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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
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J’ai rencontré Anne-Charlotte, mon épouse, par l’entremise d’un couple d’amis qui avaient organisé un diner chez eux pour Bernard, mon ami d’enfance, et moi. Nous la découvrîmes donc ensemble, grande, blonde, svelte, oh combien BCBG et portant une longue jupe blanche transparente sous laquelle, mais cela je ne l’appris que plus tard, une petite culotte de couleur chair tendre. Bernard et moi avons donc pu bien fantasmer toute la soirée pour tenter de savoir si Anne-Charlotte étaient nue sous sa jupe ou quoi ?

Peu après notre mariage, Bernard était venu passer une semaine avec nous à Porto-Vecchio. Avant son arrivée j’avais bien tenté d’expliquer à Anne-Charlotte qu’il m’arrivait de fantasmer sur une expérience à trois, mais si cela semblait l’exciter lorsque nous faisions l’amour, elle me fit savoir, revenue sur terre, qu’il n’en était pas question. Je dois néanmoins préciser que cela ne la dérangeait toutefois pas de se balader avec Bernard et moi sur la plage les seins nus et de laisser Bernard lui apprendre les rudiments de la planche à voile uniquement vêtue d’un mini bas de maillot taille extra basse (il n’existait pas de maillot de bain string à cette époque) qui découvrait plus de la moitié des ses fesses bien rondes.

La veille de son départ, nous sommes allés diner sur le port et, sur la route du retour, j’ai proposé un bain de minuit sachant qu’aucun d’entre nous avait de maillot (ce détail jouera une part non négligeable quelques années plus tard) et que la plage était déserte. A mon heureuse surprise, Anne-Charlotte accepta et nous fumes bientôt tout les trois nus comme des vers dans l’eau tiède de la Méditerranée. Malheurement, si cela fut un moment plutôt agréable, il ne se passa rien bien que Bernard me dit plus tard qu’il avait essayé quelques mains baladeuses…

Quelques années se passent, nous présentons à Bernard celle qui devint sa femme. Lors d’un voyage d’afaire au Brésil, à notre surprise, Bernard achète pour Anne-Charlotte un maillot une-pièce brésilien, fait de deux bretelles partant - et couvrant à peine - le pubis, passant sur les tétons en ne laissant guère de place à l’imagination, puis au-dessus les épaules avant de se rejoindre au bas du dos, dans le sillon fessier.

Malgré notre insistance pour qu’Anne-Charlotte enfile le maillot illico, nous nous heurtons à des excuses vaseuses et le maillot intègre une commode dans un recoin perdu.

Nous déménageons à l’étranger et Bernard perd sa femme dans des circonstances dramatiques. Il vient nous rendre visite à Miami Beach où nous étions pour l‘été. Un soir, je propose que nous allions tous les trois visiter un club de strip-tease de grande classe. Une noire superbe vient danser sur les genoux de Bernard, pendant que je masse les hauts de cuisse d’Anne-Charlotte largement découvertes par sa mini jupe. Au bout de quelque temps, nous rentrons à l’hôtel, ou nous avions une vaste suite, Bernard étant dans une chambre à l’étage du dessous.

Pendant que je vais chercher des glaçons pour un petit whisky pour Bernard et moi sur la terrasse, Anne-Charlotte s’allonge sur le dos sur le canapé du salon et ferme les yeux tout en entrouvrant subrepticement les cuisses. A un moment Bernard me pousse du coude : je me retourne et je vois qu’Anne-Charlotte, tout BCBG qu’elle fut, expose à nos regards lubriques ses longues jambes jusqu’à son entre-jambe recouverte par un slip en dentelle blanche.

Je fais signe à Bernard de s’approcher et je commence à caresser l’intérieur des cuisses d’Anne-Charlotte, afin de les écarter davantage. Au moment où j’allais faire signe à Bernard de venir caresser la cuisse gauche alors que je me concentrais sur la droite, Anne-Charlotte ouvre un œil, murmure « non, pas comme cela » puis elle se lève et va se coucher.

Un an plus tard, Bernard a un rendez-vous d’affaire à coté de chez nous et vient donc passer 48 heures à la maison. Un couple d’amis nous invite tous à diner (ils joueront d’ailleurs un rôle dans le futur, une autre aventure, mais à ce moment ni lui ni elle ne le sait).

Entre le décalage horaire pour Bernard et le diner bien arrosé pour tous, quand nous rentrons tous les trois à la maison, Bernard suggère que nous prenions un jacuzzi. J’acquiesce de suite, en précisant qu’Anne-Charlotte devra porter le maillot brésilien. Bernard me supporte évidement à 100%, à tel point qu’elle finit par accepter.

Cinq minutes plus tard nous sommes tous les trois dans un coin agréable du jacuzzi, moi nu, elle en « maillot » ne couvrant pas grand-chose et Bernard en caleçon, tous les trois avec un grand verre de Bourbon jus d’orange à la main.

Les deux ou trois premières fois que je passe un doigt entre ses mamelons et la ficelle du maillot, Anne-Charlotte me fusille du regard. Mon geste m’échappe pas à Bernard qui, sous le couvert du remous du jacuzzi semble s’activer de son côté. Petit à petit, Anne-Charlotte me laisse de plus en plus librement explorer les parties couvertes de son anatomie, où il m’arrive de rencontrer une autre main, celle de Bernard.

Je ne sais pas ce que celui-ci lui raconte à l’oreille, mais soudain elle se lève au milieu du jacuzzi en riant, mais avec une mimique disant clairement « pas chiche ». Bernard se dresse face à elle, met une main sur l’épaule droite et l’autre sur la gauche et tire d’un seul coup sur le maillot ficelle exposant ainsi la superbe poitrine 85B d’Anne-Charlotte, suscitant notre hilarité générale. A ce moment, je me lève, passe derrière Bernard et lui baisse prestement son caleçon sur les chevilles. Toujours face à Anne-Charlotte, il la regarde dans les yeux et lui dit : « Bon ben il ne me reste plus qu’a t’enlever ton maillot ». Joignant le geste à la parole, il lui fit glisser le peu de tissu restant le long des cuisses, puis la poussant assise sur les fesses, jambes en l’air, le long des chevilles dressées.

Bernard pris les chevilles avec ses mains, écarta les largement les jambes d’Anne-Charlotte, et plongea la tête sous l’eau pour entreprendre un bon cunnilingus. Puis il se redressa, écarta encore les jambes de ma femme et commença à s’activer. Curieux, ne pouvant pas voir grand-chose sous l’eau tourbillonnante, je lançais une main exploratoire vers le sexe de ma femme. Ma main se referma sur la queue gonflée de Bernard , mon meilleur copain en train de pénétrer ma femme dans un bon mouvement régulier. A chaque mouvement où il s’enfonçait dans le sexe d’Anne-Charlotte, ma main fermée sur son pénis venait caresser le clitoris de ma femme. Cela est la seule fois où j’ai touché un sexe masculin, mais je ne ressentais aucune inhibition : il s’agissait un peu pour moi comme d’un godemiché extraordinaire, chaud, gonflé, vivant et plein de sperme.

Bernard éjacula d’ailleurs assez rapidement dans le sexe d’Anne-Charlotte qui elle-même, le souffle court et ses mains sur les fesses de mon copain pour l’aider à bien maintenir le bon rythme, semblait au bord de l’orgasme. A mon tour j’éjaculais dans l’eau chaude du jacuzzi.

Sans me consulter, Bernard pris ma chère et tendre par la main et la fit sortir du jacuzzi. J’ai oublié de préciser que celui-ci est en plein air et que les voisins, s’ils le veulent, peuvent nous mater. Bernard nus tira donc Anne-Charlotte toute aussi nue par la main et l’emmena dans la chambre d’ami.

Pendant ce temps, je pris le petit appareil de photo polaroid. Le temps de rejoindre la chambre de Bernard, Anne-Charlotte étaient dans une de ses positions favorites, les genoux au niveau des oreilles, bien maintenus par ses bras, et son sexe largement disponible. J'aime la voir exposée, mais je dois avouer que à ce point, cela me donna un choc. Un bon choc. :)

Bernard commençant à subir les effets du décalage, cela ne dura guère et bientôt Anne-Charlotte et moi, après une brève mais sympathique douche commune, nous nous retrouvâmes dans notre lit, nus, son corps lové contre le mien.

Le lendemain au petit déjeuner, Anne-Charlotte nous accueille comme si de rien n’était. Je dis à Bernard d’aller acheter un gros bouquet de rose avant le déjeuner.

L’après midi, Anne-Charlotte nous dit qu’il y a du travail dans le jardin. La nanny Philippine de nos enfants et Bernard se portent volontaires, quant à moi, je dois passer au bureau pour m’occuper de dossiers urgents.

Quand je rentre, les trois sont au fond du jardin. Je les rejoins. Anne-Charlotte, en mini-mini-jupe en jean se penche bien en avant pour s’occuper de mauvaises herbes. Elle nous présente ainsi largement la moitié inférieure de ses fesses et son entrejambe recouverte, enfin, c'est-à-dire plus ou moins, d’un string rouge que je n’avais jamais vu avant. Un spectacle superbe : A chaque fois qu’Anne-Charlotte se baissait, ses fesses étaient largement exposées, séparées par un fil rouge, alors que son sexe était mis en valeur par une magnifique dentelle à traves laquelle quelques poils pubiens blonds apparaissaient.

La nanny philippine voit le spectacle, sa maitresse s’amusant à s’exhiber et Bernard et moi salivant comme des ados et elle est rouge pivoine, cachant son sourire derrière ses deux mains, comme les asiatique gênées le font.

Le soir, nous allons diner, Bernard, Anne-Charlotte et moi dans un steak-house. Rentrés à la maison, je propose que nous fassions un jeu érotique : j’avais acheté à Paris près des Champs-Elysées un jeu de l’oie érotique que je n’avais jamais vraiment eu l’occasion d’étrenner à plus de deux.

Les bases de ce jeu sont simples. Cinq vêtements, maximum, soit slip, soutien gorge, chemisier, jupe ou pantalon et chaussures pour les femmes, slip, chemise, chaussettes, pantalon et chemise pour les hommes. Quand on tombe sur une case « spéciale », soit on perd un vêtement, soit on fait un gage…

Bernard, dans la confidence, approuve. A notre heureuse surprise, Anne-Charlotte aussi. Le jeu commence, Bernard et moi tombons sur toutes les cases où nous somme sensés perdre un vêtement, alors qu’Anne-Charlotte, assez extra ordinairement, gagne la case finale avec encore sa chemise et ses sous-vêtements.

Frustrés, Bernard dit : « Ok, nous demandons la revanche ! ». J’ajoute qu’Anne-Charlotte devrait rester telle quel - slip, soutien gorge et chemisier - pour nous donner une chance. :P

La chance ne fut à nouveau pas de notre coté, et Anne-Charlotte gagna à nouveau, et nous nous retrouvâmes trois en slips. Bernard eut droit à un gage, un seul : Anne-Charlotte lui lécha le sexe à travers le slip, laissant de longues traces humides...

Donc, jeu fini, tous les trois debout en slip, je décidais de montrer à mon copain mon achat du jour : Un string original où la ficelle fessière se partageait en triangle dans le tiers supérieur du lobe fessier. « Wow » dirent Anne-Charlotte et Bernard. Je dis à Anne-Charlotte : « J’aimerais bien voir l’effet de ce string sur tes fesses. ». Sans attendre de réponses, je lui enlevais sa petite culotte et lui enfilait la mienne. Je lui dis : « Poses tes mains sur les accoudoirs de ce fauteuil et penche toi bien en avant. »

Placé sa gauche, je mis rapidement une main sur son sein gauche et l’autre sur sa fesse gauche. Faisant signe de la tête à Bernard pour qu’il s’approche, je lui signifiais de se joindre moi. « Tu me trouves pas que les fesses d’Anne-Charlotte sont très douces, et touches ses seins, quel plaisir ! ». Aussitôt dit, aussitôt fait, ma femme se retrouva avec quatre mains palpant ses atouts.

Bernard se colla contre Anne-Charlotte et se concentra sur sa poitrine. De mon coté, j’avais abandonné la poitrine pour glisser une main dans ce qui était après tout la poche de mon slip. Après quelques minutes passées à lui caresser le pubis, je dis : «Ce slip d‘homme est hideux sur toi, et d’un mouvement preste, je le lui enlevât. Ensuite je passais derrière Bernard et, comme la veille dans le jacuzzi, je lui baissais son slip, non sans quelques difficultés tant il bandait.

Son sexe vient se loger sur les seins d’Anne-Charlotte qui de son côté libera une main pour venir caresser ce nouvel ensemble seins/pénis. Quant moi, à genoux, je léchais conscieusement son entrejambe.

Au bout de quelques minutes, Bernard proposa de terminer cela dans la chambre d’ami. Nous acquiesçâmes immédiatement.

Je m’installais sur le lit sur le dos, les cuisses bien ouvertes. Anne-Charlotte pris mon sexe dans sa bouche en s’installant en levrette, les genoux bien écartés, le cul saillant. Bernard la pénétra et, de la ou j’étais, je voyais ma femme me suçant, son cul en l’air labouré par mon meilleur ami.

Chacun de ses coups de reins poussait la bouche d’Anne-Charlotte plus avant sur mon sexe et ses seins venaient caresser l’intérieur de mes cuisses au même rythme.

Bernard ce soir là fut beaucoup plus endurant que la veille, mais ce qu’il devait arriver arriva, et il se déchargea longuement dans le sexe de ma femme qui semblait apprécier. Nous changeâmes de place, elle toujours en levrette. Bernard ne pouvait momentanément plus bander, mais Anne-Charlotte couvrait de petite baisers son pubis, son sexe et ses couilles. De mon coté, je m’enfonçais dans sa chatte remplie du foutre de mon ami. Je n’aurais jamais pensé que cela puisse être aussi excitant. Un petit trop rapidement à mon goût je finis par sentir la sève monter ans mon sexe. Je me retirais rapidement et éjaculais longuement sur le bas du dos et les fesses de mon épouse.

La contraction du vagin d’Anne-Charlotte émis un petit bruit insolite mais excitant : elle jouissait en même temps que moi. Bernard commençât à lui masser le dos utilisant mon sperme comme une huile.

Une fois le dos bien sec, il retourna Anne-Charlotte et se branla sur sa poitrine. Je l’aidais à répartir sa semence, tout en regrettant qu’il n’y en ait guère plus qu’une grosse noisette.

Laissant Bernard à ses rêves, Anne-Charlotte et moi prirent une longue douche commune et puis, au lit, je passais une heure à lui faire l’amour, en lui expliquant combien j’appréciais son attitude et combien son exhibitionnisme m’excitait au plus haut point.

Voilà, je suis désolé de ce texte trop long, mais c’est le première fois que je raconte cette aventure.
#8774
Ne sois pas désolé, ton histoire est excellente. Et pas trop longue puisque prenante.
Il y a des suites. :P
#8895
Merci à tous pour vos commentaires indulgents et encourageants. Je réalise, à me relire, que je ne suis pas encore prêt pour le Goncourt ! Je dois reconnaitre que l’excitation ressentie à vous décrire cette expérience fut la cause de pas mal de "fautes de frappe". ;)

Je trouve ce forum très excitant. J’aime beaucoup lire vos histoires et regarder vos photos. Je vais essayer dans les mois qui viennent de vous raconter certaines de nos autres aventures. J’y rajouterais aussi quelques photos, bien que je doive reconnaitre que les caméras digitales sont arrivées un peu tard pour nous. Anne-Charlotte n’a plus vingt ans et moi non plus, même si pour moi je la trouve aussi attirante qu’au premier jour.

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