Vous verrez que le scénario ne s'est pas exactement déroulé comme envisagé, mais je n'en dis pas plus...
Nous voici donc "introduits" dans ce bureau du 4e étage d'un immeuble parisien aux couleurs de cette fameuse banque. Elle entre, sans aucune espèce d'hésitation, prête à assumer son rôle et à jouer de sa féminité pour séduire son futur boss.
Lui, sûr de son fait, l'allure typique du directeur de banque cinquantenaire habitué à se faire respecter de son équipe, ne rate pas une miette de la démarche élégante de mon épouse, et lui propose un siège avant de s'installer en face pour débuter l'entretien.
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Son autorité se heurte néanmoins à un certain détachement amusé de la belle, qui, bien que faisant de son mieux pour se plier au scénario, n'en éprouve pas moins un léger amusement. il la complimente sur sa tenue et le galbe de ses jambes, elle se positionne pour lui faire apprécier au mieux le paysage de ses formes spécialement parées pour l'occasion. Il insiste pour connaître la réalité qui se cache sous sa jupe. Elle décroise alors les jambes, remonte l'étoffe et dévoile en partie l'absence de dessous qu'il espérait sans doute, argumentant qu'elle était bien décidée à obtenir le poste dans des conditions favorables, quoiqu'il en coûte... L'oeil de notre hôte pétille, appréciateur, il renchérit en distribuant un satisfecit à ce sujet, mais se montre inflexible sur les compétences nécessaires à une heureuse conclusion, compétences qu'il entend bien mettre à l'épreuve.
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Le regardant droit dans les yeux, et se prenant au jeu, elle lui rétorque qu'elle sera probablement la débutante la mieux payée qu'il aura jamais embauchée. Puis me gratifie d'un sourire au-delà du gourmand...
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