- 16 févr. 2011, 00:59
#235446
Tu as sans doute raison.
C'est Uto qui m'a entrainée vers le libertinage.
Je ne fais jamais semblant. Je ne jouissais pas quand nous faisions l'amour. Il faisait jouir la majeure partie de ses ex. Donc, nous avons consulté. Je suis tombée sur une psy idiote, qui m'a convaincue que j'étais frigide. J'ai de fait "autorisé" Uto à sortir avec d'autres filles. Cela me peinait vraiment et pour moins en souffrir je ne voulais rien savoir de ce qu'Uto faisait. Cela a duré quelques années ainsi, ou tout en nous aimant nous ne faisions rien ou presque rien au lit. J'avais évolué. Par la masturbation je jouissais. Seule, ou Uto me masturbait. Il se "vidait" en moi. Il avait autant de mal à supporter cette situation que moi même.
Une de ses "maitresses" l'a conseillé à mon propos et l'a entrainé dans un club échangiste pour qu'il voit de quoi il retournait. J'ai accepté ensuite de l'accompagner. Son idée était de m'exciter, de me décoincer. Cela m'a excité. Nous y sommes allé 4 ou 5 fois, je ne sais plus, à Paris où nous habitons. Je n'ai rien fait, lui non plus, mais cela m'avait excité. Uto me dit que les clubs ne l'excitent pas. S'il le dit, c'est vrai. Nous ne nous cachons jamais rien. Et puis nous y sommes allés à nouveau un mois d'été, à Nice où nous étions en vacances. Rien n'était réuni pour que cela fonctionne, mais le "miracle" s'est produit. J'ai baisé avec un couple. Comme une folle, comme je le fais maintenant après tant d'années d'expériences incessantes. En une soirée, en une nuit, je me suis transformée en "bête de sexe". Comme la chrysalide devient papillon ! Ce couple réunissait tout ce dont on peut rêver. La fille était belle à mourir. Une grande brune, mince, dorée par le soleil, avec beaucoup d'allure, un corps parfait, un visage superbe, ...et une baiseuse hors pair. Le mec était beau. Il n'avait qu'un défaut : je le trouvais un peu vulgaire physiquement, mais c'est un jugement social. Côté corps, top. Côté sexe, je n'avais vu ce type de sexe que dans les films porno qu'Uto me faisait regarder pour m'exciter. Maintenant que j'ai la capacité d'apprécier un sexe à 10 m, je dirai un bon 23x6 (et je rappelle aux garçons que pour mesurer leur kiki, la mesure se prend par le dessus...). Toujours est il qu'aucun homme ne m'avait introduit un tel sexe entre les jambes. J'avais connu avant Uto un seul mec, qui n'est guère mieux qu'Uto. Notez que 23 cm, c'est 10 cm de plus qu'Uto. Mais c'est la largeur qui compte et 6 c'est mieux que 3,5...C'est très bête mais ce mec m'a fait jouir devant sa femme qui m'embrassait moins de 3 minutes après m'avoir pénétrée. Une fois, deux fois, trois fois...
Non seulement je jouissais, mais plusieurs fois de suite. Après il m'a laissée avec sa femme et j'ai tout simplement adoré faire l'amour avec elle. Cela a été très intense avec elle, mais seul son mec m'a rebaisée...jusqu'à 6 heures du matin.
Depuis ce soir de juillet 1994, je suis devenue une accroc du libertinage. Et, Uto me fait un complexe. Le seul truc qui l'excite c'est quand je fais l'amour. C'est rare. Je dirai que Jean Jacques est tombé au bon moment. Comme je l'ai déjà dit cela me gêne, un peu, mais il est vrai qu'Uto bande raide quand il me regarde jouir avec Jean Jacques. Je ne sais pas pourquoi, et Uto non plus, une telle excitation nous emporte lui et moi (Jean Jacques est plus indifférent). Je m'offre totalement à Jean Jacques, qui (en plus il est très productif) m'inonde vraiment le minou de son foutre. Il m'éjacule dans la bouche, et j'adore, alors qu'Uto m'a éjaculé une seule fois dans la bouche depuis qu'on se connait (nous étions ados...). Un curieux et troublant sentiment de partage se crée entre Jean Jacques et Uto. De mon côté, et mon mari est vraiment un amour, je me sens totalement libre. Aucun reproche, aucun jugement, au contraire, Uto me sert de "garant" vis à vis des enfants, tant et si bien que j'arrive parfois à passer une nuit complète avec Jean Jacques.
Tout ceci est vraiment étrange, mais pour l'instant que ce soit le libertinage qui m'a fait rencontrer un nombre délirant de partenaires féminines ou masculins, ou le "candaulisme" (qu'en fait nous pratiquions sans le savoir, comme M. Jourdain faisait de la prose sans le savoir), cette situation me convient parfaitement.
J'adore, et comme j'aime être maîtresse de mon destin, je me dis que je pourrai arrêter quand je veux !
Uta