- 14 oct. 2011, 10:45
#806469
La suite attendue du dernier récit de nos aventures scabreuses...
***************Troisième partie************************
Dorénavant bien bandé, Jacques se leva de son tabouret, aida courtoisement Chrystel à se relever, l'embrassa de nouveau goulument, rentra sa queue et, la conduisant bras dessus bras dessous vers les backrooms, nous lança à la cantonade : "Eh , ça vous dit pas de passer aux choses sérieuses les deux amoureux ? ". Je me levais à mon tour en disant à Christine que j’avais plutôt envie de danser, ce qu’elle prit à juste titre pour une fin de non-recevoir. En réalité, Christine ne m’attirait que moyennement mais surtout, j’étais trop jaloux à l’idée que Jacques allait se taper Chrystel. Cette soirée fait partie des quelques-unes au cours desquelles la jalousie l’a emportée sur l’excitation et dont je ne suis pas fier a posteriori. Je rattrapais Chrystel et Jacques et leur répétais l’excuse minable que j’avais donnée à Christine pour m’extraire de cette situation. Ils comprirent tout de suite mon malaise et Jacques, beau joueur et vrai libertin, n’insista pas. Lui et Christine se rendirent tout de même dans les salons. Chrystel et moi allâmes nous trémousser sur la piste de danse quelques minutes et, ne faisant pas d’autres rencontres, nous décidâmes d’aller nous rincer l’œil dans les « coins-câlins » avant de partir.
Arrivés sur place, nous constatâmes rapidement qu’il y avait un attroupement devant le plus grand des salons, celui qui est équipé d’un immense lit revêtu de skie pouvant accueillir plusieurs dizaines de partouzeurs. Nous nous joignîmes à la foule des badauds pour admirer le spectacle dantesque des corps entremêlés. Ils étaient vingt, peut-être trente, à sucer, à lécher, à baiser, à soupirer, à gémir ou à crier. Tout était indécence et luxure. La scène aurait pu dégouter, mais elle fascinait. Elle aurait pu nous écœurer mais ce soir-là, peut-être parce que nos péripéties du bar nous avaient laissés tous les deux sur notre faim, elle nous a excité. Nous aperçûmes Jacques non loin de nous, en train de prendre une fille d’une vingtaine d’années en levrette alors que celle-ci était affairée sur la queue d’un jeune homme qui devait être son copain. Il semblait avoir oublié sa déconvenue du bar et avait comblé le vide laissé par Chrystel de bien belle manière. Un peu plus loin, Christine, allongée sur le côté et nue, regardait pensivement les couples forniquer autour d’elle.
****************A suivre*****************
***************Troisième partie************************
Dorénavant bien bandé, Jacques se leva de son tabouret, aida courtoisement Chrystel à se relever, l'embrassa de nouveau goulument, rentra sa queue et, la conduisant bras dessus bras dessous vers les backrooms, nous lança à la cantonade : "Eh , ça vous dit pas de passer aux choses sérieuses les deux amoureux ? ". Je me levais à mon tour en disant à Christine que j’avais plutôt envie de danser, ce qu’elle prit à juste titre pour une fin de non-recevoir. En réalité, Christine ne m’attirait que moyennement mais surtout, j’étais trop jaloux à l’idée que Jacques allait se taper Chrystel. Cette soirée fait partie des quelques-unes au cours desquelles la jalousie l’a emportée sur l’excitation et dont je ne suis pas fier a posteriori. Je rattrapais Chrystel et Jacques et leur répétais l’excuse minable que j’avais donnée à Christine pour m’extraire de cette situation. Ils comprirent tout de suite mon malaise et Jacques, beau joueur et vrai libertin, n’insista pas. Lui et Christine se rendirent tout de même dans les salons. Chrystel et moi allâmes nous trémousser sur la piste de danse quelques minutes et, ne faisant pas d’autres rencontres, nous décidâmes d’aller nous rincer l’œil dans les « coins-câlins » avant de partir.
Arrivés sur place, nous constatâmes rapidement qu’il y avait un attroupement devant le plus grand des salons, celui qui est équipé d’un immense lit revêtu de skie pouvant accueillir plusieurs dizaines de partouzeurs. Nous nous joignîmes à la foule des badauds pour admirer le spectacle dantesque des corps entremêlés. Ils étaient vingt, peut-être trente, à sucer, à lécher, à baiser, à soupirer, à gémir ou à crier. Tout était indécence et luxure. La scène aurait pu dégouter, mais elle fascinait. Elle aurait pu nous écœurer mais ce soir-là, peut-être parce que nos péripéties du bar nous avaient laissés tous les deux sur notre faim, elle nous a excité. Nous aperçûmes Jacques non loin de nous, en train de prendre une fille d’une vingtaine d’années en levrette alors que celle-ci était affairée sur la queue d’un jeune homme qui devait être son copain. Il semblait avoir oublié sa déconvenue du bar et avait comblé le vide laissé par Chrystel de bien belle manière. Un peu plus loin, Christine, allongée sur le côté et nue, regardait pensivement les couples forniquer autour d’elle.
****************A suivre*****************
Changement de pseudo : histoireslib n'est plus, vive LeodeH ! Pour mes contacts msn, changement d'adresse aussi, n'hésitez pas à la demander à LeodeH en MP...