- 05 janv. 2011, 15:24
#182524
Bonjour à tous.
Je suis heureux de pouvoir débattre sur ce forum ouvert et enrichissant, heureux de savoir aussi que je ne suis plus seul à souffrir de certains TOC que certains classeraient dans le voyeurisme, d'autres dans le candaulisme et une généralité dans la perversité.
A 45 ans, j'ai eu de multiples expériences libertines en soirées privées, clubs et extérieurs par le biais du minitel, d'internet ou du bouche à oreille de certains endroits appropriés.
J'ai partagé ces expériences avec mes différentes compagnes et avec bien entendu leur consentement.
La plupart du temps, je jouais le rôle de voyeur, photographe/caméraman et organisateur.
Du fait de maitriser le scénario de départ, je ne me suis jamais classifié dans un statut de cocu.
Comme tout homme, les masturbations solitaires liées aux souvenirs de ces instants m'ont procuré des plaisirs intenses voir supérieurs à l'acte par lui même en duo.
Malheureusement, ses coutumes libertines sont venues bousculer mon mode de vie au point de me renfermer dans un isolement complet.
Il m'est arrivé et il m'arrive encore de me cloitrer un, deux voir trois jours chez moi sur le seul fait d'imaginer de nouveaux fantasmes qui aboutissent systématiquement à une masturbation explosive.
Je ne peux plus affirmer qu'e cette addiction est passagère puisque voila maintenant plus de cinq ans que je vis ainsi.
Voir sa compagne se donner et ressentir du plaisir dans les bras d'un autre est éffectivement un réel plaisir mais à quel prix?
Mettre son entreprise et son avenir en péril, sa libido et ses rapports de couple ordinaires en berne, souffrir de pulsions liées aux souvenirs, passer ses journées à mater les photos de ses dernières expériences et imaginer la suite... Voila le prix que je dois payer dans mon quotidien.
Je vis actuellement avec une belle créature, "blonde à forte poitrine", trés extravertie grace à mes conseils et mes envies.
Trés épicurienne mais aussi novice, nous avons eu quelques expériences en trio.
Souvent à sa demande (son appétit est démeusuré), elle m'a demandé d'aller plus loin, chose que je n'ai pas accepté de peur de souffrir d'autant plus.
Certains voir une grande majorité d'hommes m'envient et n'hésitent pas à chercher une faille pour s'imisser dans notre vie, pour extirper cette déesse que j'aime par dessus tout.
Savent-ils ma souffrance de ne pouvoir lui faire l'amour normalement?
Je cherche à me sortir de ce mauvais délire qui dure depuis trop longtemps.
J'ai tenté un an de psy mais le candaulisme revient vite au galop...
Si certains d'entre vous avez connu une expérience similaire, je serais trés heureux de savoir comment vous avez réussi à atténuer ou stopper ce type de pulsion.
Meilleurs voeux à tous
Je suis heureux de pouvoir débattre sur ce forum ouvert et enrichissant, heureux de savoir aussi que je ne suis plus seul à souffrir de certains TOC que certains classeraient dans le voyeurisme, d'autres dans le candaulisme et une généralité dans la perversité.
A 45 ans, j'ai eu de multiples expériences libertines en soirées privées, clubs et extérieurs par le biais du minitel, d'internet ou du bouche à oreille de certains endroits appropriés.
J'ai partagé ces expériences avec mes différentes compagnes et avec bien entendu leur consentement.
La plupart du temps, je jouais le rôle de voyeur, photographe/caméraman et organisateur.
Du fait de maitriser le scénario de départ, je ne me suis jamais classifié dans un statut de cocu.
Comme tout homme, les masturbations solitaires liées aux souvenirs de ces instants m'ont procuré des plaisirs intenses voir supérieurs à l'acte par lui même en duo.
Malheureusement, ses coutumes libertines sont venues bousculer mon mode de vie au point de me renfermer dans un isolement complet.
Il m'est arrivé et il m'arrive encore de me cloitrer un, deux voir trois jours chez moi sur le seul fait d'imaginer de nouveaux fantasmes qui aboutissent systématiquement à une masturbation explosive.
Je ne peux plus affirmer qu'e cette addiction est passagère puisque voila maintenant plus de cinq ans que je vis ainsi.
Voir sa compagne se donner et ressentir du plaisir dans les bras d'un autre est éffectivement un réel plaisir mais à quel prix?
Mettre son entreprise et son avenir en péril, sa libido et ses rapports de couple ordinaires en berne, souffrir de pulsions liées aux souvenirs, passer ses journées à mater les photos de ses dernières expériences et imaginer la suite... Voila le prix que je dois payer dans mon quotidien.
Je vis actuellement avec une belle créature, "blonde à forte poitrine", trés extravertie grace à mes conseils et mes envies.
Trés épicurienne mais aussi novice, nous avons eu quelques expériences en trio.
Souvent à sa demande (son appétit est démeusuré), elle m'a demandé d'aller plus loin, chose que je n'ai pas accepté de peur de souffrir d'autant plus.
Certains voir une grande majorité d'hommes m'envient et n'hésitent pas à chercher une faille pour s'imisser dans notre vie, pour extirper cette déesse que j'aime par dessus tout.
Savent-ils ma souffrance de ne pouvoir lui faire l'amour normalement?
Je cherche à me sortir de ce mauvais délire qui dure depuis trop longtemps.
J'ai tenté un an de psy mais le candaulisme revient vite au galop...
Si certains d'entre vous avez connu une expérience similaire, je serais trés heureux de savoir comment vous avez réussi à atténuer ou stopper ce type de pulsion.
Meilleurs voeux à tous