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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
par zeff0
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A-v-e-r-t-i-s-s-e-m-e-n-t
Ce récit est un pur fantasme sur la virginité, le corps de la femme, la maternité et l'amour extraordinaire, quasi religieux, mystique, qu'elles peuvent nous inspirer. Tout ce qui est raconté ici est purement fictif.
Je sais déjà que certains ne comprendront pas à quel point il peut être excitant de NE PAS faire l'amour à la femme qu'on aime. Ce n'est possible que si l'amour qu'on éprouve pour elle est immense. Et oui, ceci est la seule caractéristique de mon récit qui n'est pas un fantasme. Lorsque l'on aime trop fort, il peut devenir impossible de faire l'amour à celle qu'on adore. Je le sais car je l'ai vécu.

Voici mon récit.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que les quelques personnes auxquelles nous avons parlé de notre projet de fiançailles ont été surprises, parfois gênées aussi. Toutes ont été très intéressées et quelques unes ont même essayé de nous en dissuader gentiment. Il est vrai que dans notre société patriarcale et macho, ce projet de fiançailles hors du commun peut sembler bizarre et pour le moins exotique.
Nos amis ont surtout été surpris d'apprendre que depuis que Geneviève et moi nous sortions ensemble, il ne s'était encore rien passé, comme on dit pudiquement. En fait, il y avait surtout beaucoup de tendresse entre nous. Avec Geneviève, nous sommes amoureux depuis l'enfance, nous étions tout le temps ensemble et nous nous promenions en nous tenant par la main, nous nous embrassions souvent et avec l'adolescence, les caresses étaient devenues plus intimes. J'avais fini par obtenir de voir ses seins, de les caresser et même de les embrasser. Geneviève est une fille blonde merveilleuse, toujours gaie, aux yeux très bleus et bien qu'elle soit assez mince, elle a des seins lourds et ronds, magnifiques, avec des aréoles larges, roses et gonflées et des bouts de seins qui durcissent dès que mes doigts les effleurent. Ce fut l'un des plus beaux jours de ma vie.
Mais Geneviève était vierge et j'en étais fier. Pour nous, la virginité d'une jeune fille est quelque chose de sacré, presque mystique et sa perte doit être célébrée comme un sacrement. Cela dit, j'imaginais être celui à qui ce privilège revenait de droit et Geneviève le pensait aussi. En fait, plus le temps passait et plus je me demandais si je saurais être à la hauteur, le moment venu. Car j'étais tout aussi inexpérimenté que mon amoureuse mais je lui avais fait croire que j'avais eu quelques aventures, purement sexuelles avais-je ajouté pour ne pas froisser ses sentiments. Et puis elle avait fini par avoir des doutes ; Carole, l'une de ses amies plus expérimentée et très clairvoyante, lui avait déclarée qu'elle était sûre que j'étais puceau. Alors Geneviève s'était mise à me demander des détails sur mes aventures passées et mon mensonge m'était revenu en pleine figure sous la forme d'une grosse humiliation. J'avais fini par lui avouer que j'étais vierge, moi-aussi. Non seulement Geneviève ne m'en avait pas voulu, mais elle me dit qu'elle était très contente, que nous étions à égalité et j'avais bien vu que cet aveu, humiliant pour moi, lui avait procuré un intense plaisir. Elle avait tout fait pour faire durer cet instant, elle m'avait fait répéter, m'avait demandé pourquoi je lui avais menti puis elle avait essayé de me rassurer en me disant que je n'avais pas à avoir honte d'être vierge mais sa sollicitude, son sourire, sa douceur et son trop visible plaisir, tout cela n'avait fait qu'accroître mon humiliation.

Les choses étant plus claires entre nous, nous avons de plus en plus souvent et ouvertement évoqué la question de son initiation. Carole ne cessait de nous répéter que dans un couple, l'un doit être initié et doit faire découvrir à l'autre les plaisirs du sexe et que si nous étions aussi incompétents l'un que l'autre, il était certain que nous aurions de grosses déceptions. Mais pour Geneviève, ma virginité retrouvée depuis peu était un cadeau du ciel et elle n'acceptait pas l'idée de me voir lutiner d'autres femmes. Carole finit d'enfoncer le clou en lui faisant remarquer que ma timidité et mon manque d'assurance ne permettaient pas de penser que je me débarrasserais de ma vertu avant longtemps, alors logiquement, c'était à elle de sauter le pas la première. Geneviève adhéra tout de suite à cette idée et se montra très enthousiaste à l'idée d'être mon initiatrice. Mon orgueil de mâle était terriblement attaqué et j'essayais d'argumenter avec les deux filles, mais plus la conversation avançait, plus je perdais pied. Le plaisir et l'excitation que cette conversation procurait aux deux filles me rendait de plus en plus mal à l'aise et c'est avec une boule au fond de la gorge que je finis par capituler. J'admis que Geneviève le ferait la première, qu'elle deviendrait une femme dans les bras d'un autre. Elle me sauta au cou et me fit promettre que je lui serais fidèle en l'attendant.
Elle m'a dit qu'elle comprenait que c'était humiliant pour moi et que je serais sans doute jaloux mais que c'était justement ça qui lui plaisait le plus.
Elle était honnête, alors je le fus aussi ; je lui avouai que depuis quelques temps, je ne pensais plus qu'à ça moi-aussi. Je l'imaginais flirtant avec un autre, puis séduite et enfin se donnant à lui ; j'imaginais la jouissance et la fierté de l'homme qui déflorait cette fille magnifique et enfin, j'imaginais Geneviève venant m'annoncer triomphalement qu'elle avait perdu sa virginité et ces images provoquaient en moi une jouissance terrible. La cause était entendue. Geneviève avait gagné. Avant de partir, Carole nous dit qu'elle était heureuse pour nous et elle me félicita d'avoir eu le courage d'accepter et de dire ce qui me procurait du plaisir.

Finalement, l'idée s'est imposée à nous pendant notre voyage en Polynésie. Là, dans une famille autochtone chez qui nous étions invités, la femme nous a expliqué que dans le temps, lorsqu'une jeune fille allait se marier, une cérémonie était organisée quelques jours avant le mariage, pendant laquelle le chef religieux de la communauté déflorait la jeune vierge pour la préparer à sa vie de femme mariée. Les parents préparaient la jeune fille et en son honneur, les lieux étaient décorés et l'acte avait lieu sur un tapis de fleurs en présence des parents, des amis et bien sûr du fiancé qui occupait la place d'honneur. Parfois celui-ci avait les pieds et les mains attachés si l'on pouvait redouter qu'il supporte mal d'assister au dépucelage de sa bien-aimée, mais si l'on était certain de son consentement et de sa soumission, il pouvait être autorisé à se tenir près de la jeune fille, à lui tenir la main, même au moment crucial de la célébration. Cette coutume avait disparu, seules quelques rares familles de la haute société avaient encore recours à ce type de cérémonie.

Nous en avons beaucoup parlé ensuite avec Geneviève et il nous semblait qu'il y avait dans cette cérémonie, toutes les valeurs auxquelles nous croyions pour ce jour si important pour elle et pour notre couple. Et lorsque je posai la question de savoir quel serait l'homme qui aurait l'honneur d'être le premier, elle me surprit en me disant qu'elle y avait déjà réfléchi. Elle pensait à Victor K., son prof de philo à l'université, un homme d'une quarantaine d'années d'origine slave et pour lequel elle avait toujours eu un faible. Il était d'ailleurs tout à fait conscient de l'effet qu'il faisait à son élève et je dois reconnaître que c'était un très bel homme, sûr de lui, toujours calme et plein d'humour. J'avais eu l'occasion de le rencontrer et même de lui parler lors de soirées étudiantes pour lesquelles il était systématiquement convié, son charme faisant de lui un invité très prisé. A l'occasion d'une de ces soirées, il avait dansé avec Geneviève ; ils avaient dansé de très près tout en parlant. Elle avait le visage levé vers lui et j'avais été jaloux de l'expression de vénération qu'on pouvait y lire. A un moment, il avait caressé son visage et ses cheveux tout en continuant à parler mais ça n'avait pas été plus loin.
Ce choix me semblait parfaitement convenir, à supposer qu'il soit d'accord mais je ne voyais pas comment faire une telle proposition à un homme qui nous intimidait déjà en temps normal. Geneviève dit que c'est elle qui lui en parlerait et qu'elle saurait trouver les mots qui conviendraient.

Et c'est ce qu'elle fit. Geneviève peut paraître naïve et innocente mais c'est une fille très déterminée et beaucoup plus courageuse que moi. Elle lui dit tout, sa virginité, la mienne, ses sentiments pour moi, notre prochain mariage, notre voyage en Polynésie puis elle lui parla de moi, de mon désir de laisser un autre homme être le premier et qu'elle-même souhaitait qu'un autre que moi l'initie. Elle lui précisa aussi le côté cérémonieux de l'acte et qu'une poignée de personnes très proches seraient témoin de son initiation. Victor d'abord surpris lui fit longuement préciser ses sentiments et les miens, lui dit qu'il était très flatté que nous l'ayons choisi et lui rappela qu'il était marié et que par conséquent, avant toute réponse, il devait en parler avec son épouse. Ils formaient un couple très libre et très soudé, aussi pensait-il que son épouse serait d'accord et qu'elle serait fière que nous ayons sollicité son mari. Geneviève lui dit que sa femme serait la bienvenue s'ils répondaient favorablement à notre demande.

La date de nos fiançailles officielles fut donc fixée fin mai, soit un peu plus de quatre mois avant notre mariage. La cérémonie se déroula chez ma future belle-mère, Yvonne, que tout le monde appelle Vonette. Geneviève est la seule fille de Vonette, son père étant décédé quand elle était toute petite. Vonette fut surprise de la façon dont nous avions envisagé notre cérémonie de fiançailles mais elle fut ravie d'entendre la confirmation de la virginité de sa fille et sembla apprécier l'importance et le caractère solennel que nous voulions donner à son entrée dans sa vie de femme. Evidemment, il y eut d'abord les fiançailles officielles, réunissant une quinzaine de personnes autour d'un succulent repas mais l'initiation de ma fiancée eut lieu en fin de soirée avec pour seuls témoins, ma mère et Vonette, Carole et Annick, la femme de Victor.
Je voulais me sentir le plus proche d'elle possible pour partager avec elle cet instant unique de sa vie alors, avec l'accord de Victor, Geneviève et moi, nous avions décidé que je serais à côté d'elle pendant l'acte.

Dans le salon, au fond, on avait placé un lit revêtu d'un simple drap blanc. Les fauteuils étaient placés en arc de cercle autour d'une place vide parsemées de pétales de fleurs ; la lumière douce était produite par une multitude de bougies. Quand nous sous sommes installés dans les fauteuils, mon estomac se tordait et j'avais une boule dans la gorge. Victor était là, vêtu d'une chemise blanche et d'un pantalon. Il me regardait avec un sourire indéchiffrable. J'imaginais ce qu'il devait ressentir : il allait dépuceler ma fiancée devant témoins, sur la demande de celle-ci et avec mon consentement...

Heureusement, l'attente fut de courte durée. Une musique de fond marqua le début de la cérémonie. Vonette entra, tenant par la main sa fille unique, seulement vêtue d'un long voile de tulle transparent. Sa nudité en était magnifiée et sur son visage, on pouvait lire toute son émotion, sans doute un mélange de fierté, de honte, de pudeur et de courage. Ses cheveux avaient été relevés derrière la tête et les femmes y avaient déposé une couronne de petites roses. Lentement, Vonette l'amena jusqu'au centre de la pièce, sur le tapis de fleurs et lui demanda de s'agenouiller. Le silence était compact et Geneviève s'exécuta. Alors Vonette défit la seule attache qui maintenait en place le voile et le retira. Un murmure accueillit la vision de ma fiancée nue, agenouillée, la tête baissée ; son émotion et sa honte étaient telles que je la devinais au bord des pleurs. D'instinct, elle avait ramené ses bras sur ses seins. Elle était si fragile, si nue, si touchante que je ne pus résister ; je me levai et m'agenouillai devant elle. Elle me sourit ; je me penchai vers elle pour lui dire « je t'aime » et je posai mes lèvres sur les siennes. Elle me rendit mon baiser en mettant ses bras autour de mon cou tandis que nos invités manifestaient leur approbation.

Victor s'était levé, avait enlevé sa chemise. Victor est grand et son torse était impressionnant. Il se pencha vers la jeune fille et l'aida à se relever puis sans attendre, il l'embrassa. Un long baiser sensuel où leurs langues s'entremêlaient. Puis, se tournant vers moi, il me dit : « suis-moi, garçon ». Il souleva alors ma fiancée dans ses bras comme il aurait fait d'une plume et la déposa en travers du lit. Relevant ses jambes, il lui tint les cuisses écartées découvrant aux yeux de tous, la fente nue de la jeune fille. Les femmes l'avaient soigneusement préparée et épilée. Il me dit « mets-toi à genoux et embrasse le sexe de ta fiancée avant que je la prenne ». Pour la première fois, je voyais devant mes yeux le sexe de mon amie de toujours et cela juste au moment où un autre allait la faire sienne. Je posai ma bouche sur les deux lèvres serrées et ne put m'empêcher de glisser la langue dans son sillon. L'effet fut immédiat, elle poussa une plainte et son corps se tendit, à la rencontre de ma bouche. Victor posa sa main sur mon épaule. « C'est bien, va t'asseoir à côté d'elle ».
J'allai m’assoir sur le lit à son côté et je lui pris la main en plongeant mon regard dans le sien ; elle avait peur et j'eus envie de la rassurer. J'allais approcher mon visage du sien quand je vis son regard changer ; ses yeux se retournèrent puis elle les ferma. Son souffle devenait plus court et son corps se mit à onduler. Je vis que Victor avait pris ma place et sa langue experte avait séparé les lèvres et s'introduisait dans la vulve ; avec deux doigts, il décapuchonnait le clitoris qu'il honorait parfois de quelques coups de langue. A chacune de ces attaques, Geneviève criait, son visage était devenu rouge et même ses traits avaient changé, sa bouche ouverte sur son souffle court, ses narines pincées qui cherchaient l'air, jamais, je ne l'avais vue aussi belle. Elle avait lâché ma main, son corps s'agitait et elle se mit à tourner la tête rapidement à droite et à gauche ; à cet instant, je me dis qu'elle ne pensait plus à moi mais je n'eus pas le temps de m'en attrister. Soudain, elle cria de toute ses forces, cabrant son corps, secouée de spasmes. Pour la première fois de ma vie, je voyais une femme dans son orgasme et c'était Geneviève. Je posai ma bouche sur son front. Son visage chaud et transpirant, l'odeur si intime de ses cheveux amenèrent en moi une vague de tendresse : « oh, mon amour » et je l'embrassai ; elle était encore toute tremblante.
Victor s'était relevé et avait enlevé le reste de ses vêtements. Il était nu, son sexe immense fièrement dressé se balançait à chaque mouvement. Je n'avais jamais vu une bite d'une telle taille, longue et surtout incroyablement épaisse ; le gland bien décalotté luisait et je compris qu'il venait de le lubrifier. Le silence était maintenant total. Il me demanda de tenir la jambe droite de ma fiancée tandis que lui-même écartait la jambe gauche et il approcha sa verge de la vulve inondée. Après de légers va et vient le long de la fente, il engagea le gland en poussant doucement les reins en avant. Geneviève gémit et tournant la tête vers moi, elle me saisit la main. Son geste me toucha ; elle se raccrochait à moi au moment décisif. De l'autre main, je lui caressai le front et les cheveux, incapable de prononcer le moindre mot. Victor allait et venait de quelques centimètres seulement dans l'entrée de son con puis d'un mouvement lent mais ferme, il s'enfonça profondément en elle, lui arrachant un cri violent. Elle me lâcha et de ses deux mains agrippa fortement les draps, des larmes pleins les yeux. Un long murmure parcourut l'assemblée des convives. J'étais bouleversé. Victor venait de déflorer Geneviève, il avait déchiré l'hymen de ma fiancée, définitivement. Il restait maintenant immobile, le torse relevé et son attitude orgueilleuse montrait qu'il savourait sa conquête. J'admirais sa force et j'enviais sa victoire. Il avait laissé la jeune femme s'adapter à la taille de l'engin qui la remplissait et la dilatait ; doucement, il reprit ses mouvements les amplifiant progressivement. Geneviève se remit à gémir doucement, le plaisir revenait mais cette fois, elle ne lâcha pas ma main. De mon autre bras, j'encadrais son visage, murmurant à son oreille des mots d'amour, des mots de folie ; je célébrais sa beauté. En continuant ses mouvements, Victor se pencha sur elle et lui caressa les seins, les saisissant, les malaxant et pinçant doucement en tirant sur les tétons, il arrachait à Geneviève des petits cris de plaisir. Ses mouvements étaient maintenant plus amples et rapides. Sentant venir sa propre jouissance, il ralentit son rythme et il s'allongea de tout son poids sur le corps de la jeune femme. Il voulait qu'elle sentit le poids de l'homme qui la baisait, qu'elle ressentit profondément sa possession. Et Geneviève comprit parfaitement son intention ; elle bloqua ses deux jambes autour des reins de l'homme et leva son visage vers lui. Elle voulait qu'il l'embrasse avant de recevoir son hommage. Ils s'embrassèrent et un gémissement étouffé s'échappa de la bouche occupée de Geneviève. Je vis les fesses de Victor se contracter violemment ; il releva la tête et poussa un long cri, comme une plainte rauque. Geneviève ressentit les spasmes de la verge qui la comblait et elle ferma les yeux. Geneviève était une femme. Elle venait de recevoir la semence d'un homme au fond de son ventre. Elle était étonnamment calme mais des larmes coulaient sur ses joues. Bizarrement, je ne ressentais aucune jalousie, seulement une vague d'amour pour cette femme et un sentiment d'admiration et d'adhésion totale devant la beauté de leur accouplement.
Nous avions décidé ensemble que son initiation serait complète, que Victor n'utiliserait pas de préservatif et qu'il irait jusqu'au bout de l'acte, déversant son sperme en elle. Tout était accompli.

Victor se retira doucement, souriant à sa conquête et caressant son visage. Les applaudissements de nos témoins se plantèrent dans mon cœur : la jalousie et l'humiliation étaient de retour. Souriante, les yeux grand ouverts, Geneviève me regardait et compris ce que ces applaudissements représentaient pour moi. Avec un sourire plein de tendresse, elle mit ses bras autour de mon cou et plaqua ses lèvres sur les miennes. Les applaudissements s'amplifièrent. Elle se releva pour s'asseoir et me prit dans ses bras. Nous sommes restés ainsi un long moment, assis sur le lit, enlacés, joue contre joue, sans un mot, submergés par nos sentiments. Elle venait de se donner à Victor, mais maintenant, elle me revenait ; elle était à nouveau ma fiancée, dépucelée, comblée mais toujours amoureuse. Je ne pus retenir quelques larmes qui mouillèrent son cou tandis qu'elle caressait mes cheveux.
Nous étions seuls, les invités s'étaient retirés, comprenant que nous avions besoin d'un moment d'intimité. Redressant mon visage, Geneviève pointa un doigt vers le lit : « Regarde » dit-elle. Sur le drap, au bord du lit, une tache rouge se diluait dans un espace mouillé. Je lui fis un sourire, le cœur serré et l'embrassai à nouveau.
Sa mère avait apporté quelques habits, un soutien-gorge, une culotte et une très jolie robe d'été. Elle négligea les sous-vêtements, n'enfila que la robe et joyeuse, elle me tira par la main pour aller rejoindre nos invités.
Ça va, toi ? demanda-t-elle.
Oui, bien sûr, et toi ?
Elle rit et me dit :
Ça coule, j'en ai plein les cuisses. Je te ramène à nos invités et je vais passer à la salle de bains.
Je ris aussi, un peu jaune, et nous sortîmes du salon.

A notre entrée dans la salle à manger, ma mère vint m'embrasser et me dire un mot doux à l'oreille puis Vonette m'embrassa à son tour très gentiment. Victor et Annick se tenaient enlacés, quant à Carole, elle guettait ma réaction.
Pendant que Geneviève occupait la salle de bains, je me dirigeai vers Carole.
Bravo, Seb, me dit-elle.
Je n'ai rien fait, c'est Victor qu'il faut féliciter.
Si ! Tu étais là pour elle et tu as très bien assumé.
Tu trouves ?
Oui, si elle a eu du plaisir, c'est aussi parce que tu étais là et qu'elle le faisait devant toi. Tu ne regrettes pas, j'espère ?
Oh non, elle était magnifique et je n'aurais jamais su faire ça comme Victor.
Alors peut-être que tu devrais aller le féliciter et le remercier, tu ne crois pas ? Elle me fixait de ses yeux noirs et son regard exprimait l'autorité. Je connaissais les idées de Carole. Pour elle, les femmes devaient avoir le pouvoir, particulièrement en matière sexuelle et surtout au sein du couple. Carole était dominatrice et son extraordinaire beauté l'aidait sans aucun doute à parvenir à ses fins.
La perspective d'aller remercier Victor était particulièrement humiliante, mais d'un autre côté, je ne pouvais certainement pas l'ignorer pour le reste de la soirée alors qu'il venait de faire exactement ce qu'on lui avait demandé. Carole avait raison. Il avait fallu du courage à Geneviève pour vivre cette soirée, je devais maintenant moi aussi faire preuve de courage.

Je me dirigeai vers le couple d'universitaires qui discutaient tranquillement, une coupe de champagne à la main.
Je bredouillai :
Victor... merci... 
Il me coupa tout de suite la parole pour mettre fin à mon humiliation.
Ne dis rien, mon gars, c'est moi qui vous suis reconnaissant. Geneviève et toi, vous m'avez fait beaucoup d'honneur.
Annick eut un petit rire et posa gentiment sa main sur mon épaule en me regardant avec des yeux pétillants et très doux. Victor avait raison ; Annick était fière de ce qu'avait fait son mari.

Geneviève venait de sortir de la salle de bains et les invités saluaient son retour. Elle était merveilleuse dans sa petite robe ; ses seins lourds et libres se balançaient à chaque pas et mon désir se réveilla instantanément. Je bandais plus dur encore que tout à l'heure. L'idée qu'elle n'était plus vierge me la rendait encore plus désirable, j'étais au bord de l'orgasme et il était indispensable que je me rende à mon tour à la salle de bain.
Geneviève vit mon trouble sur mon visage et me demanda :
Ça va ?
Il faut que j'aille à la salle de bain.
Elle rit et me prit par la main.
Je vais avec toi.
Dès que la porte fut fermée, je me précipitai sur elle. Elle répondit tout de suite à mes baisers, le souffle court, ravie de mon excitation. Je défis le haut de sa robe et m'emparai de ses seins que je tétai et embrassai puis m'agenouillant devant elle, la front contre son ventre, le visage enfoui contre sa robe dans la fourche de ses jambes, je lui criai mon amour : « je t'aime, je t'aime, je t'aime ».
Alors elle me releva, défit ma ceinture, baissa mon pantalon et mon slip et se plaçant derrière moi, elle prit ma queue dans sa main. Elle était énorme et me faisait presque mal. Elle me branla doucement et je sentais son souffle dans mon cou. « Seb, mon chéri, je t'aime et je veux que tu jouisses aussi. Laisse-toi faire, chéri, vas-y, jouis » et elle accélérait le rythme de sa main. Elle n'eut pas à attendre. Je ne pus retenir un cri : le sperme jaillit en longs jets qui atterrirent contre le mur et dans la baignoire. Mes jambes faiblissaient mais elle me tenait fermement dans ses bras et continuait à pomper ma queue jusqu'à ce que plus rien ne sorte. Alors elle me fit me retourner et me donna un baiser fougueux une nouvelle fois. Je me sentais faible et vide mais elle était toute joyeuse et me parlait sans que ses mots n'atteignent vraiment mon cerveau. Elle avait déjà un gant de toilette à la main et me lavait le sexe en riant.
Rhabille-toi, Seb et va rejoindre les autres. Je m'occupe de la baignoire.
Encore un peu sonné, je me rhabillai et me passai un coup d'eau sur la figure puis après avoir échangé un regard avec elle, je regagnai la salle à manger. Sur certains visages, je crus voir quelques sourires moqueurs. Mon soulagement était-il tellement visible ?

La soirée était bien avancée lorsque nos invités manifestèrent leur intention de nous laisser. Carole repartait avec Victor et Annick car ils étaient venus dans la même voiture. Alors que Victor était sur le pas de la porte, Geneviève le rattrapa et lui remis la couronne de fleurs qu'elle avait portée pendant la cérémonie. Je ne sais pas ce qu'ils se dirent, mais Victor prit la couronne et se pencha pour embrasser ma fiancée. Geneviève et moi restâmes seules avec nos mères respectives sur le pas de la porte ; nous avions prévu de dormir chez Vonette. Ce fut ma mère qui s'exprima la première :
Mes enfants, vous avez été merveilleux. Cette fête était une idée magnifique. Je vous envie presque de vivre ainsi votre amour, moi qui suis veuve depuis si longtemps.
Vonette acquiesça et serra sa fille contre elle.
La nuit fut longue et je ne trouvai le sommeil qu'au petit matin. Je dormais avec ma mère dans la chambre d'amis qui comprenait deux lits et Geneviève reposait à quelques mètres de là, dans sa chambre. Je me demandais à quoi elle pensait. Sans doute comme moi devait-elle revivre les moments inoubliables de ce soir. Ma main glissa vers le bas de mon ventre. Je ne pus résister et j'essayai seulement de ne pas faire trop de bruit.

Le week-end suivant, je rejoignis Geneviève chez sa mère ; Victor et Annick étaient déjà là.
Geneviève les avaient invités car elle voulait leur parler « de la suite des événements » comme elle dit. A la fin du repas, elle demanda à sa mère de nous laisser quelques instants et elle alla droit au sujet qu'elle voulait aborder. Comme Carole, elle pensait que l'initiation d'une femme ne se limitait pas à sa défloration et elle savait bien qu'elle avait encore beaucoup de choses à apprendre pendant les quelques semaines qui nous séparaient du mariage. Alors comme tout le monde est là, dit-elle en se tournant vers moi avec un sourire, je voulais demander à Victor s'il acceptait d'être mon professeur, mais pas pour la philo, ajouta-t-elle en riant. Si Annick est d'accord parce que pour Seb, je sais que c'est oui, hein Seb ? dit-elle en me lançant son sourire charmeur. Il me sembla que mon cœur loupait un tour et je me mis à bander immédiatement.
Oui, dis-je dans un souffle.
Annick leva les yeux vers son mari :
Pour moi, c'est Victor qui décide dit-elle en lui souriant et je crois savoir ce qu'il va dire !
Victor prit les mains de Geneviève dans les siennes et la fixa dans les yeux.
C'est avec beaucoup de plaisir que j'accepte puisque tout le monde est d'accord, lui dit-il.
Les mains toujours dans celles de Victor, Geneviève se leva légèrement et posa ses lèvres sur les siennes.
Merci, dit-elle simplement.
S'adressant à moi, Victor ajouta :
Seb, tu es sûr ?
Oui, Victor, vous savez bien à quel point j'ai aimé ce que vous avez fait à Geneviève, dis-je en essayant de calmer les battements de mon cœur.
Alors c'est bien. Il nous reste à préciser certaines choses. Geneviève, tu ne prends pas la pilule, je crois, ni un autre moyen de contraception, n'est-ce pas ? Vous vous rendez compte que nous avons pris certains risques jeudi, et si j'ai accepté, c'est parce que vous avez beaucoup insisté, Seb et toi, pour que les choses se passent naturellement. Mais cette fois, c'est différent. Ce n'est pas une seule fois, à un moment choisi du cycle ; nous serons amenés à nous rencontrer souvent, Geneviève et moi pendant ces quatre semaines. Avez-vous pensé au risque d'un enfant ?
Geneviève me regarda ; elle connaissait déjà ma réponse. Nous en avions parlé la veille et la discussion avait été vive.
Seb et moi, nous en avons beaucoup parlé et nous sommes d'accord. Nous ne voulons aucun moyen de contraception et nous voulons laisser faire la nature. Nous ne considérons pas la venue d'un enfant comme un risque mais comme un beau cadeau. J'ai bientôt 22 ans et Seb en a 20, nous ne sommes plus des enfants et à mon âge, ma mère avait déjà une fille de quatre ans. En plus, nous serons mariés quand il arrivera, alors il aura un père et une mère comme tous les autres enfants. N'est-ce pas Seb ?
Victor ne me laissa pas le temps de répondre :
Seb, tu es conscient que tu devras peut-être élever l'enfant d'un autre ? Tu pourras l'aimer autant que les suivants qui seront de toi ?
Oui, Victor. Tous les enfants que Geneviève me donnera seront les bienvenus et je les élèverai comme les miens. Je serai leur père avec tous les droits et devoirs que ça implique et c'est en fait notre seule condition : que je sois officiellement leur seul père. Vous acceptez, Victor ?
Oui, bien sûr, j'accepte que tu sois considéré comme le seul père. Mais tu n'éprouves aucune jalousie ?
Oh si ! Je me sens terriblement jaloux de ce que vous avez fait à Geneviève et encore plus de ce que vous allez lui faire. Mais c'est comme ça, j'aime ma chérie, j'aime savoir qu'elle aura du plaisir. J'aime l'idée qu'elle va être complètement femme avant notre mariage. Et le meilleur moyen de la rendre complètement femme, Victor, c'est que vous la mettiez enceinte.
Et toi, Geneviève ? demanda Victor.
Moi, je veux bien être engrossée avant le mariage puisque Seb le veut tellement, répondit-elle en riant et en me caressant la joue.
Il ne manque plus que ton accord, ma chérie, dit Victor en regardant sa femme dans les yeux.
Annick avait l'air très émue et elle dit d'une toute petite voix :
Tu l'as, mon chéri.
Victor l'embrassa.
Merci, mon amour.

Lorsque Vonette revint de la cuisine, à l'expression de son visage, il était clair qu'elle avait tout entendu et tout le monde partit d'un grand éclat de rire.

Le mariage eut lieu à la date prévue, en septembre. Vonette avait tenu à ce que la robe ne fut pas blanche ; Geneviève n'était plus vierge et Vonette avait des principes. Pourtant, personne ne s'y serait trompé lorsqu'à son bras Geneviève s'avança dans l'allée centrale de l'église, magnifique dans une robe jaune très pâle, ses longs cheveux blonds pris dans une résille ; enceinte de neuf semaines, elle marchait en se tenant en arrière et elle avait un joli ventre arrondi. Ludivine, notre première fille, était en route. Quant à moi, j'ai tenu ma promesse. Geneviève a été la première et la seule femme de ma vie. Cette nuit là, lorsqu'elle m'a chevauché, pour la première fois j'ai répandu ma semence dans son ventre de femme déjà pleine. Par la suite, Geneviève a donné naissance à deux garçons, Pierre et Sylvain.
Dès qu'elle a été en âge de le comprendre, nous avons dit à Ludivine que sa mère l'avait conçue avec Victor avant notre mariage. Aujourd'hui, elle a 35 ans, elle est mariée et mère de trois grands garçons.

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