- 05 févr. 2012, 23:46
#986643
Sa relation avec son amant dure depuis plus de deux ans, avec des rapports quasi quotidiens sans préservatifs. Je lui ai dit qu'au point ou on en était, elle devrait le recevoir chez nous. J'espérais les voir baiser.
Elle l'a invité vendredi soir soir mais j'ai été un peu déçu au début. Ils n'ont pas voulu que je les regarde. Ils ont voulu baiser comme à leur habitude mais avec le confort, pour elle, de n'avoir pas à se déplacer ensuite.
Alors, il est arrivé. Très courtois. Il sait que j'accepte. Je sais qui il est. Nous avons mangé ensemble, discutant de sujet généraux. Au dessert, elle s'est mise à l'aise ; c'est a dire nue. Elle a annoncé le programme : ils vont aller dans notre chambre pour y faire l'amour. Ensuite il partira et je la rejoindrai au lit, sauf si ça dure trop longtemps et que je choisisse d'aller dormir dans la chambre d'amis.
Ils se sont levés, elle l'a embrassé. Même si je sais être cocu depuis très longtemps, ça fait quelque chose de voir ma femme, nue, se pendre au cou d'un autre homme et l'embrasser langoureusement.
Ils sont allés dans notre chambre. Je suis resté devant la télé. J'ai souffert le martyre. c’est une chose d’être cocu, de savoir sa femme chez son amant. C'en est une autre de la savoir, à quelques mètres, en train de faire l'amour dans le lit conjugal avec un autre. Ils n'ont pas cherché à être discrets, j'entendais nettement leurs ébats.
N'y tenant plus, je me suis approché et ai entrebâillé la porte. Ils ne voulaient pas que le les voie, je ne pouvais donc pas entrer dans la chambre. Depuis l’entrebâillement de la porte, je voyais notre lit mais du coté "des pieds" et pas dans l'axe mais plutôt de trois quarts.
Ils étaient en pleine action. Lui sur elle, Elle les jambes en l'air, tremblante, haletante. Je ne pouvais pas en voir plus mais j'étais sidéré de voir ses fesses à lui, se contracter en cadence, a mesure de sa fougue à pénétrer ma femme. Je l'ai vu, elle, glisser une main entre eux pour lui saisir les couilles. Ils ont joui. Je l'ai vu se cambrer, ses fesses hyper contractées révélaient sa jouissance et le flot de sperme qu'il devait déverser dans le ventre de ma femme. Il s'est effondré sur elle. Elle l'enlaçait de ses bras, lui caressait les fesses. Je l'ai entendu murmurer "je ne vais pas rester trop longtemps, ton mari doit avoir envie de toi". Il a basculé sur le coté. J'ai vu, brièvement, sa queue, encore énorme bien que ramollie. J'ai compris, la, pourquoi elle ne peut plus se passer de lui. Il est clair qu'il à de quoi la satisfaire.
J'ai regagné le salon et me suis ré-installé devant la télé comme si je n'en avais jamais bougé.
Je l'ai entendu repartir. Je suis retourné vers la chambre. Elle m'attendait. Elle a choisi de me provoquer un peu : Elle avait repoussé draps et couverture et était restée presque comme pendant l'amour, jambes largement écartées, très impudique, un peu de sperme était visible sur son sexe et le reste avait largement maculé le drap. Sa posture semblait dire "je suis bien, j'ai eu tout ce que je voulais" J'étais surexcité. Je l'ai léchée partout et lui ai fait l'amour comme un fou. Plus elle me balançait des phrase du style "ça ne te dérange pas de passer après lui ?" ou "tu sais que je vais recommencer demain ?", plus je bandais. Je l'ai baisé telle qu'elle était; mes couilles percevaient la fraîcheur des draps humides du sperme de l'amant car je l'ai prise comme elle était, à l'endroit exact ou lui l'avait prise. Quand elle m'a pris les couilles en main elle a dit "toi aussi tu aime ça ?" j'ai joui comme jamais. Après, elle a dit que c'était très bien que son amant puisse venir et qu’elle n'ait pas à changer de lit en cours de nuit.
Il n'est pas revenu le lendemain et nous avons passé le week end en amoureux. J'espère avoir le droit de les voir baiser de près et qu'il prenne l'habitude de la baiser à la maison.
Elle l'a invité vendredi soir soir mais j'ai été un peu déçu au début. Ils n'ont pas voulu que je les regarde. Ils ont voulu baiser comme à leur habitude mais avec le confort, pour elle, de n'avoir pas à se déplacer ensuite.
Alors, il est arrivé. Très courtois. Il sait que j'accepte. Je sais qui il est. Nous avons mangé ensemble, discutant de sujet généraux. Au dessert, elle s'est mise à l'aise ; c'est a dire nue. Elle a annoncé le programme : ils vont aller dans notre chambre pour y faire l'amour. Ensuite il partira et je la rejoindrai au lit, sauf si ça dure trop longtemps et que je choisisse d'aller dormir dans la chambre d'amis.
Ils se sont levés, elle l'a embrassé. Même si je sais être cocu depuis très longtemps, ça fait quelque chose de voir ma femme, nue, se pendre au cou d'un autre homme et l'embrasser langoureusement.
Ils sont allés dans notre chambre. Je suis resté devant la télé. J'ai souffert le martyre. c’est une chose d’être cocu, de savoir sa femme chez son amant. C'en est une autre de la savoir, à quelques mètres, en train de faire l'amour dans le lit conjugal avec un autre. Ils n'ont pas cherché à être discrets, j'entendais nettement leurs ébats.
N'y tenant plus, je me suis approché et ai entrebâillé la porte. Ils ne voulaient pas que le les voie, je ne pouvais donc pas entrer dans la chambre. Depuis l’entrebâillement de la porte, je voyais notre lit mais du coté "des pieds" et pas dans l'axe mais plutôt de trois quarts.
Ils étaient en pleine action. Lui sur elle, Elle les jambes en l'air, tremblante, haletante. Je ne pouvais pas en voir plus mais j'étais sidéré de voir ses fesses à lui, se contracter en cadence, a mesure de sa fougue à pénétrer ma femme. Je l'ai vu, elle, glisser une main entre eux pour lui saisir les couilles. Ils ont joui. Je l'ai vu se cambrer, ses fesses hyper contractées révélaient sa jouissance et le flot de sperme qu'il devait déverser dans le ventre de ma femme. Il s'est effondré sur elle. Elle l'enlaçait de ses bras, lui caressait les fesses. Je l'ai entendu murmurer "je ne vais pas rester trop longtemps, ton mari doit avoir envie de toi". Il a basculé sur le coté. J'ai vu, brièvement, sa queue, encore énorme bien que ramollie. J'ai compris, la, pourquoi elle ne peut plus se passer de lui. Il est clair qu'il à de quoi la satisfaire.
J'ai regagné le salon et me suis ré-installé devant la télé comme si je n'en avais jamais bougé.
Je l'ai entendu repartir. Je suis retourné vers la chambre. Elle m'attendait. Elle a choisi de me provoquer un peu : Elle avait repoussé draps et couverture et était restée presque comme pendant l'amour, jambes largement écartées, très impudique, un peu de sperme était visible sur son sexe et le reste avait largement maculé le drap. Sa posture semblait dire "je suis bien, j'ai eu tout ce que je voulais" J'étais surexcité. Je l'ai léchée partout et lui ai fait l'amour comme un fou. Plus elle me balançait des phrase du style "ça ne te dérange pas de passer après lui ?" ou "tu sais que je vais recommencer demain ?", plus je bandais. Je l'ai baisé telle qu'elle était; mes couilles percevaient la fraîcheur des draps humides du sperme de l'amant car je l'ai prise comme elle était, à l'endroit exact ou lui l'avait prise. Quand elle m'a pris les couilles en main elle a dit "toi aussi tu aime ça ?" j'ai joui comme jamais. Après, elle a dit que c'était très bien que son amant puisse venir et qu’elle n'ait pas à changer de lit en cours de nuit.
Il n'est pas revenu le lendemain et nous avons passé le week end en amoureux. J'espère avoir le droit de les voir baiser de près et qu'il prenne l'habitude de la baiser à la maison.