- 01 juin 2011, 11:21
#481777
Lorsque j’ai rencontré mon ex copine, il est rapidement devenu certain que beaucoup de temps serait consacré aux coïts. Elle, particulièrement jolie à en juger les regards la déshabillant lorsqu’elle rentre dans un bar, est dotée d’une libido déchaînée, un point en commun qui nous unissait jour et nuit.
Mais au fur et à mesure que notre relation avançait dans le temps, il semblait évident qu’elle ne serait pas « fidèle ». Tout d’abord parce qu’elle en était incapable, au vu de son amour pour les bites, et ensuite parce qu’elle n’en avait aucune envie. Après en avoir discuté quelque peu, je lui autorisai donc toutes les incartades qu’elle souhaitait, lui avouant même qu’elle incarnait un de mes plus grands phantasmes : que ma copine me trompe !
Les jours passent, et je sens bien que cette liberté qu’elle a acquise lui fait plaisir et a calmé la culpabilité qu’elle ressentait avant même de passer à l’acte.
Et l’acte fut dès plus intéressant.
Un jour, en ville, nous rencontrons quelques amis, dont un que nous ne connaissions pas encore. Il ne l’intéresse pas particulièrement, mais je sens bien qu’il lui plaît physiquement. De fil en aiguille, nous invitons l’individu à prendre un dernier verre chez nous. Nous sommes installés confortablement dans le divan, et notre visiteur est assis sur une chaise, en face de nous, de l’autre côté de la table de salon. En temps normal, il est évident que les règles de l’hospitalité m’auraient poussé à laisser l’invité s’asseoir dans le canapé à ma place, et me contenter de la chaise, beaucoup moins confortable. Mais j’ai mon idée en tête.
La scène se passe en été. Ma copine est vêtue d’un haut moulant, assez affriolant sans pour autant être trop provocateur, et une mini jupe, pas si mini que ça, mais qui la force à garder les jambes serrées lorsqu’elle s’assied en société. Profitant donc d’un moment d’inattention de notre amis, je lui glisse dans l’oreille que je veux qu’elle écarte les jambes, lui montre sa culotte, et qu’elle le fasse en feignant de me le cacher. Elle rougit un peu. Reprend ses esprit. Et je vois déjà ses genoux qui se désolidarisent. A partir de cet instant, elle est magnifique de mensonges et de fourberies envers moi. Je sais ce qu’elle fait. Et elle me le cache comme personne. Je ne parviens qu’à entrevoir, par accident, dans un miroir, ses jambes assez largement ouverte et sa lèvre qu’elle se mordille de peur. Je sens bien que l’homme en face ne sais trop que faire, et commence a avoir du mal à me cacher son excitation à la vue de cette petite culotte rouge. J’en deviens fou de jalousie et de désir pour elle. Nous buvons un deuxième verre. La soirée continue.
Par sms, j’ordonne à ma copine de prétexter un tour aux toilettes, d’abandonner en chemin sa culotte, et de recommencer le même petit jeu. Je commence à la sentir fébrile. Moi-même, j’ai beaucoup de mal à garder mon calme. Notre homme fume cigarette sur cigarette en racontant des blagues pour paraître détendu. Elle s’exécute, revient deux minutes plus tard. Comme elle joue à merveille son rôle, je ne vois rien de sa chatte, mais je sens au pantalon de notre homme que lui, il en voit tout. Savoir ma copine s’exhiber ainsi devant un autre homme me rend dingue, furieux de jalousie, et j’adore ça. J’en bande encore, maintenant, en écrivant cette histoire. Elle écarte ses jambes, et sans pudeur, lui montre son sexe forcément déjà trempé, et qu’elle espère bientôt baisé par cette bite que notre ami ne sais comment masquer. Peut-être pour la replacer de façon plus correcte, il nous demande la direction des toilettes, et nous laisse seul deux minutes.
Moi-même je bande comme un fou. Je vois que ma copine tremble un peu. Elle espère manifestement un petit moment de répit, et me dis qu’elle adore, mais que pour une première expérience, cela lui suffit. Pour lui permettre de reprendre son souffle, je lui explique très simplement, mais très fermement, à l’oreille, que l’on n’a presque plus de cigarettes, que je vais aller en acheter au night shop, et qu’à mon retour, je veux qu’elle ait son sperme dans la chatte. Au comble de l’excitation, une petite larme s’échappe de son œil, elle se mordille les lèvres pendant qu’une de ses mains ne peut s’empêcher de caresser son sexe, et finit par me demander : « mais quoi, je vais te tromper comme une salope ». Je ne lui réponds que par un regard ferme. Elle sort alors ses deux doigts qui jouaient joyeusement dans son vagin et me les mets en bouche en m’avouant que ça l’excite comme une folle. Je me dépêche donc de lui dire ce qu’elle devra faire après avoir goûter un peu de cette chatte que je ne manquais jamais de dévorer chaque soir. Je lui ordonne donc de lui sauter dessus dès qu’elle entendra la porte d’entrée de l’immeuble se fermer, ne pas lui demander son avis, ouvrir son pantalon, et s’empaler sur sa bite sans autre forme d’avertissement, de lui dire de mettre un de ses doigt dans son trou de cul pendant qu’elle libère ses seins, et d’imprimer un train d’enfer au va et vient jusqu’à le faire jouir. Je précise enfin que je ne sais pas encore à quel night shop je vais aller. Que peut-être elle aura 5 minutes pour le faire jouir, peut être 15. Probablement pas 20. Qu’elle verra.
Il revient des toilettes. Un peu mal à l’aise. Je ressers donc un verre, et explique que je vais aller chercher des cigarettes, que je n’en ai pas pour longtemps. Je sors. J’ai la tête qui va exploser d’excitation. Je marche vite. Puis lentement. Rentrer. Les surprendre. La laisser se faire prendre. Je ne sais pas. Je ne pense qu’à une seule chose : ma copine est en train de se faire baiser dans mon salon, … et je bande.
J’achète des cigarettes. Je rentre. Ils discutent de choses et d’autres. La table a un peu bougé. Un peu plus tard, prétextant qu’il était fatigué, il repart. Je le raccompagne. Je reviens chez moi. Elle a les jambes tremblantes. Elle a déjà trompé ses copains. Souvent. Mais pas ainsi. Elle se met à pleurer. De joie et de peur à la fois. M’explique qu’il a jouit en 30 secondes. Peut-être même pas. Mais que ce fut super fort, intense. Qu’elle a adoré ça. Non seulement elle a prit son pied avec une fort joli bite dans son vagin et une étreinte sauvage comme elle les aime, qu’il a bien entendu mis son doigt là où je l’avais ordonné, qu’elle a plaqué sa tête contre ses seins nus quand il jouissait, mais qu’en plus son plaisir a été décuplé à l’idée qu’elle me trompait de la pire des manière qu’il soit, comme une vraie pute.
Je ne sais pas quoi en penser à ce moment, mais je bande tellement, que sans plus l’écouter, je sors la mienne de mon pantalon, j’écarte ses jambes, la pénètre violement. Je l’entends à peine me dire « Oh oui, baise moi, baise moi, baise moi, et traite moi de salope, baise moi ». Je la baise et ramasse son téléphone, le lui jette entre les mains, et lui dicte un sms à envoyer à son amant : « Je veux que tu reviennes demain soir. Mon copain ne sera pas là avant dix heures. Après ma chatte, je veux que te m’encule. J’aime trop baiser. » En écrivant le sms, je sentais son excitation monter de façon fulgurante. Et à son tour elle a jouit en écrivant « encule ». J’ai sorti ma bite de sa chatte, lui ai jouit dans la bouche, et nous nous sommes longuement embrassé en partageant mon sperme.
Elle m’a prit dans ses bras et m’a dit que c’était fantastique de pouvoir vivre ça. Elle m’a demandé si elle pourrait vraiment baiser avec qui elle voudrait, quand elle voudrait. Je lui ai ordonné de me tromper au moins une fois par semaine, qu’à partir de cet instant, j’aurais autant besoin qu’elle se fasse baiser que de la baiser, et que je me branlerais en y pensant jour après jour.
Elle s’est fait enculer le lendemain. Lorsque je suis rentré chez moi, il était bien entendu déjà parti. Elle était à la cuisine et me préparais à manger. Elle était très nerveuse. Avait un petit regard coupable, ne savait rester en place. Lorsqu’elle fut à laver une poêle, occupation qui la forçait à garder ses mains dans l’évier et rester face à celui-ci, j’ai passé mes mains autour de sa taille et commencer à déboutonner son pantalon. Elle me repousse, s’est débattue gentiment, me disant non, je n’ai pas envie, arrête. Elle essaie d’écarter les jambes pour garder son pantalon en place. Mais je n’ai pas envie de faire l’amour. Donc avec force je baisse ce pantalon et arrache sa culotte. Elle gémit. Crie « non ! ». Je mets mon doigt dans son cul, et constate que manifestement, son petit trou est toujours bien dilaté, qu’on y devine des reste de lubrifiant d’un capote. Elle se met à pleurer. Pour reprendre possession de l’endroit, je la sodomise à mon tour. Elle est tellement opposée à notre ébat, qu’elle se finit par se doigter en même temps. Elle me demande de jouir dans son cul de salope. Je m’exécute. En caressant ses fesses. Après coup, elle se retourne, et, sanglotant légèrement, me prend dans ses bras et me demande pardon.
Je lui ai ensuite expliqué que l’on adorait tous les deux ça. Elle s’est mise à rire. Elle était heureuse que l’on puisse s’abandonner à nos phantasme ensemble. Elle adorait baiser avec d’autres, être rongée par la culpabilité après avoir jouit de l’excitation de l’interdit. J’adorais qu’elle se fasse baiser, et imaginer ses bites en elle me faisait bander.
Par la suite, nous avons eu beaucoup d’aventures similaires. Non seulement nous faisions l’amour partout et n’importe quand, mais elle se faisait baiser selon des scénarios que je lui imposais. Elle les réalisait avec minutie, tous ses amants s’imaginant que j’étais le mec le plus cocu de la terre. Puis j’ai fini par simplifier les scénarios de plus en plus, pour qu’elle prenne l’initiative de sa propre créativité, en imposant simplement des jours, ou des lieux. Des personnes aussi. Finalement, c’était elle qui décidait de tout, et ne m’en disait rien. Je comprenais, soit en découvrant un indice qu’elle avait oublié, soit à son regard coupable, que « ca c’était passé ». Toujours, nous baisions comme des fou, ensuite, et l’on s’aimait d’autant plus qu’elle se faisait prendre dans la pièce d’à côté par un mec s’efforçant de faire le moins de bruit possible.
Nous avons fini par nous quitter, certes, mais pour des raisons tout à fait différente, n’ayant aucun rapport avec la sexualité. D’ailleurs, nous sommes restés excellents amis. Je voulais préciser ceci pour que vous ne croyiez pas que cette situation d’adultère avait provoqué la fin de notre relation. Que du contraire, nous sommes restés deux ans et demi ensemble, et pas un jour ne fut passé sans que nous fassions l’amour, notamment grâce à l’excitation que nous mettions en place.
J’avoue cela dit que cette magnifique aventure, dont je vous raconterai peut-être d’autres moments, m’a laissé avec un drôle de fardeau : il n’est jamais facile, dans une relation amoureuse avec une femme, lorsque la confiance est installée, de lui dire : « Chérie, j’ai envie que tu me trompes maintenant ! » Ou du moins, je n’y suis pas encore parvenu de la bonne manière.
Mais au fur et à mesure que notre relation avançait dans le temps, il semblait évident qu’elle ne serait pas « fidèle ». Tout d’abord parce qu’elle en était incapable, au vu de son amour pour les bites, et ensuite parce qu’elle n’en avait aucune envie. Après en avoir discuté quelque peu, je lui autorisai donc toutes les incartades qu’elle souhaitait, lui avouant même qu’elle incarnait un de mes plus grands phantasmes : que ma copine me trompe !
Les jours passent, et je sens bien que cette liberté qu’elle a acquise lui fait plaisir et a calmé la culpabilité qu’elle ressentait avant même de passer à l’acte.
Et l’acte fut dès plus intéressant.
Un jour, en ville, nous rencontrons quelques amis, dont un que nous ne connaissions pas encore. Il ne l’intéresse pas particulièrement, mais je sens bien qu’il lui plaît physiquement. De fil en aiguille, nous invitons l’individu à prendre un dernier verre chez nous. Nous sommes installés confortablement dans le divan, et notre visiteur est assis sur une chaise, en face de nous, de l’autre côté de la table de salon. En temps normal, il est évident que les règles de l’hospitalité m’auraient poussé à laisser l’invité s’asseoir dans le canapé à ma place, et me contenter de la chaise, beaucoup moins confortable. Mais j’ai mon idée en tête.
La scène se passe en été. Ma copine est vêtue d’un haut moulant, assez affriolant sans pour autant être trop provocateur, et une mini jupe, pas si mini que ça, mais qui la force à garder les jambes serrées lorsqu’elle s’assied en société. Profitant donc d’un moment d’inattention de notre amis, je lui glisse dans l’oreille que je veux qu’elle écarte les jambes, lui montre sa culotte, et qu’elle le fasse en feignant de me le cacher. Elle rougit un peu. Reprend ses esprit. Et je vois déjà ses genoux qui se désolidarisent. A partir de cet instant, elle est magnifique de mensonges et de fourberies envers moi. Je sais ce qu’elle fait. Et elle me le cache comme personne. Je ne parviens qu’à entrevoir, par accident, dans un miroir, ses jambes assez largement ouverte et sa lèvre qu’elle se mordille de peur. Je sens bien que l’homme en face ne sais trop que faire, et commence a avoir du mal à me cacher son excitation à la vue de cette petite culotte rouge. J’en deviens fou de jalousie et de désir pour elle. Nous buvons un deuxième verre. La soirée continue.
Par sms, j’ordonne à ma copine de prétexter un tour aux toilettes, d’abandonner en chemin sa culotte, et de recommencer le même petit jeu. Je commence à la sentir fébrile. Moi-même, j’ai beaucoup de mal à garder mon calme. Notre homme fume cigarette sur cigarette en racontant des blagues pour paraître détendu. Elle s’exécute, revient deux minutes plus tard. Comme elle joue à merveille son rôle, je ne vois rien de sa chatte, mais je sens au pantalon de notre homme que lui, il en voit tout. Savoir ma copine s’exhiber ainsi devant un autre homme me rend dingue, furieux de jalousie, et j’adore ça. J’en bande encore, maintenant, en écrivant cette histoire. Elle écarte ses jambes, et sans pudeur, lui montre son sexe forcément déjà trempé, et qu’elle espère bientôt baisé par cette bite que notre ami ne sais comment masquer. Peut-être pour la replacer de façon plus correcte, il nous demande la direction des toilettes, et nous laisse seul deux minutes.
Moi-même je bande comme un fou. Je vois que ma copine tremble un peu. Elle espère manifestement un petit moment de répit, et me dis qu’elle adore, mais que pour une première expérience, cela lui suffit. Pour lui permettre de reprendre son souffle, je lui explique très simplement, mais très fermement, à l’oreille, que l’on n’a presque plus de cigarettes, que je vais aller en acheter au night shop, et qu’à mon retour, je veux qu’elle ait son sperme dans la chatte. Au comble de l’excitation, une petite larme s’échappe de son œil, elle se mordille les lèvres pendant qu’une de ses mains ne peut s’empêcher de caresser son sexe, et finit par me demander : « mais quoi, je vais te tromper comme une salope ». Je ne lui réponds que par un regard ferme. Elle sort alors ses deux doigts qui jouaient joyeusement dans son vagin et me les mets en bouche en m’avouant que ça l’excite comme une folle. Je me dépêche donc de lui dire ce qu’elle devra faire après avoir goûter un peu de cette chatte que je ne manquais jamais de dévorer chaque soir. Je lui ordonne donc de lui sauter dessus dès qu’elle entendra la porte d’entrée de l’immeuble se fermer, ne pas lui demander son avis, ouvrir son pantalon, et s’empaler sur sa bite sans autre forme d’avertissement, de lui dire de mettre un de ses doigt dans son trou de cul pendant qu’elle libère ses seins, et d’imprimer un train d’enfer au va et vient jusqu’à le faire jouir. Je précise enfin que je ne sais pas encore à quel night shop je vais aller. Que peut-être elle aura 5 minutes pour le faire jouir, peut être 15. Probablement pas 20. Qu’elle verra.
Il revient des toilettes. Un peu mal à l’aise. Je ressers donc un verre, et explique que je vais aller chercher des cigarettes, que je n’en ai pas pour longtemps. Je sors. J’ai la tête qui va exploser d’excitation. Je marche vite. Puis lentement. Rentrer. Les surprendre. La laisser se faire prendre. Je ne sais pas. Je ne pense qu’à une seule chose : ma copine est en train de se faire baiser dans mon salon, … et je bande.
J’achète des cigarettes. Je rentre. Ils discutent de choses et d’autres. La table a un peu bougé. Un peu plus tard, prétextant qu’il était fatigué, il repart. Je le raccompagne. Je reviens chez moi. Elle a les jambes tremblantes. Elle a déjà trompé ses copains. Souvent. Mais pas ainsi. Elle se met à pleurer. De joie et de peur à la fois. M’explique qu’il a jouit en 30 secondes. Peut-être même pas. Mais que ce fut super fort, intense. Qu’elle a adoré ça. Non seulement elle a prit son pied avec une fort joli bite dans son vagin et une étreinte sauvage comme elle les aime, qu’il a bien entendu mis son doigt là où je l’avais ordonné, qu’elle a plaqué sa tête contre ses seins nus quand il jouissait, mais qu’en plus son plaisir a été décuplé à l’idée qu’elle me trompait de la pire des manière qu’il soit, comme une vraie pute.
Je ne sais pas quoi en penser à ce moment, mais je bande tellement, que sans plus l’écouter, je sors la mienne de mon pantalon, j’écarte ses jambes, la pénètre violement. Je l’entends à peine me dire « Oh oui, baise moi, baise moi, baise moi, et traite moi de salope, baise moi ». Je la baise et ramasse son téléphone, le lui jette entre les mains, et lui dicte un sms à envoyer à son amant : « Je veux que tu reviennes demain soir. Mon copain ne sera pas là avant dix heures. Après ma chatte, je veux que te m’encule. J’aime trop baiser. » En écrivant le sms, je sentais son excitation monter de façon fulgurante. Et à son tour elle a jouit en écrivant « encule ». J’ai sorti ma bite de sa chatte, lui ai jouit dans la bouche, et nous nous sommes longuement embrassé en partageant mon sperme.
Elle m’a prit dans ses bras et m’a dit que c’était fantastique de pouvoir vivre ça. Elle m’a demandé si elle pourrait vraiment baiser avec qui elle voudrait, quand elle voudrait. Je lui ai ordonné de me tromper au moins une fois par semaine, qu’à partir de cet instant, j’aurais autant besoin qu’elle se fasse baiser que de la baiser, et que je me branlerais en y pensant jour après jour.
Elle s’est fait enculer le lendemain. Lorsque je suis rentré chez moi, il était bien entendu déjà parti. Elle était à la cuisine et me préparais à manger. Elle était très nerveuse. Avait un petit regard coupable, ne savait rester en place. Lorsqu’elle fut à laver une poêle, occupation qui la forçait à garder ses mains dans l’évier et rester face à celui-ci, j’ai passé mes mains autour de sa taille et commencer à déboutonner son pantalon. Elle me repousse, s’est débattue gentiment, me disant non, je n’ai pas envie, arrête. Elle essaie d’écarter les jambes pour garder son pantalon en place. Mais je n’ai pas envie de faire l’amour. Donc avec force je baisse ce pantalon et arrache sa culotte. Elle gémit. Crie « non ! ». Je mets mon doigt dans son cul, et constate que manifestement, son petit trou est toujours bien dilaté, qu’on y devine des reste de lubrifiant d’un capote. Elle se met à pleurer. Pour reprendre possession de l’endroit, je la sodomise à mon tour. Elle est tellement opposée à notre ébat, qu’elle se finit par se doigter en même temps. Elle me demande de jouir dans son cul de salope. Je m’exécute. En caressant ses fesses. Après coup, elle se retourne, et, sanglotant légèrement, me prend dans ses bras et me demande pardon.
Je lui ai ensuite expliqué que l’on adorait tous les deux ça. Elle s’est mise à rire. Elle était heureuse que l’on puisse s’abandonner à nos phantasme ensemble. Elle adorait baiser avec d’autres, être rongée par la culpabilité après avoir jouit de l’excitation de l’interdit. J’adorais qu’elle se fasse baiser, et imaginer ses bites en elle me faisait bander.
Par la suite, nous avons eu beaucoup d’aventures similaires. Non seulement nous faisions l’amour partout et n’importe quand, mais elle se faisait baiser selon des scénarios que je lui imposais. Elle les réalisait avec minutie, tous ses amants s’imaginant que j’étais le mec le plus cocu de la terre. Puis j’ai fini par simplifier les scénarios de plus en plus, pour qu’elle prenne l’initiative de sa propre créativité, en imposant simplement des jours, ou des lieux. Des personnes aussi. Finalement, c’était elle qui décidait de tout, et ne m’en disait rien. Je comprenais, soit en découvrant un indice qu’elle avait oublié, soit à son regard coupable, que « ca c’était passé ». Toujours, nous baisions comme des fou, ensuite, et l’on s’aimait d’autant plus qu’elle se faisait prendre dans la pièce d’à côté par un mec s’efforçant de faire le moins de bruit possible.
Nous avons fini par nous quitter, certes, mais pour des raisons tout à fait différente, n’ayant aucun rapport avec la sexualité. D’ailleurs, nous sommes restés excellents amis. Je voulais préciser ceci pour que vous ne croyiez pas que cette situation d’adultère avait provoqué la fin de notre relation. Que du contraire, nous sommes restés deux ans et demi ensemble, et pas un jour ne fut passé sans que nous fassions l’amour, notamment grâce à l’excitation que nous mettions en place.
J’avoue cela dit que cette magnifique aventure, dont je vous raconterai peut-être d’autres moments, m’a laissé avec un drôle de fardeau : il n’est jamais facile, dans une relation amoureuse avec une femme, lorsque la confiance est installée, de lui dire : « Chérie, j’ai envie que tu me trompes maintenant ! » Ou du moins, je n’y suis pas encore parvenu de la bonne manière.