Oui cher cocu, il n'y a pas eu de désistement.
Les chemins de l'adultère étaient gorgés d'eau. Nous n'avons pas risqué de nous enliser en nous éloignant trop de la route.
Cette fois-ci encore moins que la dernière fois nous n'étions vraiment cachés aux yeux des routiers qui ne cessent de passer.
Combien de fois avons nous été éblouis par les rampes de phares longues portée qu'ils allumaient dès qu'ils repéraient nos voitures.
S'ils n'avaient pas de doute sur nos activités

, ils ne devaient pas voir grand chose tant la buée n'a pas tardé à recouvrir les vitres de ma voiture.
Nous sous sommes rapidement jeté l'un sur l'autre, Cendrillon n'ayant que la permission de minuit 30, ce qui nous laissait guère plus qu'une heure.
Autant dire que nous avons sauté l'étape galanterie-conversation pour rapidement arriver à plus substantiel.
Ma belle maîtresse était nue sous son col roulé, ses seins libres frôlant mon torse.
Elle n'avait pas non plus de culotte. Elle n'en porte jamais quand elle vient me voir, je la veux cul nu.
Sans cesser de nous dévorer de baisers, nous nous sommes rapidement retrouvé complètement nus.
Elle a fait glisser son adorable frimousse le long de mon torse, sa langue frôlant ma peau.
Mon membre était fièrement dressé et pointait vers sa bouche chaude et suave.
Ma main, elle, parcourait son dos, ses reins, pour se perdre dans les profondeurs de son entrecuisse, dont l'humidité ne devait rien au climat
Pas de doute, nous avions toujours aussi puissamment envie l'un de l'autre!
huuummmmmfffffff!
Sa bouche s'empare de ma verge, glissant doucement, toujours plus profondément.
Elle fait ça avec une douceur remarquable, une science experte sans cesse renouvellée.
Il me faut un self control terrible!
(suite demain

)