- 20 sept. 2015, 21:38
#1822173
Bonsoir Messieurs,
Quelques temps ont passé depuis la derniere fois que je vous ai ecrit. Ce temps a été mis à profit pour le bon plaisir de monsieur (et de Madame aussi, je vous l'accorde), sans vous oublier bien sûr.
Petit retour en arriere, les photos postées par mon mari presentant mes fesses ecartées en gros plan etaient prises par mon collegue qui m'avait preparé une surprise.
En voici donc le detail : il me proposa de le rejoindre à une adresse donnée, ce que je fis sans discuter. Il s'est avéré que ce fut un parc doté d'un lac autour duquel les personnes pouvaient deambuler en toute tranquilité, avec ou sans vetements. Je le rejoins donc, puis nous entamions notre ballade érothique. Erothique parce que j'etais vetue de talons tres hauts, d'une jupe de satin, de bas coutures, sans sous-vetements naturellement. Nous croisames multiples personnes sur notre chemin, femmes comme hommes, habillees ou non. Arrive le moment où monsieur choisit le lieu propice à ses desseins : un banc en bois positionné au bord de l'eau, a la vue de tous, dégagée de toute possibilité d'être cachée.
Il me demanda de m'installer sur le banc, fesses face à l'eau, jupe relevée (d'où la photo) et de maintenir mon cul à la vue. Cette position seule m'a completement excitee ! J'en etais deja bien mouillee, la mise en scene fonctionne très bien. Afin de lui garantir mon integrité, et pour eviter que je ne me révolte, ou pire, ne prenne peur ou ai envie de fuir, il me proposa de passer sur mes yeux un loup. Commencerent ainsi les hostilités viriles : fessés très prononcees laissant des marques tres rouges, doigtage profond m'excitant tres rapidement, puis mise en place d'un plug anal sans menagement. Ce passage m'indiqua qu'il n'avait aucune envie d'etre tendre avec moi, mais qu'il le faisait pour le spectacle offert à toute personne se trouvant autour du lac. Il s'approcha de ma bouche et me proposa son sexe en offrande. Accalmie avant la tempete ! Que dis-je ? Avant le tsunami ! Oui, il s'empressa de me penetrer avec une fougue terrifiante au point où je ne pouvais me retenir de hurler à qui mieumieu..
ça sent la défonce 
