- 22 févr. 2016, 13:25
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Afin de fêter notre anniversaire, j'ai décidé d'offrir à Cyllène et à son cocu de vivre un de leurs fantasmes à savoir une soirée plurielle. N'appréciant pas particulièrement cela je suis resté en retrait, filmant le tout pour que le cocu puisse voir son épouse offerte aux assauts de plusieurs mâles...
Rencontre du 07 & 08/02/2016 entre Cyllène et son Maître
Deuxième chapitre: le gang bang de Cyllène
Avant de partir en WE, j'avais eu les consignes suivantes de la part de mon Maître : « prendre une tenue de salope sexy, jupe noire, bas, petits talons, culotte en dentelle transparente, rehausse-mamelles, top noir transparent ». 18h30 : mon Maître m'annonce que nous allons sortir, que je dois mettre la tenue qu'il m'a demandée d'amener. Il me montre ensuite un site internet où je vois une photo de moi avec pour titre : « le gang bang de Cyllène ». Mon Maître m'explique alors qu'il a organisé avec la complicité de mon cocu une rencontre avec 5 hommes. Ce que je ressens lorsque mon Maître me l'annonce : de l'excitation, du plaisir, de la crainte, de l'angoisse… Ce soir, je vais vivre un de mes fantasmes préférés, celui qui revient régulièrement lorsque je me caresse et cela me fait peur. Voyant l'angoisse monter en moi, mon Maître m'informe du contenu de la soirée : j’aurais le collier et la laisse, le rosebud et les yeux bandés du début à la fin. Je n'aurais pas le plaisir d'embrasser ou de voir les participants. Ce sont les consignes. Exactement mon fantasme. Alors que je me prépare, mon Maître me rappelle que nous avons un « Safeword » et que je peux en faire usage si cela me semble utile. Encore une fois, mon Maître a su trouver les mots pour me rassurer, je ne l'ai jamais utilisé, je ne pense pas en avoir besoin, mais ce rappel me permet d'envisager la suite plus sereinement. Nous partons : métro, repas et balade à pied pour rejoindre le lieu de rendez-vous. Les heures avancent, mon angoisse aussi. Elle n'est ni contrôlable, ni justifiée. Je rêve de vivre cela depuis des années et ne comprends pas pourquoi cela m'inquiète ainsi.
Nous arrivons, entrons dans le hall. Mon Maître me met le bandeau et frappe à la porte. J'ai besoin de quelques minutes pour me préparer. J'entends discuter, j'entends de la musique douce, je tremble, je suis inquiète, vais-je être à la hauteur ? Je crois qu'en fait ce qui m'inquiète le plus, c'est de ne pas être capable de satisfaire tous ces hommes et de ce fait de décevoir et mon Maître et mon cocu. Mais mon Maître ne me laisse pas le temps de réfléchir plus, il attrape la laisse et m'emmène en me proposant de prendre appui sur ses épaules afin de ne pas trébucher. Il s'arrête et me présente : « voici Cyllène ma soumise ». Timidement, je dis bonjour et j'entends plusieurs voix me répondre. Mon maître poursuit : « avec son cocu nous lui avons organisé son gang bang, elle est à vous pour la soirée » Je ne sais pas si j'apprécie ou non le bandeau car il s'associe à la frustration de ne pas voir les partenaires de ce soir, mais il me permet de me concentrer, de me recentrer afin de pouvoir ensuite me lâcher. Enfin je l'espère.
Une voix chuchote à mon oreille, viens, suis-moi. Une main se pose sur ma hanche et me guide vers un fauteuil, me fait asseoir. Je tremble, je suis crispée. La main attrape la mienne et me fait découvrir, son torse, sa cuisse, musclés… une se glisse sous mon top et caresse mes mamelles, une dans ma culotte. J'ai la chatte trempée. De l'autre côté, des lèvres se posent sur ma joue, mon cou, ma main est guidée vers un ventre, une queue... Je crois qu'à ce moment, la douceur, les caresses font sauter tous les verrous que je me suis fabriqués depuis quelques heures.
Je commence à toucher ces corps près de moi. J'essaie de sentir combien ils sont. Entre les voix, les corps, je ne sais dire s'il y a 3, 4 ou 5 personnes. Ma main glisse le long d'une queue que je m'empresse de sucer. Les voix se font plus autoritaires et cela m'excite. J'entends mon Maître commenter, disant que j'aime ça et qu'en général je le fais bien. Ma main glisse sur la seconde queue et je me tourne pour elle aussi la prendre en bouche. On me propose une flûte de champagne. J'en bois un peu et je me lance, je tente une pipe au champagne. Le monsieur réagit, mais n'a pas l'air d'apprécier. J'avale le champagne et poursuis la dégustation de ce vit bien tendu. Des doigts agiles, experts, magiques tournent autour de mon clitoris, s'introduisent dans ma chatte. C'est bon... Je ne sais combien de temps nous sommes restés moi sur ce fauteuil, avançant au fur et à mesure de la pression d'un coude, d'un genou vers le bord, eux autour de moi, changeant de place, échangeant. Je ne sais combien d'hommes sont présents, mais à ce moment, je ne pense plus qu'au plaisir : à celui de mon cocu qui doit normalement vivre ça en direct, à celui de mon Maître qui de sa voix me tient accroché à lui, au mien et à celui de mes partenaires d'un soir.
Une voix chuchote régulièrement à mon oreille, des mots doux ou crus, je ne sais plus. Cela me plaît. Une main me fait mettre debout et me dirige vers un lit. C'est alors sur un rythme endiablé que je me fais prendre, allongée, sur le dos, sur le côté, en caressant une queue, en la suçant... Je sens parfois une main s'abattre sur mon cul, sur mes mamelles, mon Maître dit que j'aime, me demande de dire à mon cocu si ça me plaît, « Oui c'est bon ». Une main me fait mouiller abondamment, c'est bon, que c'est bon ! Et cela se produit à plusieurs reprises, la main magique ! Il y a quelque chose de terriblement frustrant et plaisant dans ces « jouissances fontaines ». Je ne contrôle rien, je subis ce délice, mais cela me trouble de ne pouvoir être maîtresse de mes sens, de mon corps. Puis je suis prise en levrette, quelque chose est passé autour de ma taille, une ceinture ou un lien et permet de donner le rythme. Je suis à quatre pattes, mes mains sont enserrées dans ma laisse, une queue s’introduit dans ma bouche une autre me prend à un rythme effréné. Je laisse venir et prends sans retenue tout ce qui m'est offert. Je suis excitée et me branle régulièrement le clito. Alors que je me retrouve sur le dos une queue d'une belle taille va et vient en moi, me fait sombrer, couiner. Je capte alors, dans une semi-conscience cette phrase « oui, elle va l'avoir sa double vaginale, elle est là pour ça ». Que c'est troublant !
Un des deux hommes s'allonge, je m'empale sur sa tige dressée et je sens la queue d'un second venir prendre place dans ma chatte qui se fait très accueillante. Acrobaties réjouissantes et surprenantes, sensations étonnantes, je n'ose bouger, et apprécie ces deux vits coulissants à un rythme lent et profond. De nouveau me voilà allongée et j'entends une des voix, celle qui est suave, chaude et chuchotante me dire : « demande à ton Maître où nous pouvons jouir ? »
« Maître où ces messieurs peuvent-ils jouir ? »
« Sur ton corps »
« Moi je prends la poitrine »
Je sens la semence, chaude et visqueuse si longuement retenue se répandre abondamment sur mes mamelles. Mon Maître vient à côté de moi, me caresse la croupe et me demande si je vais bien. « Oh oui, je vais bien, très bien ».
Après avoir fait un brin de toilette, nous nous retrouvons autour d'une coupe de champagne. J'ai toujours le bandeau sur les yeux bien sûr. J'apprends qu'il n'y a eu que deux participants « actifs » avec de temps à autre mon Maître et un participant « passif ». C'est lui, notre organisateur que j'entendais commenter, relancer, questionner. Là je me suis dit, si les 5 hommes avaient été présents, actifs et aussi en forme que mes deux partenaires de ce soir, aurais-je tenue la distance. Mais cette fois, je ne le saurais pas !
Merci à mon Maître et mon cocu de m'avoir organisé cette soirée qui va maintenant alimenter mon fantasme préféré.
Merci à Bertrand, qui a su mettre en place une ambiance douce et accueillante. Champagne, musique et voix feutrées. Rien à dire, c'est un bon organisateur.
Merci à Stan et Marco (je pense avoir bien entendu les prénoms durant la soirée) d'avoir senti mon appréhension et d'avoir pris le temps de me faire découvrir leurs corps musclés et virils avant d'aller à la découverte du mien
Maître Le Pervertisseur
ps: nous n'avons pas eu l'autorisation de diffuser ici les photos prises lors de cette rencontre. Elles resteront donc privées...
Cyllène (S827) et Maître Le Pervertisseur