- 29 juin 2014, 21:48
#1614169
Bonsoir, pour ma part je peux te dire que après plusieurs mois de rencontres protégées et avoir satisfait tous les deux à des tests, la première fois que mon amant m'a prise sans capote, j'ai joui plus fort, plus intensément.
D'abord il n'y a pas eu la <<pause>> obligatoire, même si elle peut-être très courte, pour l'enfilage de la capote. Après les préliminaires il s'est couché tout simplement sur moi pour m'embrasser à pleine bouche pendant qu'avec son bassin il <<louvoyait>> entre mes cuisses et que je sentais son gland chercher l'entrée de mon vagin. Quand les plis de mes lèvres se sont ouverts sous sa poussée, ça a été tout à la fois comme une extase et une brûlure. J'étais pénétrée par sa langue dans ma bouche comme un baillon et dans ma chatte par son sexe et ce coup-ci peau contre peau sur toutes les parties de nos corps e contact l'un de l'autre.
De savoir, sentir cela, quelque part dans ma tête m'a procuré des sensations plus fortes et plus de désir, plus d'envie, plus de plaisir à recevoir mon amant.
et que dire lorsque après de longues minutes de plaisir et de jouissance qu'il me procurait, il a murmuré das le creux de mon oreille, "je vais venir ...". En l'attirant pour qu'il se couche entièrement sur mois je lui ai soufflé entre deux soupirs, "oui, viens, viens maintenant"
Son corps a pesé de tout son poids sur mon ventre, mes seins, sa tête dans mon cou, son souffle tiède et court, ponctué de "grognement" ou "gémissements" ponctuaient la première giclée de son sperme au plus profond de mon intimité. Puis la deuxième, la troisième et la quatrième, ont suivie immédiatement la première ; à chaque fois avec des tressaillement, des spasmes de ses reins, de ses fesses coincées entre mes cuisses.
C'est vrai que l'on peut dire, comme Johnny le chantait, que le corps de l'amant se fait lourd comme un cheval mort, sitôt la dernière goutte de sa semence offerte à sa maitresse.
Je lui flattais la nuque de mes mains et lui "bisoutais" doucement le front, les yeux, pour marquer ma satisfaction, pendant que je le sentais se retirait naturellement de moi, sa turgescence commençant à diminuer mais sans débander complètement.
Se retrait naturel a entrainé hors de mon vagin, un flot de liquide épais, tiède et sirupeux de cyprine et de sperme mélangés. Puis il est retombé sur mon coté sa tête reposant sur mon épaule, mon sein qu'il ne pouvait lâcher, masqué par sa main.
Ce "sirop" a aussitôt laqué mes poils pubiens, empoissé mon entrecuisse et filer le long de mes fesses pour aller souiller le drap d'une large auréole fleurant bon le sexe et l'amour.
Alors oui faire l'amour "au naturel" avec son amant procure de bien meilleures sensations, au lieu de voir se perdre tant de bon <<jus>> dans un petit sac en latex.
J'ai appelé mon mari, gentil candau qui attendait au salon pour qu'il profite de ces instants et de cette vision, mon amant lové sur moi, sa tête toujours sur mon épaule, lové contre mon corps, une jambe passée par dessus la mienne, son sexe touchait ma cuisse, finissant de débander avait traçait un filament brillant sur ma peau.
A voir son son sourire et ses yeux pleins d'Amour (avec u grand A), brillants de plaisirs et de fierté (on peut le dire) et le long baiser, profond, langoureux, amoureux dont il m'a gratifié, sans parler de la façon dont il m'a fait l'Amour la nuit suivante, on ne peut douter de la profondeur des sensations qu'il a lui aussi ressentie.
Ensuite il a pris l'appareil photo pour vous offrir cette vue.