Dans le style "journal intime", puisque c'est le thème de cette section :
Cher journal, hier ma belle n'est pas rentrée comme prévue de son travail, pas forcément inquiet mais curieux de savoir quand elle allait pouvoir rentrer car on avait des choses à faire, je lui passe un petit coup de fil... Elle décroche et s'excuse rapidement de ne pas avoir vu le temps passé. Je la trouve particulièrement enjouée pour une journée qui s'éternise au boulot, on plaisante un peu puis j'entend une voix d'homme derrière elle, visiblement assez heureux aussi qui m'indique en rigolant que c'est de sa faute, que c'est lui qui a retenu mon épouse en papotant. Je glisse à ma belle que puisqu'elle s'amuse bien elle peut en profiter et prendre son temps avant de rentrer, le sous-entendu potentiellement sexuel est assez clair dans mes propos pour qu'elle sente que le feu est au vert. La suite, je l'ai apprise plus tard, de la bouche de mon épouse.
Elle était en haut-parleur quand je l'ai appelée (ça je m'en doutais vu le son) et l'homme que j'avais entendu était un collègue de passage, qu'elle avait déjà croisé il y a quelques années et avec qui elle avait bien accroché. Ils étaient donc resté après les autres pour discuter, debout dans le couloir entre la salle café (et de réunion) et la sortie.
Après mon appel, son collègue a visiblement plaisanté sur le fait que mes mots pouvaient être mal interprétés... Et bien sûr après en avoir ri, elle a quand même laissé entendre plus clairement qu'elle serait OK pour s'amuser un peu moins sagement.

D'après ma chérie, il a été surpris et a demandé qu'elle confirme ce qu'il avait cru comprendre, ce qu'elle a fait ! Et comme il était encore apparemment un peu incrédule, elle m'a dit avoir approché sa main de sa braguette en le regardant droit dans les yeux et en le poussant dans la salle puis avoir senti sa queue grossir sous son jean. Il a alors compris que c'était vraiment OK et a commencé à lui caresser la poitrine à travers puis sous son haut. Une fois que sa main à lui est passé sous son haut, elle a elle-même ouvert le jean pour glisser sa main directement sur le sexe de son collègue. Il lui a ensuite retiré son haut et dégrafé son soutien-gorge. Elle me dit avoir bien rit intérieurement de se voir torse nue dans la salle café
Elle aurait alors décidé de se faire plaisir en le suçant, en s'installant à genoux devant lui. Elle m'a dit qu'il n'a pas tenu très longtemps avant de demander si il pouvait jouir et qu'elle lui a fait comprendre du regard et d'un mouvement de tête (toujours avec sa queue entre les lèvres m'a-t-elle précisé quand je lui ai demandé

) qu'il pouvait se lâcher. Il l'a fait quasiment sur le champ. Mon épouse m'a dit s'être appliquée à tout bien récupérer avec sa langue et sa bouche pour éviter toute trace suspecte sur le sol et s'être sentie plus coquine que jamais en ayant un rapport sur son lieu de travail (une première) avec un homme qu'elle connait à peine.
Une fois les réjouissances terminées, et comme elle selon ses dires plus envie de me retrouver que de discuter de ce qui venait de se passer avec son collègue, elle s'est assez vite rhabillée et l'a accompagné vers la sortie. Ils se sont quittés ainsi, avec une dernière main aux fesses a-t-elle pris soin de mentionner en espérant avoir l'occasion de se recroiser...
Du côté de mon épouse, elle se dit qu'ils verront bien, elle ne va pas chercher à provoquer une nouvelle rencontre (d'ailleurs elle n'a pas son numéro ni son mail même si elle pourrait facilement le récupérer) mais n'est pas contre remettre ça (ou un peu plus) si elle le recroisait un jour. En attendant, elle était très excitée et un fière de ce qu'elle venait de faire, pour mon plus grand bonheur (avec son récit et avec la suite de la soirée).
Bref, quand c'est pas prévu, que l'occasion se présente et qu'elle sait la saisir, c'est top ! Alors bien sûr, la règle classique visant à séparer le boulot et le sexe n'a pas été totalement respectée mais c'est un collègue assez éloigné, pas quelqu'un qu'elle va croiser régulièrement, et avec qui elle n'a quasiment pas de rapports si j'ose dire.