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#1821442
Les mains, libérées de l'interface du crayon et du voile du Canson ne tardent pas à explorer d'autres contrées... Et elle comme pensive, alanguie tout à l'heure, soudain se tend et s'écarte, accueillant les doigts bienveillants de l'hôte qui promettent déjà de faire preuve d'une autre forme d'art...
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#1821445
Si des doutes avaient pu subsister sur les dispositions du modèle, ils sont littéralement écartés, et les doigts de Jean prennent un plaisir savant à titiller le nid du désir de la belle. Les lieux, tout à l'heure emplis d'un silence ouaté tout juste rompu par de courtois échanges, résonnent soudain des premiers gémissements de plaisir féminin...
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#1821454
Mais puisqu'il s'agit de la croquer désormais au sens propre, l'entreprenant hôte y va de sa bouche et de sa langue et l'amplitude de la cambrure comme l'intensité dés gémissements en sont décuplés... Sans ambivalence le geste de la belle vers le postérieur de son cunnilingueur dit le plaisir qu'il lui donne et le désir qu'il lui inspire...
#1821457
Mais puisqu'il s'agit de la croquer désormais au sens propre, l'entreprenant hôte y va de sa bouche et de sa langue et l'amplitude de la cambrure comme l'intensité dés gémissements en sont décuplés... Sans ambivalence le geste de la belle vers le postérieur de son cunnilingueur dit le plaisir qu'il lui donne et le désir qu'il lui inspire...
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#1821711
Mais ainsi va ma belle qui ne saurait trop longtemps recevoir sans donner à son tour et elle le signifie à l'hôte d'un geste sans équivoque de la main. Tandis que son minou continue d'être cajolé, elle désigne et vient flatter l'oiseau à faire grandir et libérer...
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#1821720
La condition de photomateur fait passer par des états d’âme anarchiques. Et face au spectacle à la restitution duquel manquent ici les gémissements soutenus du plaisir de la miss qui s'abandonne, votre serviteur narrateur a bien du mal à rester stoïque. Aussi libère-t-il derechef la raideur que lui inspirent les ébats sur canapé...
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#1822017
Ce n'est plus un canapé c'est un ascensceur pour le 7ème ciel... A chaque coup de langue Jean comme ancré au plus pfofond des lèvres de la belle fait mouche, et elle, se tend se cambre gémit et laisse s'exprimer les vagues de plaisir qui montent sans discontinuer La tension monte elle aussi sur le sofa et la miss entretient celle de notre hôte à pleine main. La connaissant, je sais qu'elle ne devrait pas longtemps en rester là...
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#1822115
Je savais qu'elle attendait ce moment qui la voit, gourmande gourgandine, prendre à pleine bouche la verge tendue de l'artiste aussi habile de la langue que du crayon. Elle s'en délecte et s'en remplit lui signifiant ainsi qu'elle s'offre à lui à la mesure du plaisir qu'il lui donne, qu'elle veut à son tour flatter ses désirs masculins et se délecter de sa queue aussi intensément qu'il a dégusté et fait vibrer son entre cuisses...
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#1822284
Sur la table de l'artiste, crayons et dessins rappellent que peu de temps auparavant, la belle posait, sourire léger et regard lointain, face à l'hôte concentré sur son trait, devisant sagement avec son modèle. La voilà qui maintenant se tend, se cabre, s'accroche, geint, gémit, souffle, glisse et s'écarte toujours plus pour le laisser dévorer le fruit de son intimité et le siège de son plaisir. Elle jouit de lui aussi profondément qu'elle restait à peine alanguie sur les dessins. L'inconfort de positions sur le canapé de leurs transes ne s'oppose en rien à sa jouissance et si elle pouvait elle glisserait encore d'avantage sous les coups de boutoir de la bouche de Jean.
ZèbreParis a liké
#1822597
Sur la table de l'artiste, crayons et dessins rappellent que peu de temps auparavant, la belle posait, sourire léger et regard lointain, face à l'hôte concentré sur son trait, devisant sagement avec son modèle. La voilà qui maintenant se tend, se cabre, s'accroche, geint, gémit, souffle, glisse et s'écarte toujours plus pour le laisser dévorer le fruit de son intimité et le siège de son plaisir. Elle jouit de lui aussi profondément qu'elle restait à peine alanguie sur les dessins. L'inconfort de positions sur le canapé de leurs transes ne s'oppose en rien à sa jouissance et si elle pouvait elle glisserait encore d'avantage sous les coups de boutoir de la bouche de Jean.
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#1822602
Il suffit de la contempler, le corps tendu comme un arc, les seins gonflés pointant vers le nirvana cunnilinguien, qui s'accroche au canapé comme la naufragée à l'esquif, ballotée par les vagues impétueuses de ce plaisir qui la sublime, pour en avoir les sens tourneboulés et la libido consumée par un feu licencieux. A ce stade, le photomateur demeure encore partagé entre l'envie de la rejoindre pour, en y prenant part, ajouter encore à son transport charnel et celle de prolonger l'émoi et demeurer spectateur comblé, ému et enivré par le spectacle voluptueux de son abandon...
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#1822609
Lâchant le canapé elle le tient si fort que pour un peu elle semblerait lui rompre le bras. C'est un corps qui n'est plus qu'un cri, une femme qui n'est que jouissance, des lèvres qui exhalent un plaisir trop grand pour tenir tout entier dans son corps. A l'acmé de sa jouissance, elle apparaît figée dans un spasme éternel qui suspend son souffle et éteint le cri éclatant de son orgasme.
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#1822613
Le spectacle finit par emporter la retenue du photomateur, et décuple soudain le désir de se joindre au ballet pour donner à la belle ce que sa bouche ample et vibrante appelle de ses désirs... Et la voilà douce femme, bouche pleine, sexe comblé et mains occupées...
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#1822632
dialaproposdelle a écrit :Elle l'a, elle la tient, elle la suce, l'avale, ne la lâche plus et s'en délecte avec ardeur et envie, déterminée à la sentir grossir et raidir sous a langue....


Quelle délicate attention pour le remercier du plaisir qu'il lui offre. :)
#1822634
dialaproposdelle a écrit :Le spectacle finit par emporter la retenue du photomateur, et décuple soudain le désir de se joindre au ballet pour donner à la belle ce que sa bouche ample et vibrante appelle de ses désirs... Et la voilà douce femme, bouche pleine, sexe comblé et mains occupées...


Fameux instant magique où l'on ne contrôle plus rien et on se laisse aller sans plus aucune arrière pensée de retenue... :)
#1823594
Tu as raison, instant magique, d'autant plus que le dessin me demande beaucoup de concentration, j'ai toujours la crainte que la séance de pose ne passe que pour un subterfuge pour faire se déshabiller ces jolies femmes :) alors que ce n'est, bien sur, pas du tout cela ;) et donc, quand je pose les crayons, une certaine tension se relâche ahah

Jeandéconcentréparfois
ZèbreParis a liké
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