon vibromasseur pendant que je me masturbe. Ou bien, je vais peut-être investir dans un gode ceinture que tu pourras utiliser par dessus ta ceinture de chasteté afin de me pénétrer. En contre partie, je m’occuperai de l’hygiène de ton sexe et de te traire la prostate si ta période de chasteté est trop longue. As-tu bien tout compris ?
-« Oui.
-« Oui qui ?
-« Oui Maîtresse.
-« Allez file, tu as du ménage à faire !
Et voilà, après une bonne explication, tout est rentré dans l’ordre.
Cela fait maintenant presque cinq semaines que mon mari porte sa ceinture de chasteté.
Il est toujours aussi adorable et attentionné puisque qu’il est en manque.
Devant encore m’absenter pendant deux jours pour raison professionnelle et allant être difficilement joignable, je décidais de lui laisser l’enveloppe scellée contenant la clé de sa ceinture.
A mon retour, je constatais qu’il avait essayé de me rouler car ce n’était pas la même enveloppe. Ma signature sur le rabat et l’enveloppe était plutôt bien imitée, mais il manquait le cheveu que j’avais caché à l’intérieur. J’étais furieuse, mais il fallait que je garde mon calme afin de trouver une punition appropriée. En effet, on était arrivé à un tournant de notre relation domination/soumission, et je devais trouver une punition assez dure pour lui faire regretter ce qu’il a fait, sinon je risquais de perdre toute ma crédibilité.
Je l’attendais donc de pied ferme car il était parti faire les courses.
-« Bonjour Maîtresse, vous m’avez manquée »
-« Dépêche-toi de ranger les courses, puis déshabille-toi car nous allons faire une petite séance de bondage ! »
Une fois qu’il était bien ficelé, à genoux au bord du lit, je commençais mon interrogatoire.
- Pourquoi as-tu enlevé ta ceinture de chasteté ?
- Mais je ne l’ai pas enlevée, d’ailleurs la clé est encore dans l’enveloppe.
- NE ME PRENDS PAS POUR UNE CONNE, tu aggraves ton cas. Je sais très bien que tu as ouvert l’enveloppe.
- C’est trop dur, un homme ne peut pas rester aussi longtemps sans jouir.
- Tu m’as désobéi, tu mérites une bonne fessée. Je vois que l’idée de fessée te fait bander mon cochon. Mais je crois que tu vas déchanter car cela ne va pas être une petite fessée habituelle et je te garantis que ta petite nouille ne va plus être à l’étroit dans sa cage.
Je l’ai donc bâillonné et j’ai commencé ma punition exemplaire avec des coups de ceinture. Je frappais de toutes mes forces ses fesses qui viraient du rouge au violet. A un moment, j’ai vu des larmes sur son visage et j’ai commencé à avoir pitié de lui car c’était la première fois que je voyais pleurer mon mari. Mais je devais absolument rester ferme si je voulais rester crédible.
Une fois que j’étais à bout de force, je lui dis :
- Tu vois maintenant ce que c’est une punition, cela n’a rien avoir avec la petite fessée habituelle qui t’excite tant. J’espère que tu as compris la leçon.
- Oui, Maîtresse (snif, snif) je ne me libérerai plus jamais de ma ceinture sans votre permission.
- Très bien mon petit eunuque, maintenant je vais te passer un peu de pommade apaisante sur tes fesses, et je vais prolonger un peu cette séance de bondage afin que tu puisses réfléchir calmement à ton statut de soumis.
Finalement, cette expérience fut assez concluante, car depuis, mon autorité et la docilité de mon soumis ne fait plus aucun doute.
- Alors mon chéri, c’était comment ta journée au boulot après ta petite fessée d’hier soir ?
- j’ai eu du mal à rester assis toute la journée, et mes collèges trouvaient que j’avais une démarche bizarre, alors j’ai du leur raconter que j’étais tombé dans les escaliers.
- Sinon, j’ai fait quelques emplettes. Comme je sais que tu es un fan de lingerie, j’ai acheté plein de strings. Alors, comment tu les trouves ?
- C’est une plaisanterie, ils sont trop larges pour toi.
- Mais ils sont pour toi, il y en a même un que j’ai pris dans un magasin d’habillement pour femmes fortes. Allez mon chou, essayes-en un tout de suite !
- Sur toi, les strings c’est super sexy, mais sur moi, c’est ridicule. En plus, quand je marche, la ficelle me rentre dans les fesses et c’est super gênant.
Il fut assez surpris quand je passais derrière lui et lui remontai à fond le slip pour que celui-ci lui rentre profondément entre ses fesses.
- Et comme ça, il te gêne moins (ha, ha !!!). Je te rappelle que tu es un soumis et que tu ne dois pas discuter mes ordres. De plus, je me suis débarrassée de tes autres slips et caleçons. D’ailleurs demain, tu iras au travail avec le string de femme en dentelle. En parlant de dentelle, je t’ai également acheté de jolis tabliers blancs. A partir de maintenant, ta tenue à la maison, quand nous serons seuls, sera seulement un string avec un tablier. Ici, tu es seulement autorisé à faire le ménage, les corvées, t’occuper de moi et me choyer. Si tu n’es pas en train de faire une de ces occupations, tu devras être à genoux ou allongé sur le grand tapis qui se trouve à l’entrée. Est-ce que tout cela est bien clair pour toi ? »
- Euh, OUI Maîtresse.
- J’ai un autre cadeau pour toi, c’est un masque offert par une compagnie aérienne qui permettra de te cacher la vue quand tu devras t’occuper de moi lorsque je serais un peu dénudée. Je n’ai plus envie que tu me regardes quand je suis nue ou en petite lingerie. Tu ne trouves pas que c’est très excitant de se faire laver et masser par un petit eunuque aveugle et dévoué. Ne t’inquiète pas, si l’envie me prend de vouloir te faire un cadeau, je n’hésiterai pas à te dévoiler un bout de mon anatomie (ah, ah !!!).
- Maîtresse chérie, je ne peux pas me passer de votre corps de rêve.
- Ne t’inquiète pas, tu pourras le chérir à volonté et ton excellente mémoire devra compenser ce sens en moins. Va à la cuisine chercher de la ficelle assez épaisse, attache-toi les couilles avec en laissant une bonne longueur afin que je puisse m’en servir comme laisse. Pendant ce temps là, je vais essayer mes nouvelles chaussures.
- Je suis prêt Maîtresse.
- Très bien, mets-toi à genoux, enlève ton string et retourne toi que je puisse voir ton petit cul rouge. Je suis sûre que tu aimes mes nouveaux talons aiguilles. Comme tu fantasmais de me voir avec ça, j’ai pris les plus haut possible. Maintenant, je vais me reposer un peu sur le canapé et tu vas me servir de repose-pieds.
Une fois que j’ai fini de lire mon magazine tout en reposant mes jambes sur le dos de mon mari qui était à quatre pattes, je récupère la ficelle et commence à tirer dessus tout en mettant le bout de mon talon aiguille au bord de son anus. Le mettant ainsi dans une situation délicate, car il doit choisir entre se faire arracher les couilles ou bien se faire sodomiser par une chaussure. Tout en continuant de faire des à-coups à la ficelle, je décidais de reprendre la discussion.
- Puisque nous sommes bien installés, on va pouvoir discuter un peu. Au fait, tu aimes toujours autant les talons hauts. Bon restons sérieux, hier je t’ai donné une bonne correction mais je reste déçue par ton comportement. Tu n’as même pas pu tenir deux mois sans te branler.
- Mais Maîtresse, deux mois sans éjaculer, c’est impossible pour un homme. Et au début, on avait fixé un maximum de deux semaines.
- Tout d’abord, c’est moi qui fixe les règles et je peux les changer quand je veux. Ensuite, tu n’es plus un homme mais un eunuque soumis. Donc, je te propose un petit jeu pour te faire pardonner de t’être libéré sans mon autorisation. Voici un dé, et le numéro que tu feras indiquera le nombre de mois que tu devras attendre avant de me pénétrer. Bien sur d’ici là, pas d’éjaculation mais seulement des massages de prostate afin d’éviter les accidents. Tu comprendras également que le chiffre 1 du dé sera une punition trop faible pour un cochon de ton espèce. Donc, si par bonheur, tu fais un 1 au premier jet, cela sera le chiffre des dizaines et tu lanceras le dé une deuxième fois pour connaître le chiffre des unités. Suis-je assez claire mon chou ?
- Oui, c’est très clair Maîtresse, mais pouvez-vous avoir la bonté de relâcher un peu la pression sur mes couilles, car cela commence à être très douloureux.
- Ne t’inquiète pas, la conversation est bientôt finie. Si tu veux avoir une position plus agréable, tu n’as qu’à décontracter tes fesses et la pression sur tes testicules diminuera. Avant de lancer ton dé, tu dois savoir que ta pénitence s’allongera à chaque fois que tu ne seras pas un soumis parfait.
Heureusement pour lui qu’il n’a pas fait un 1, il s’en sort plutôt bien avec un 3.
Cela fait maintenant presque cinq mois que mon mari n’a pas eu la moindre éjaculation. Je lui ai seulement massé sa prostate quelque fois afin de récupérer son abondante liqueur que j’ai congelée au cas où je voudrais l’humilier en lui rappelant son statut de soumis avaleur de foutre.
Il est toujours aussi adorable et attentionné puisque qu’il est en manque.
C’est vrai que cela ne devait durer que 3 mois, mais à force de prendre des jours ou des semaines supplémentaires, il commence à trouver le temps long et il se tient de plus en plus à carreaux.
Les corvées et le ménage n’ont été qu’une formalité pour lui, je n’ai eu que très peu d’occasion de m’en plaindre. De même que l’attention à mon égard était de tout instant. J’ai vraiment passé des mois formidables où je me suis fait choyer. C’est maintenant un expert des caresses et des massages.
Quant à moi, j’ai fait une utilisation intensive du vibromasseur et des cunnilingus.
Un rien suffit à son bonheur, quand je le trouve irréprochable, je lui offre des récompenses. Comme par exemple : l’autorisation de tenir le vibromasseur quand je l’utilise, l’autorisation de voir ma poitrine quelques instants ou bien le laisser une nuit avec l’autorisation de bander (je lui enlève sa ceinture, mais je l’attache avec des anneaux en cuir bloqués avec des cadenas. Ses mains étant reliées au cou, et ses pieds au lit, cela lui laisse un peu d’aise pour dormir tout en l’empêchant de faire des bêtises.).
J’ai également remarqué qu’il était plus productif de le branler souvent en le laissant au bord de l’orgasme. Je trouve cela très excitant quand j’arrive quelques fois à voir sortir quelques gouttes de liquide pré orgasmique. Bien sur, plus la masturbation est intensive, plus il faut augmenter le rythme des massages de prostate afin d’empêcher les accidents.
Non, le plus difficile pour lui a été de tenir son régime et son attitude de macho en public.
En effet, je lui ai concocté un petit régime où il devait perdre progressivement quelques grammes par semaine. Au début, j’ai dû augmenter ses jours d’abstinence, mais maintenant, il a commencé à perdre son ventre qui m’horripilait.
Sa plus grosse punition a été deux semaines supplémentaires pour avoir manqué de gentillesse à mon égard et d’avoir une attitude de macho lors d’un repas entre amis. En rentrant de la soirée, je lui ai donc demandé de se déshabiller, je lui ai attaché les mains dans le dos, enlevé sa ceinture de chasteté et mis à peu près à 4 pattes (c’est à dire à genoux, les jambes légèrement écartées avec le torse sur un tabouret).
-« Mon pauvre petit eunuque, te souviens-tu de la sensation d’être dans moi, cela fait combien de temps que tu ne m’as pas pénétrée, j’ai bien envie de te laisser encore de nombreuses semaines comme cela. En effet, j’ai été très déçue de ton attitude de ce soir. »
- Je vous demande pardon Maîtresse, cela ne se reproduira plus.
- Tais-toi, tu aggraves ton cas, car tu sais très bien que je n’aime pas être interrompue quand je parle. Je disais donc, que tant que tu n’auras pas une attitude plus respectable, il est hors de question qu’on fasse l’amour. Je vais être gentille pour une fois et, aujourd’hui, tu n’auras que deux semaines supplémentaires.
Tout en disant cela, je passais derrière lui et lui mis un bon coup de pied dans les parties. C’est hilarant de le voir se tortiller puis, bizarrement depuis, l’envie de se montrer comme un macho lui est passé.
Un autre point que je n’aimais pas dans les anciennes habitudes de mon mari, c’était qu’il était continuellement affalé devant la télévision. J’ai donc fixé une règle très simple pour l’aider à utiliser modérément la télé. Tout d’abord, il doit regarder l’émission qu’il souhaite debout en faisant le repassage. Et à chaque émission qu’il regarde, il a une punition qui augmente d’une semaine à chaque fois. C’est-à-dire, 1 émission = 1 semaine supplémentaire, 2 émissions = 2 semaines supplémentaires, etc…
Curieusement, au bout de deux matchs de foot et donc de 3 semaines supplémentaires, il a préféré de lui-même ne plus regarder la télévision.
Sinon, j’essaie de trouver d’autres idées sur Internet afin d’humilier mon mari. J’aime bien le voir faire le ménage en string avec son tablier en dentelle et, quelques fois, je l’attache au manche du balai afin de lui maintenir les jambes attachées. J’aime également le fouetter avec des orties fraîches et tout spécialement sur ses fesses et sur ses testicules.
Le soir, s’il ne lui reste plus de ménage à faire et que je souhaite faire une petite soirée entre copines, je l’attache tout simplement à une chaise afin qu’il puisse m’attendre tranquillement (c’est bien lui qui, au départ, voulait m’initier au bondage). Mais bien sur pour la sécurité, il y a toujours un moyen pour lui de se détacher rapidement en cas de force majeure. Sois, je pose une paire de ciseaux sous ses fesses et je m’assure qu’il puisse l’atteindre en cas de besoin. Ou bien, je réalise certaines parties du bondage avec du fil beaucoup plus fin (fil à couture par exemple) qu’il peut facilement casser en cas de nécessité. Ce qui est important, ce n’est pas qu’il ne puisse pas se détacher, mais qu’il ne puisse pas se détacher sans que je ne m’en aperçoive !
Gille a liké
par reverencieux
#1237487
ce doit être ce genre de bonne femme qui etaient des garde-chiourme ds les camps de concentration, quelle horreur, cerveau malade, enfin jepense que c'est plutot le delire du mec qui se branle en écrivant ce recit ce qui l'excite au fur et a mesure jusqu'a la branlette finale
par Wilnam
#1915345
Bonjour, nous avons lu ensemble cette histoire ma femme et moi et nous trouvons un peu trop dur ce que cette femme fait endurer a son maris ! Nous aimerions pouvoir lire des histoires de Candaulisme plus douce !

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