- 04 avr. 2013, 23:23
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En pleine rêverie, je sentie une main douce me caresser le sexe, effleurant mes couilles, me branlant en douceur. C’était elle, elle me regardait de ses grands yeux pleins de désir et d’amour et prononça la sentence :
- Met le mon amour ! Met le dans mon petit trou ! J’en ai trop envie ! Je t’aime !
Elle ferma les yeux, attendant que je me décide enfin à guider le vieux chibre entre ses chaires. Je serai le sexe chaud, doux et poisseux un peu plus fort et écrasa le bout luisant contre la rondelle noire palpitante de désir. La moitié du gland entra en douceur, puis je senti la main de ma belle se contracter sur ma queue, je comprenais et perçu la résistance à la pénétration à travers la bite que j’avais toujours dans la main. J’aperçu l’anus bouger autour de la colonne de chaire blanche, elle poussait pour l’aider progresser en elle et je senti que son enculeur poussait dans l’autre sens. Ca-y-est, le gland est passé. J’étais comme dans un rêve, j’observai cette queue progresser entre les belles fesses rondes de la femme de ma vie. Je le ressentais jusque dans mon corps grâce à sa main qui me serrait les couilles fortement, me faisant passer l’émotion que cette pénétration lui procurait.
Il fit une pause pour la laisser s’habituer à sa largeur, se retira doucement. Pendant quelques minutes, il la gratifia de lentes et courtes pénétrations. Il prenait son temps, en vieux sodomite chevronné. Puis il reprit sa progression, insensiblement, gagnant millimètre par millimètre. Ma belle maintenait toujours mes bourses serrées dans une main pendant que l’autre taquine son clitoris gonflé de désir.
Les vieilles burnes fripées finirent par buter contre la peau noire. Il bloqua la position, quelques instant, puis força sa queue comme pour en mettre encore plus au fond. La belle africaine grogna de satisfaction, poussant elle-même ses fesses en arrière, sa main libre s’agitant toujours entre ses cuisses. Georges se mit à coulisser par lents mais ample mouvement dans l’étroit conduit. Je pris un peu de recul pour voir la scène.
Elle était magnifique ma belle sodomisée, la levrette mettait son joli cul rebondi en valeur, ses petits seins aux gros tétons ballottant délicieusement dans le vide, les yeux fermées, la bouche entrouverte, gémissante, sur son visages un rictus trahissant le plaisir particulier que lui procurait le vieux baiseur dans son cul. Régulièrement, il augmentait la cadence, n’oubliant pas de flatter les petits nichons qui s’agitaient de plus en plus vite. Il finit par aller si vite dans sa rondelle, la pilonnant si fort, qu’elle n’arrivait plus à se caresser. Je voyais ma femme avoir des orgasmes les uns après les autres alors que sa chatte n’était plus stimulée, elle jouissait intensément de cette sodomie. C’était à la fois beau, excitant et frustrant de ne pas l’avoir moi-même amenée à cette jouissance.
Je perçus que Georges n’était pas loin de jouir, mais il n’en fit rien, il céda sa place à Roger, que j’avais oublié et qui se branlait dans un coin. Il ne se fit pas prier, le passage était fait, mais pas pour une queue si large et si lourde, un peu de salive sur sa vieille tige et il poussa sa queue dans l’orifice distendu. Moins patient que son acolyte, il poussa un peu rapidement son avantage. Ma belle grimaça à l’introduction. Il ne s’en émeut point et vint se caller en profondeur dans la pastille noire de ma douce et tendre, lui dilatant outrageusement l’arrière train. Il attaqua d’emblée en puissance, faisant claquer ses cuisses contre le cul luisant de sueur de ma femme qui sembla apprécier cette entrée en matière particulièrement rugueuse. Elle avait déjà un orgasme. Il était si excité qu’il claqua les belles fesses charnues qui s’offraient à lui.
- Oh ! Oui ! C’est bon ! continus ! Enjoué et jouissant sortie de la bouche de belle d’ébène.
Ce qui déchaina le sodomite, l’enjouant à la fesser de plus belle. Cette petite salope jouissait de plus en plus de son traitement.
Cocufieur fantasmant d'être cocufié.