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Il existe de multiples façons de pratiquer le candaulisme, elles sont extrêmement diverses et variées, et chacun est libre d'explorer son candaulisme comme il le souhaite selon ce qui lui convient le mieux.

Le candaulisme peut s'exprimer de différentes manières, allant des pratiques les plus élémentaires aux expériences les plus élaborées. Chaque couple ou individu peut développer sa propre approche en matière de candaulisme, en fonction de ses propres fantasmes et désirs. Les possibilités sont infinies et il n'y a pas de limites autres que celles que l'on s'impose soi-même ou avec son/sa partenaire.

Vous êtes invités à échanger sur ces différentes pratiques candaulistes dans cette section du forum, qu'il s'agisse de celles que vous avez déjà expérimentées ou que vous aimeriez simplement explorer. N'hésitez pas à partager vos récits, vos questions, vos conseils ou vos réflexions sur ce que vous appréciez ou non dans le cadre de vos expériences candaulistes. Le candaulisme se décline sous de multiples facettes, à chacun de trouver ce qui lui correspond le mieux.

Profitez de cette zone d'échange pour discuter des pratiques candaulistes, des plus simples aux plus poussées, de ce qui est envisageable ou non envisageable selon vos propres critères. Le candaulisme est une pratique subjective que chacun peut modeler à sa guise.
#1877472
Bonjour
Pour vous le récit authentique d'un cocufiage et d'une chasteté au quotidien pour notre plus grand plaisir
Peut être cela donnera t il l'envie de franchir le pas à vous épouses....sourire et de vivre de nouvelles émotions partagées
Amicalement

Préambule[


Fragments
Journal d’un mari chaste, cocu et comblé
-Récit authentique-[/size]

Volume 1


Ce récit est la relation exacte et sans fioritures d’une tranche de vie. Il s’insère dans un parcours amoureux, sensuel et sexuel.
Bien des choses eurent lieu auparavant au sein de ce couple, et par ailleurs ce qui fut le catalyseur de cette nouvelle étape et l’amorce d’un mode relationnel différent entre Lise et son mari, la mise en chasteté de l’époux, se poursuit toujours à cet instant.
Depuis, d’autres émotions se produisirent, d’autres plaisirs naquirent, d’autres amants firent leur apparition, d’autres épreuves furent rencontrées et surmontées.
Ce journal, est un fragment d’une vie, d’un amour, et en relater le quotidien, ne pouvait l’être que sur un temps fini pour laisser à chacun peu ou prou le plaisir de s’y identifier un instant, et de peut-être mesurer à la fois le plaisir et les écueils de vivre ses fantasmes.
Pour les couples, c’est certainement un journal à lire à quatre mains afin de s’en approprier chacun à sa manière les bonheurs et les troubles, et de ne plus définir de limites précises au plaisir.
Noté au jour le jour, ce ne fut plus le cas ensuite.
Ce qui se déroula les temps suivant sera narré, mais sous forme de nouvelles, car la répétitivité lasse et les jours n’apportent pas tous le même lot d’émotions. Mais l’imagination vient à leur secours.


Lundi 3 Mars 2014

Je déposai ce jour-là sur l'oreiller de ma chérie une lettre d'amour lui demandant de mettre sous cage de façons stricte et prolongée et en même temps de renouer et d'intensifier sa relation avec son amant Damien, et par ailleurs de rencontrer de nouveaux partenaires pour que sa vie de jolie bourgeoise oisive ne soit qu'une succession de moments de plaisirs.
Elle se partit se coucher et c'est dans l'obscurité de notre chambre que je la rejoins dans notre lit
Elle se tourne vers moi et me murmure:
- Tu as acheté une cage mon amour ? ....
- Oui, elle est dans tiroir à "jouets" ma chérie...
- Tu es sûr que c'est ce que tu veux ? ... Tout ?... Tu as bien réfléchi..?
- Oui mon amour… Tout… Autant que tu voudras si tu acceptes…
Elle tendit la main vers mon sexe.
- Tu as envie que je la caresse et que je la fasse jouir cette petite queue si douce… et si molle…
- Oui mon amour, très envie. Tu vas accepter ?
- Oui je vais accepter et profites bien de cet instant car je crois que ce sera un des derniers avant longtemps, mon amour !
Lise me caressa et me fit jouir. J'eus une érection médiocre malgré mon excitation. Pendant qu'elle me branlait, elle avait pris son Magic Wand et se caressa jusqu'à une jouissance superbe, sonore, un cri d'extase presque animal.
Était-ce en pensant à ses futurs plaisirs? À ses futures jouissances avec son amant? Au pouvoir qu'elle allait détenir sur moi ?
Elle s'endormit contre moi sans plus un mot, épuisée de plaisir solitaire.


Samedi 22 Mars

Lise n'avait plus dit un mot à ce sujet depuis cette soirée. Elle était gaie pimpante. Elle m'avait dit à plusieurs reprise de me caresser près d'elle et s'était pour sa part faite jouir presque tous les jours avec son « vibrant » amant de substitution. Un jour même à deux reprises matin et soir.
Nous allions partir faire quelques courses, quand au sortir de mon bureau Lise vint vers moi, me posa un baiser sur la bouche et me dit avec douceur
- J'ai trouvé la cage dans le tiroir mon amour. Elle est très belle. Ce sera pour cet après midi...
Elle s'enroula dans son manteau de fourrure et sans aller plus loin sur le sujet, nous partîmes. J'étais troublé mais elle se comportait très naturellement comme si elle ne pensait plus à ce qu'elle venait de m'annoncer.
Etait ce pour jouer ? Pour me faire languir ? Quoiqu'il en était, elle semblait avoir une fringale d'emplettes vestimentaires plus féminines les une que les autres, en particulier dans les boutique de lingerie et de chaussures.
De retour chez nous, elle ne parlait toujours pas de son annonce, mais essayait ses nouvelles tenues dans la chambre et venait me les montrer au salon. Puis l'un des essayages me sembla plus long Elle ne revenait pas.
J'entendis sa voix depuis notre chambre.
-Viens chéri !
Je m'exécutai et la découvrit superbe dans une des guêpières qu'elle venait d'acheter, parée de bas noirs et de talons aiguilles, assise sur le lit, lui-même couvert d'une serviette.
Près d'elle la cage et un flacon de gel lubrifiant.
- Déshabille toi mon amour ! C'est l'heure de passer du fantasme à la réalité...
Elle se leva et s'approcha de moi comme une chatte.
- Je te plais ?
- Tu es superbe...
Elle sourit étrangement.
- Merci chéri... Mais ça ne va plus être pour toi maintenant... C'est ce que tu voulais ? Désirer et être frustré..?
- Oui chérie... Mais je peux encore te faire l'amour encore une fois ?
-Ttttt !! Mais non !! Tu as eu le temps tout ce mois-ci, il fallait en profiter... Maintenant c'est l'heure.
Elle prit mon sexe et mes bourses dans ses mains si douces
- Et puis qu'est ce que tu veux me faire avec ça !!! Tu es sûrement excité mon amour, mais il faudrait bander mieux que ça pour me baiser sur le champ. Pas te branler heure avant que je te sente dur en moi ! Allez de toute façon je n'en ai pas envie et c'est l'heure de passer aux choses sérieuses...
J'ai lu sur la toile que ce serait plus facile pour toi d'enfiler L’anneau avec du gel. Maintenant débrouille toi et viens me retrouver au salon quand tu seras prêt. Mets le cadenas et c'est moi qui le fermerai...

Je ne savais plus vraiment où j'en étais. Lise quitta la chambre en enfilant un peignoir de soie noire.
Malgré et à cause du gel j'eus du mal à faire passer les bourses l'une après l'autre dans l'anneau d'acier. Elles glissaient entre mes doigts. Enfin j'introduisis ma verge dans la prison à barreaux et glissai la barre du cadenas dans l'orifice. Je me sentais à l'aise dans cette cage et troublé comme jamais. Mais c'était ce que j'avais voulu ...
Je rejoignis Lise ainsi nu, sexe en cage au salon. Je m'approchai d'elle allongée dans le canapé toujours aussi désirable qui feuilletait négligemment un magazine.
- Ça te va très bien chéri... Viens là !
Elle tendit les mains et j'entendis le "clic" tant désiré et redouté.
- Voilà mon amour... on commence maintenant ! Heureux?
- Oui chérie … Je peux te caresser un peu ? J'ai terriblement envie de toi tu sais.
Ses seins saillaient superbement de sa guêpière
- Ttttt, ça mon chéri il fallait y penser avant ... Et puis maintenant qu'est ce que tu veux que je fasse avec toi ??? Ta petite queue était déjà toute molle mais maintenant ce ne sont plus que des barreaux de métal qui la tiennent en prison. C'est bien pour toi, c'est bien pour moi, mais ça n'est plus du tout en mesure de m'offrir le plaisir dont j'ai envie... Allez rhabille toi moi je vais dans la chambre me caresser et me faire jouir... Toi ce n'est plus dans tes possibilités, mon amour alors regardes la télévision !
Puis elle pose un baiser sur mes lèvres et j'entendis la porte de la chambre se fermer
Lise ne reparut que deux heures plus tard après une jouissance que je ne pus m'empêcher d'aller écouter derrière la porte, puis une sieste qu'elle s'octroya sans aucune culpabilité de me laisser seul et maintenant encagé...
Au soir je la rejoignis au lit où elle lisait dans une ravissante nouvelle nuisette en dentelle
J'ôtais mon peignoir pour me glisser nu auprès d'elle. Je ressentais une certaine fierté d'exhiber ma cage devant elle. Elle y jeta un coup d'oeil presque détaché.
- Ça va ? Elle ne te fait pas mal ? Tu la supportes bien ?
- Ça ne serre pas trop non, mais l'anneau me brûle un peu à la base des bourses..
- Viens je t'ai préparé une pommade apaisante. J'avais lu que c'était fréquent au début et surtout la nuit. C'est vrai que si ta queue est maintenant plutôt petite, tes couilles ont toujours été grosses ...
J'étais troublé à la fois par le détachement que Lise affichait et son ironie. Elle me massa les bourses autour de l'anneau et voir seulement sa main aux ongles vermillon posée sur ma cage me procurait une bouffée de plaisir et de frustration encore inconnus.
- Tu as joui ma chérie cet après midi ?
- Mais bien sûr mon amour ... pourquoi je m'en priverais ? Tu devais certainement être derrière la porte à écouter non ?
- Mais cette fois j'étais sûre que tu ne pouvais plus te branler et si tu veux savoir si ça m'excitait encore plus, eh bien oui... Et je ne vais plus me priver de ce plaisir nouveau que tu as bien fait de me conseiller... Tu aurais du y penser avant, cela t'aurais évité de perdre toutes ces heures et toute cette énergie à te masturber sur tes sites porno. Et finir par ne même plus bander correctement pour moi, tant tu épuisais cette petite queue à te branler... Mais les choses vont changer mon amour… Tu verras... Allez maintenant il faut dormir.
Je tendis ma main vers elle pour caresser son corps.
- Tttttt !!! Qu'est ce que tu fais ???? Tu as demandé la permission ? Tu as voulu que tout çela ne soit plus à toi et c'est maintenant le cas. C'est moi qui décides quand et si j'ai envie que tu me touches. C'est moi qui choisi les hommes dont j'ai envie de sentir les mains sur moi et la queue dans ma chatte.
- Et tu n'as pas envie des miennes ni de ma queue ?
- Ta queue, mon amour ??? Cette petite chose en cage ??? Tu veux rire ... Ce n'est vraiment pas ça dont je rêve et qui risque de me faire grimper aux rideaux.
- Et calme toi ! Arrête de frotter ta cage contre les draps, ça ne sert à rien. Plus à rien. Mais si tu veux pour fêter ta mise en cage viens lécher ma petite chatte mais rien d'autre, compris !!!
Je m'aperçus que cette situation et ses mots si directs et si spontanés m'avaient fait bander comme je n'y étais pas parvenu depuis longtemps. Mon sexe emplissait totalement ma cage et venait buter contre les barreaux. Je me mis a genoux près d'elle pour qu'elle s'en aperçoive. Elle y jeta un regard.
- Mais c'est bien mon amour... Tu sais que cette petite queue recommence à parvenir à une attitude correcte... Il va falloir que ça continue pour que j'en aie envie lorsque je la libérerai. Enfin ce n'est pas le sujet maintenant ! Allez viens me détendre un peu avant que je dorme..
J'étais à la fois troublé par son attitude si franche et si spontanée, et ravi qu'elle ait pleinement pris à son compte cette nouvelle situation pour nous deux...
Je me glissai ente ses cuisses et commençai à lécher cette petite chatte si lisse et si douce. Lise lisait toujours. Sans réagir à mes caresses pourtant appliquées.
Je levais la tête une instant pour reprendre mon souffle..
- Elle te fait du bien ma langue ma chérie ?
- Oui, oui..
- Tu veux que je continue ?
- Si tu veux... C'est à toi que ça fait plaisir.
- Tu préférerais une queue à la place de ma langue ?
- Oh oui mon amour, ça bien sûr...
- Tu aurais envie de me sentir en toi ?
Lise posa son magazine.
- Ecoute mon chéri, il va falloir arrêter avec ça ! Ta queue, elle est maintenant sous cage et pas prête d'en sortir. Alors oui, j'ai envie d'une queue dans ma chatte, une queue qui me baise, qui m'encule, qui me défonce, et si elle était là je serais à quatre pattes en train de gémir et de la supplier de continuer et de jouir en moi. Je la sucerais, la branlerais en attendant qu'elle me possède à nouveau !!! Mais cette queue ce n'est sûrement pas la tienne mon amour. ! C'est ça que tu voulais entendre non ??? Alors maintenant remets toi à côté de moi et dors !....
Je m'exécutais et tendis la main vers ses seins. D'une main ferme Lise m'écarta.
- Je t'ai demandé de me toucher mon chéri ...?
- Non...
- Alors tu ne touches pas quand je ne demande pas. Je t'aime, mais dors ! Tu es trop excité ! Fais de beaux rêves...
Lise se tourna et je la rejoignis bientôt au pays de Morphée.


Dimanche 23 Mars

J'avais craint les érections nocturnes intempestives qui font souffrir en gonflant les bourses comme je l'avais lu, mais rien de tel ne se produisit, et au matin en me réveillant je dus toucher mon sexe pour vérifier qu'il était bien sous cage car je ne sentais rien. Mais je n'avais pas rêvé et Lise resta endormie tandis que je quittai la chambre.
C’était dimanche, et je descendis lui chercher des croissants. Lorsque j’entrai dans la chambre portant le plateau du petit-déjeuner, Lise s’étirait dans les draps, plus désirable que jamais, peut-être aussi encore plus du fait que j’étais sous cage…
J’étais debout près d’elle
- Tu vas bien mon chéri ?... Tu as bien dormi ? Tu la supportes bien … ? Pas trop serré ? me dit-elle en tendant la main vers la bosse de mon pantalon
- Oui ca va ma chérie je la sens à peine…
Lise afficha un petit sourire ironique
- Cette jolie petite queue ou ta cage ????
- Les deux mon amour…
Je m’installais près d’elle sans qu’elle ne me demande de me déshabiller, à parler de tout et de rien…
- On n’a rien spécial à faire aujourd’hui, chéri ?
- Non rien…
- Alors j’ai envie de me prélasser au lit … Ça ne t’ennuies pas ?
Et elle me posa un baiser sur les lèvres
- Tu veux que je restes avec toi ma chérie ?
- Non, pas vraiment… Et qu’est ce que tu veux que nous fassions tous les deux au lit ….? Et elle toucha à nouveau la bosse que faisait la cage sous mon pantalon en souriant
- Elle n’est plus en activité maintenant tu le sais bien …
- On pourrait se caresser ? ….Tu aimes bien non ? …
- Oui, j’aime bien c’est vrai, mais j’en ai pas envie maintenant…Tu voulais que je sois sincère mon amour alors je le suis … J’ai envie de me caresser c’est vrai et de me faire jouir mais seule…
- Tu veux que je te laisse ?
- Reste si tu veux mon chéri, mais installes toi sur un fauteuil dans la pénombre que je ne te vois pas, et surtout ne parles pas… Mais ce sera peut être encore plus dur pour toi de me voir jouir alors que toi tu ne peux plus, et même plus te caresser… Tu vas être excité en vain et pour rien
Je ne savais pas exactement quoi faire. J’avais envie de la voir jouir et en même temps je me disais qu’elle avait raison et que j’allais m’infliger une torture que je n’étais peut être pas prêt à assumer. Elle avait déjà fait l’amour avec d’autres sans moi, s’était déjà faite jouir près de moi, seule, mais là je n’allais ne même pas pouvoir me procurer de plaisir physique en me caressant en la regardant ou en pensant à elle.
Lise trancha pour moi. Elle avait pris son Wand posé au pied du lit, commencé à le faire murmurer, ses jambes largement écartées sous le drap.
- On sortira tout à l’heure si il fait beau, mais maintenant j’ai envie d’être seule, chéri. Je t’aime … Fermes la porte et ne reste pas derrière la porte, tu sais bien que maintenant ça ne sert à rien. Allez vas y sors …À tout à l’heure.
Il était un peu plus de 11h et je ne la revis que vers 15h et nous partîmes voir une exposition de Mapplethorpe au Grand Palais sans qu’elle ne me parle plus de rien, en particulier pas de la cage qu’elle semblait avoir oubliée …

Au soir dans le lit, elle eut quelques gestes tendres envers moi et me caressa les bourses autant qu’elle joua avec, en les griffant doucement avec ses ongles.
Elle repoussa sans faiblesse les quelques gestes que je tentai pour la toucher avec ces petits « Ttttt tu sais bien que tu n’y a pas droit mon amour sauf quand j’en aurais envie et là, non » qui étaient si spontanés. Puis elle me tourna le dos.
Je me rendais compte à quel point la cage en même temps que la frustration qu’elle me provoquait, générait en moi une excitation nouvelle et extrêmement intense. Je ne pus m’empêcher de me frotter contre le drap comme un chien pour m’offrir une sensation de maigre sensation physique. Après quelques minutes j’entendis sa voix douce :
- Arrête chéri ça ne sert à rien …calmes toi ! Il faut t’habituer…
Je ne pus cependant m’empêcher de me coller à elle et frotter ma cage contre ses fesses
- Tu arrêtes cette fois. !!! Allez tournes toi ! Et si tu continues dès demain je t’envoie coucher dans la chambre d’amis !
Je ne comprenais pas pourquoi, mais cette menace me troublait délicieusement tant Lise venait de la proférer si spontanément avec de tels accents de sincérité et me fit bander encore plus dans ma cage.
Je ne portais pas la cage pour moi mais pour elle et mon sexe ne lui manquait aucunement. Il la dérangeait même à cet instant comme celui d’un étranger qui l’importunait.
..../.....

Si cela vous plait, la suite existe
amicalement
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#1877508
Bravo excellent moi j'adore et en ce ment ma femme ma du a ma Maitresse trouve pleins d'amants et parfois aussi elle mêler en cageais le accepte encore que je la pénètre encore combien de temps ???
Mais pour l'instant j'ai quand même le droit d'avoir des sms de ses amants avec des photos de leurs rencontres je suis devenu un bon cocu solos lopette grâce a ma divine Maitresse !
#1877953
Bonjour à tous
Un extrait de la suite du "Journal d'un mari cocu chaste et comblé"
Si cela vous plait ...
Amicalement


...Lise me raconta qu'il lui avait dit que la porte de son
appartement serait ouverte et il l'attendait entièrement nu en se
masturbant dans un canapé et en regardant un film porno.
Debout devant lui elle avait ôté son imper, sa jupe et son
corsage puis il l'avait conduite dans sa chambre et avait aussitôt
commencé à se faire sucer puis la caresser et la prendre
longuement.
Il la pénétrait très virilement de sa queue toujours aussi
grosse et épaisse comme me le dit avec gourmandise Lise, puis au
bout d'un long moment, il avait jouit librement en elle et me
confia que ce fut délicieux, tant elle avait envie de sentir un vrai
sexe en elle. Elle n'avait pas joui, mais cette brève étreinte virile
l'avait ravie et comblée et en effet ils étaient convenus de se revoir
très vite.
C'était très différent de ce qu'elle avait ressenti avec Rupert
mais elle reconnaissait prendre goût à la diversité des sensations
que lui procuraient ces hommes et qu'elle en avait de plus en plus
envie.
D'être un objet de désir qui l'assumait pleinement et de
n'appartenir à aucun, même si elle s'attachait aux uns et uns autres
de façon différente. Et en me confiant tout cela, elle me disait que
ces nouvelles émotions ne la faisaient que m'aimer encore plus,
plus en tant qu'amant, mais comme son tendre mari complice et
délicieusement cocu.
- Tu es heureux mon amour ? C'est ce dont tu avais envie ?
- Tu me combles ma chérie...
- Alors remercie moi de t'avoir mis sous cage et demande
moi de t'y laisser longtemps...
- C'est ce qui est prévu ... Non ?
- Bien sûr mon amour, et plus que jamais, mais je
n'imaginais pas à quel point cela allait pouvoir libérer mes pulsions
sans aucune culpabilité et je n'ai aucune envie d'arrêter...
- Je t'aime ma chérie, gardes moi très longtemps sous cage,
Autant que tu voudras. À vie si tu veux, c'est si bon de te voir si
épanouie et rayonnante. Je veux que cela dure toujours.
- Même sans plus jamais jouir mon amour ? Juste te repaître
de mes jouissances. Pourquoi pas...? On verra bien... Profite
comme moi de l'instant présent.

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