- Aujourd’hui, 13:58
#2885754
Ce soir, j’ai mis ma robe rouge. Celle qui moule mes hanches, dévoile juste assez pour faire fantasmer, mais pas trop. Pas de culotte. Juste moi, nue sous le tissu. J’ai prévenu mon homme : « Ce soir, tu me suis. Tu regardes. Tu te tais. Tu profites. »
Il aime ça. Ce rôle de cocu volontaire. Mon cocu d’amour. Il jouit de me voir prise. Et moi… j’adore lui montrer jusqu’où je peux aller pour le faire bander.
On entre dans la boîte libertine. Lumières tamisées, basses profondes, regards brûlants dans tous les coins. Les corps se frôlent, s’observent, se cherchent.
Puis je le vois.
Grand. Peau mate. Regard qui transperce. Il danse comme un dieu. Mouvements souples, hanches sûres, il a quelque chose de magnétique. Son torse est moulé dans une chemise ouverte. Je vois ses abdos, le bas de ses reins.
Il me regarde. Moi aussi. Le courant passe. Il sait. Je m’approche.
Je peux ? je lui souffle à l’oreille.
Il sourit.
Bien sûr… mais ton mec ?
Je souris à mon tour.
Il est là pour regarder.
Je l’emmène sur le canapé au fond, dans un coin éclairé juste ce qu’il faut pour qu’on ne rate rien. Mon homme s’assoit en face, silencieux. Déjà tendu, les yeux fixés sur moi.
Je monte à califourchon sur l’inconnu, face à mon homme. Je l’embrasse à pleine bouche, langue contre langue, salement. Je frotte mon sexe nu contre le jean de mon amant d’un soir. Il est dur, bien là. Il a envie. Il me déshabille de la robe sans même demander.
Je suis nue. Devant mon mec. Devant ce type que je ne connais pas mais qui va me baiser pendant que mon cocu regarde, impuissant et excité.
Il sort sa queue. Épaisse. Belle. Bandée à bloc.
Je m’en empale d’un coup. Sans prévenir. Sans honte. Mon cri résonne dans la pièce.
Putain oui… prends-moi… devant lui… regarde comme il me regarde…
Il me tient par la taille. Il me soulève, me fait rebondir sur sa bite. Mes seins sautent, mes fesses claquent. Je gémis fort. Je mouille comme une chienne. Mes yeux fixent ceux de mon homme.
T’aimes ça ? Me voir sur un autre ? Tu bandes ? Hein mon amour ? Tu me vois ? Je suis à lui là… complètement…
L’inconnu me retourne, me prend en levrette. Fort. Cru. Sa main me claque les fesses, il m’ouvre, il me détruit. Je crie son nom.
Oh oui… encore… devant lui… fais-moi jouir… prends tout…
Je jouis violemment, tremble, inondée, offerte. Et mon homme, en face, explose dans son frottement silencieux, les yeux fous, hypnotisé par la scène.
Quand tout est fini, l’inconnu se rhabille, me regarde une dernière fois.
Tu m’appelles si tu veux recommencer.
Je souris, nue, encore tremblante, et retourne m’asseoir à califourchon sur mon cocu d’amour.
Je l’embrasse langoureusement.
Maintenant… reprends ta femme.
Et il me prend, là, tout de suite. Comme s’il voulait m’effacer l’autre de l’intérieur.
F
Il aime ça. Ce rôle de cocu volontaire. Mon cocu d’amour. Il jouit de me voir prise. Et moi… j’adore lui montrer jusqu’où je peux aller pour le faire bander.
On entre dans la boîte libertine. Lumières tamisées, basses profondes, regards brûlants dans tous les coins. Les corps se frôlent, s’observent, se cherchent.
Puis je le vois.
Grand. Peau mate. Regard qui transperce. Il danse comme un dieu. Mouvements souples, hanches sûres, il a quelque chose de magnétique. Son torse est moulé dans une chemise ouverte. Je vois ses abdos, le bas de ses reins.
Il me regarde. Moi aussi. Le courant passe. Il sait. Je m’approche.
Je peux ? je lui souffle à l’oreille.
Il sourit.
Bien sûr… mais ton mec ?
Je souris à mon tour.
Il est là pour regarder.
Je l’emmène sur le canapé au fond, dans un coin éclairé juste ce qu’il faut pour qu’on ne rate rien. Mon homme s’assoit en face, silencieux. Déjà tendu, les yeux fixés sur moi.
Je monte à califourchon sur l’inconnu, face à mon homme. Je l’embrasse à pleine bouche, langue contre langue, salement. Je frotte mon sexe nu contre le jean de mon amant d’un soir. Il est dur, bien là. Il a envie. Il me déshabille de la robe sans même demander.
Je suis nue. Devant mon mec. Devant ce type que je ne connais pas mais qui va me baiser pendant que mon cocu regarde, impuissant et excité.
Il sort sa queue. Épaisse. Belle. Bandée à bloc.
Je m’en empale d’un coup. Sans prévenir. Sans honte. Mon cri résonne dans la pièce.
Putain oui… prends-moi… devant lui… regarde comme il me regarde…
Il me tient par la taille. Il me soulève, me fait rebondir sur sa bite. Mes seins sautent, mes fesses claquent. Je gémis fort. Je mouille comme une chienne. Mes yeux fixent ceux de mon homme.
T’aimes ça ? Me voir sur un autre ? Tu bandes ? Hein mon amour ? Tu me vois ? Je suis à lui là… complètement…
L’inconnu me retourne, me prend en levrette. Fort. Cru. Sa main me claque les fesses, il m’ouvre, il me détruit. Je crie son nom.
Oh oui… encore… devant lui… fais-moi jouir… prends tout…
Je jouis violemment, tremble, inondée, offerte. Et mon homme, en face, explose dans son frottement silencieux, les yeux fous, hypnotisé par la scène.
Quand tout est fini, l’inconnu se rhabille, me regarde une dernière fois.
Tu m’appelles si tu veux recommencer.
Je souris, nue, encore tremblante, et retourne m’asseoir à califourchon sur mon cocu d’amour.
Je l’embrasse langoureusement.
Maintenant… reprends ta femme.
Et il me prend, là, tout de suite. Comme s’il voulait m’effacer l’autre de l’intérieur.
F
