- 03 févr. 2022, 07:55
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J’aimais exhiber Anne dans différentes occasions (terrasses de café ou je lui demandais d'écarter les cuisses si elle se trouvait dans le champ de vision d’un potentiel voyeur’ et surtout en voiture).
J’ aimais lui caresser la chatte lorsque nous étions en voiture. Dès que nous partions pour une destination assez lointaine, J’ exigeais qu’elle soit en jupe, et qu’elle soit « disponible », c’est à dire seins accessibles, et sans culotte.
Nous avions un appartement à La Baule. Dès le printemps nous empruntions l’A11 jusqu’à Nantes, ce qui me donnait l’occasion à de la branler pendant plusieurs heures. Cela la rendait folle. Lors d’un de nos premiers voyages, nous avions été obligés de ralentir à cause de travaux, l’autoroute passant de 3 à 2 voies. Depuis plus d’une heure, Je la branlais très fortement. J’avais l’habitude de tirer sur les lèvres, et d’exercer un mouvement circulaire très violent sur son clitoris, qui la faisait sursauter de plaisir. Elle avait baissé le dossier de son siège, lui permettant ainsi d’être dans une position allongée, le buste dégagé, et elle maintenait l’écartement de ses cuisses à son maximum en posant ses talons sur le tableau de bord. Elle s’offrait ainsi sans pudeur aux regards, en plein jour, sans que cela prête à conséquence, les vitres de la voiture étant suffisamment opaques pour rendre malaisée (lorsque nous roulions à vitesse « normale »), la vision de son corps dénudé.
Lors du dépassement d’un camion dans ce secteur limité à 90, nous sommes restés à hauteur de la cabine d’un camion qui était sur la voie de droite pendant une dizaine de secondes.
Elle avait simplement ôté ses pieds du tableau de bord, mais elle avait gardé la jupe retroussée, et le chemisier ouvert.
Dès la fin de notre dépassement, j’ai aperçu dans le rétroviseur, des appels de phare.
Anne aussi avait remarqué et cela semblait lui faire plaisir.
Nous avons poursuivi notre route en roulant à vitesse normale. Je continuais
à la branler fortement. Elle se laissait faire, elle avait reprit sa position favorite.
Je remarquais en doublant les camions que bon nombre de routiers se levaient de leur siège et essayaient de voir. La CB avait su fonctionner.
Je profitais d’un des rares moments ou l’autoroute était dégagée pour ralentir à la hauteur d’un camion.
« Ecarte toi bien, branle toi, montre lui tes seins, regarde le… » j’indiquais à Anne, ayant du mal à contenir mon excitation.
Elle s’offrit au regard le plus possible, les cuisses très écartées. Le chauffeur dont je voyais le visage complètement tourné vers nous, n’en manquait pas une miette. Il ne regardait pas la route (cela pouvait être dangereux)
Nous sommes restés ainsi une trentaine de secondes, elle se caressait les seins et la chatte, le chauffeur était rivé à sa vitre. J’accélérais constatant que plusieurs voitures s’approchaient.
Je vis de nombreux appels de phares du camion, avant que nous soyons loin devant.
J’ai renouvelé ce petit jeu pratiquement à chacun de nos voyages Paris/La Baule. Avec la CB, les routiers se déchaînaient, et cela devenait gênant. Beaucoup nous faisaient des appels de phares alors que nous les avions doublés normalement . Des automobilistes, se doutant de ce qui se passait, ralentissaient pour nous suivre, espérant apercevoir quelque chose, mais je ne voulais l’exhiber qu’aux routiers. Je considérais que leur « impuissance » en faisait des voyeurs privilégiés, nous permettant de mettre fin à ce jeu quand nous le souhaitions. Ce n’était pas le cas avec les automobilistes, qui pouvaient nous suivre.
Serge a donc décidé, devant le comportement qu’il jugeait idiot des routiers, de réserver ces exhibitions aux routiers étrangers, et particulièrement portugais, espagnols ou italiens. Sur cette autoroute, il y en avait peu, mais il pensait éviter ainsi les messages d’alerte transmis par la CB.
Un jour, nous avons eu droit aux appels de phares d’un camion portugais, après que nous l’ayons doublé assez lentement, gênés par une voiture.
Je m'étais arrêté une dizaine de kilomètres plus loin, pour aller aux toilettes, ce qui a permis au camion de combler son retard, et d’arriver en même temps que nous au péage d’Angers. Le conducteur nous avait vu dans son rétro, il avait baissé sa vitre. Je roulais à la même vitesse que le camion, pendant les derniers quatre cents mètres précédant le péage. Le jeune routier (il m’a paru assez beau), avait le buste complètement sorti de la portière, et il souriait en levant le pouce en l’air. Il la voyait complètement offerte, dans sa position favorite. Un autre homme était à côté de lui et essayait de voir le spectacle.
Ce fut une véritable débauche d’appels de phare, dès que le camion redémarra derrière nous. Il avait mis son clignotant pour nous demander de nous arrêter, mais nous avons continué notre route.
Pour cette fois je ne souhaitais pas aller plus loin. Mais je regrette de ne pas avoir répondu à la sollicitation, car Anne était tellement excitée qu’elle aurait sans doute accepter de monter dans le camion.
@alexmart77 « Anne femme sage devenue accro... » ou comment une épouse sage et réservée est devenue une gourmande de sexe