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A cet endroit particulier et réservé du forum cando, qui est entièrement dédié aux récits et aux confidences intimes des membres les plus libertins, vous avez la possibilité de partager et de raconter avec force détails toutes vos expériences candaulistes les plus débridées ainsi que vos aventures libertines les plus folles vécues dans le cadre du candaulisme et du cuckolding.

N'hésitez pas à relater de manière très descriptive auprès de notre communauté d'initiés les différentes rencontres torrides et les multiples expériences sensuelles que vous avez pu réaliser au fil du temps, les mises en situations complètement déjantées, les plans candau endiablés avec des hommes seuls en quête de plaisirs charnels, bref, faites-nous profiter de toutes vos petites histoires coquines, de vos anecdotes les plus intimes et de vos fantasmes les plus fous.

Partagez sans retenue toutes ces instants de débauche qui font votre bonheur et votre épanouissement sexuel. Plongez-nous dans l'ambiance de ces parenthèses enchantées. Faites-nous sentir, goûter et ressentir la magie de ces moments d'extase. Révélez-nous les moindres détails de vos ébats d'une nuit et de vos étreintes les plus sauvages. Bref, nous sommes en attente de tous vos récits candaulistes les plus osés et de toutes vos histoires libertines vécues dans le domaine du candaulisme et du cuckolding.

Nous sommes à votre écoute et attendons avec impatience de pouvoir lire vos confidences les plus coquines ici même !
#760321
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Vous trouverez ici le concours de septembre 2011. votez-pour-la-meilleure-des-histoires-2011-09-t30318.html

La liste sera mise à jour au fur et à mesure que des histoires seront publié sur notre forum (voir Mode d'emploi pour faire une histoire ecrivez-une-histoire-mode-d-emploi-t30317.html )

à vos crayons et à votre imagination candauliste.

Indiquez sur ce post les histoires que vous avez rédigé et que vous voulez que nous listions.
Mettez le lien et non pas l'histoire en entier.
par preteur3869
#774879
Ce soir là, je suis invité à jouer aux cartes et ma femme pour une fois, a décidé de m’accompagner. Nous jouons au tarot à 4 et je lui précise que c’est sérieux et qu’elle ferait mieux d’emmener un livre car elle ne jouera pas et risque de s’ennuyer ferme.
Nous jouons ensemble depuis quelques temps le mise n’est pas importante mais cela permet de pimenter un peu le jeu et de se payer un restaurant en fin d’année.
Ma femme arrive et je me dit que certains de mes compères vont avoir du mal à se concentrer sur les cartes, car elle porte un tailleur dont la jupe a une fâcheuse tendance a découvrir ses cuisses au-delà du raisonnable lorsqu’elle est assise, si en plus comme elle en a l’habitude, elle est plongée dans sa lecture, elle ne se donnera pas la peine de la redescendre simplement car elle ne fait pas attention a ce qu’elle pourrait montrer quand elle est concentrée, bien qu’elle ne soit pas exhibitionniste.
Ses jambes sont gainées de nylon et comme je sais qu’elle déteste les bas qui tiennent seuls et les collants, je me dis qu’elle a mis une guêpière ou un porte jarretelles. Un simple coup d’œil sur la veste du tailleur me confirme la guêpière, elle n’a fermé qu’un bouton sur les 3 et j’ai reconnu le satin bleu de celle qu’elle préfère. Elle met des escarpins vernis à hauts talons pour compléter la tenue.
Je lui demande si elle a décidé d’affoler mes amis et elle me répond que quand elle sort elle aime se sentir belle et désirée et me rendre jaloux aussi par la même occasion. Nous aimons lors de nos discussions du soir évoquer le fait qu’elle fasse l’amour avec un ou plusieurs autres hommes en ma présence et avec ma participation mais le pas n’a jamais été franchi, et pourtant je sais que plusieurs de mes relations lui ont fait des propositions très précises sur une relation sexuelle.
Nous partons donc chez Alain, l’homme qui nous reçoit à l’occasion de cette partie de cartes, il est seul pour l’instant car nous sommes en avance, et après avoir embrassé ma femme il la félicite pour sa tenue, mais il lui conseille de se tenir dans une autre pièce quand la partie va commencer sinon je serais avantagé et il n’en est pas question.
Pour l’occasion il sort une bouteille de champagne et nous nous installons sur le canapé de son pour nous désaltérer en attendant les 2 autres hommes qui doivent arriver sous peu. Comme je l’ai écrit précédemment la coquine jupe de ma femme fait un défi à la gravité et remonte sur ses cuisses, comme elle n’est pas occupée par ailleurs elle commence son combat pour la faire rester sous la limite de ses bas. Notre hôte, un homme qui adore les femmes, qui est placé en face d’elle a vite compris qu’elle ne portait pas un collant.
Le troisième de nos acolytes sonne à la porte, notre hôte va ouvrir, et je dis à ma femme que j’avais raison concernant l’affolement qu’elle allait semer parmi les hommes présents ce soir.
Notre troisième larron, Patrick, me félicite d’avoir amené ma femme car une présence féminine surtout d’une jolie femme est toujours plaisante, même si l’atmosphère érotique qui se dégage de sa tenue peut influer sur le résultat de la partie, c’est un homme qui a déjà fait des propositions à ma femme et qui sait qu’elle porte des dessous sexy.
Il me demande de me mettre ailleurs et s’installe sans façons a coté de ma femme faisant signe à l’autre de se mettre de l’autre coté de ma femme sur le canapé, tout en me disant qu’il a bien le droit de profiter lui aussi de la seule présence intéressante de cette soirée, en attendant le début de la partie.
Maintenant ma femme à une coupe dans la main et une cigarette dans l’autre, bien entendu dans ce cas, elle renonce à tirer sur la jupe et les deux mecs voient que ses bas noirs sont tenus par des jarretelles bleues, elle pose sa cigarette et tire un peu sur la jupe, Alain lui dit qu’elle a tort de le priver de cette charmante vue et qu’il voudrait qu’elle laisse cela comme c’est, si je suis d’accord bien entend. Ma femme a un tempérament très docile et Alain en chef d’entreprise a une autorité naturelle, elle laisse donc les choses en l’état pour qu’il puisse admirer tranquillement, car j’ai fait signe qu’elle pouvait laisser les choses comme elles étaient.
Nous attendons depuis près d’un quart d’heure quand le téléphone sonne, notre quatrième a un empêchement et ne pourra venir jouer avec nous, il raccroche après s’être excusé, et bien dis-je aux autre on fait quoi.
Alain me propose de jouer avec ma femme, immédiatement me vient a l’esprit ma douce Sylvie prise comme une chienne pas mes 2 amis, mais il précise au tarot si bien entendu, elle sait jouer. Je leur dit elle sait jouer mais pas très bien par contre il lui arrive d’être chanceuse et ça énerve certains.
Nous nous plaçons, ma femme entre les deux hommes et moi en face, la partie commence les tours sont relativement équilibrés et ma femme n’a jamais pris jusqu'à présent. Premier tour ou elle prend le chien est royal et elle nous atomise, a partir de ce moment là un calvaire à chaque tour elle prend et elle nous martyrise, au bout d’une heure de jeu pénible pour les hommes, Alain la regarde et demande si elle a mis une culotte car pour avoir un jeu comme ça il faut qu’elle ait le cul nul.
Sylvie rougit sous la demande, car même si elle s’habille sexy il lui reste toujours une timidité qui pour moi est charmante. Elle ne répond pas et nous faisons un nouveau tour qui est un désastre absolu pour nos fiertés masculines.
Alain la regarde droit dans les yeux et cette fois il dit qu’il exige de savoir si elle a une culotte ou un string ou quoi que ce soit d’autre couvre son sexe, et il veut une réponse maintenant. Elle baisse les yeux et lui réponds qu’elle porte un minuscule string, si mini que peut-être il ne compte pas.
Patrick s’y met alors et demande à ma femme de montrer pour prouver qu’elle porte bien quelque chose, Sylvie me regarde et j’accède à la demande de mon ami. Elle se lève et remonte sa jupe, découvrant un minuscule string bleu, Alain lui demande de tourner sur elle-même pour prouver que c’est bien un string, sans me demander mon approbation elle se tourne lentement et montre ses fesses se penchant légèrement pour montrer que la ficelle est dans la raie de ses fesses.
Alain lui ordonne de na pas bouger et me demande si il peut la punir pour son insolente chance au jeu, je lui dit que pour l’instant c’est peut être excessif mais si ça continue elle sera punie c’est sur. Patrick dit alors que si elle gagne encore une fois elle retirera son string, qu’au moins le fait qu’elle ait de la chance lui apporte un peu de plaisir aussi. Comme nous somme tous d’accord, elle baisse sa jupe et la partie reprend son cours.
Il se passe trois ou quatre tours sans que personne ne prenne mais ma femme contrairement à son habitude ne montre pas son jeu, à la donne suivante, Alain demande a ma femme de montrer son jeu car il a un doute sur le fait qu’elle passe alors que nous n’avons rien.
Nous nous rendons compte alors qu’elle avait largement de quoi nous humilier encore et qu’elle a passé volontairement. Elle sait qu’elle a fauté, sans qu’on lui demande, restant assise elle tente d’enlever sa culotte, Alain la stoppe et lui dit de se lever et de soulever sa jupe pour ôter son string en guise de punition pour sa tentative maladroite d’éviter ce qui doit lui arriver.
L’atmosphère est un peu plus lourde, je me mets a transpirer, va-t-elle accepter ce qu’on lui demande ou dois-je stopper les choses avant qu’elle n’aillent trop loin. Des hommes l’ont déjà vu très peu vêtue, mais c’était sur la plage et en plus de parfaits inconnus, là il s’agit de personnes qui nous connaissent depuis des années et avec je ne voudrais pas que nos relation changent.
Toutes ces questions se bousculent dans ma tête a toute vitesse et même si le temps sembla passer plus lentement, je vois ma femme relever à nouveau sa jupe, Patrick lui demande alors si elle doit détacher ses, mais Alain que est un habitué lui précise qu’elle porte son slip comme une jolie salope, elle rougit sous le mot cru et semble hésiter a nouveau.
La voie d’Alain claque alors comme un fouet :
- allons dépêche toi la partie n’est finie, enlève ce bout de tissu
Sylvie s’exécute alors, un peu honteuse, elle passe les doigts dans l’élastique de son slip et commence à le faire glisser lentement, Patrick transpire légèrement et passe sa langue sur ses lèvres, son pantalon, de même de celui d’Alain laissent apparaitre une bosse significative.
Enfin le bout de tissu tombe par terre, elle le ramasse et baisse sa jupe, les 2 hommes ont eut le temps de voir que son sexe est glabre, Alain me dit que c’est une bonne initiative qu’elle soit épilée intégralement, lui il adore ça, Patrick est un peu surpris car il n’en avait pas vu en vrai jusqu’à présent.
Alain propose de boire un verre pour nous remettre de ces émotions, nous retournons donc au salon pour nous désaltérer, il va dans la cuisine et ma femme s’installe dans le canapé avec Patrick à ses côtés, pour ma part je me mets dans le fauteuil pour laisser à Alain le loisir de se placer à coté de ma femme.
Personne ne parle et ma femme allume une cigarette, elle laisse la jupe montrer ses jambes sans aucune gêne, vu ce qu’elle a accepté de faire juste avant il est vrai que ce n’est rien.
Patrick prend une initiative assez hardie et je me demande comment va réagir ma femme, comme je l’ai écrit tout a l’heure, sa veste de tailleur ne tient pas un bouton, tranquillement il détache le bouton et écarte les pans de la veste pour découvrir sa guêpière, il est un peu néophyte et demande à ma femme comme elle met ça.
Elle lui dit qu’il y a des agrafes dans le dos que ça s’attache comme un soutien gorge mais sur plus d’agrafes, donc en fait ca sert tout le torse et ça évite de mettre un porte jarretelles. Ce doit être joli sur toi, commente Alain en revenant avec une nouvelle bouteille de champagne, ce serait bien que tu le lèves et que tu te mettes à l’aise pour que nous profitions de toi maintenant.
Sylvie se lève et retire sa veste, ensuite elle défait le bouton de sa jupe et descend la fermeture éclair, puis fait tomber sa jupe à terre, je la trouve terriblement excitante, ainsi dévêtue et je ne suis pas le seul. Patrick passe derrière elle et sors ses seins de la guêpière pour les malaxer avec douceur, faisant saillir les pointes sous ses doigts.
Alain se plante devant elle et lui roule une pelle, elle écarte les jambes pour le laisser fouiller son intimité, je reste assis et je regarde ayant un peu de mal à croire que ma femme soit aussi cochonne avec des amis. Je la vois se cambrer sous les caresses des 2 hommes, je la connais bien et elle prend du plaisir, le fait que je sois là doit jouer aussi. Elle tente de défaire le pantalon d’Alain mais n’y arrive et il se décide à l’aider, il se retrouve en caleçon et elle prend le sexe à travers le tissu le branlant doucement
Patric entreprend de se déshabiller et Alain fait reculer ma femme vers le canapé, elle s’y assoit et se retrouve avec le membre tendu à l’extrême devant sa bouche. Elle le dégage délicatement du tissu et le prend dans sa bouche. Il faut savoir que ma femme n’a jamais une grande passion pour la fellation, mais quand je vois le sexe de mon ami dans sa bouche, je prends une érection assez formidable.
Elle me suce rarement mais quand elle le fait c’est a fond, el la je la vois mettre le nez dans les poils du pubis d’Alain avalant tout le sexe puis elle le ressort et recommence, massant doucement les testicules avec ses doigts, Patrick est nu lui aussi et il a bien envie aussi de se faire sucer par ma cochonne.
Sylvie se retrouve donc avec un sexe dans chaque main et se fait un devoir de les sucer alternativement, Patrick l’oblige à le garder au fond de sa gorge en lui tenant la tête. Elle suffoque un peu et je dois intervenir pour lui dire de rester dans les limites de la bienséance.
Elle continue de les sucer tout les deux Alain aussi s’est mis nu, il me dit qu’il y a longtemps qu’il avait envie de baiser ma femme et que ce soir il va en profiter et que notre amitié n’a rien à craindre.
Il l’allonge sur le canapé et elle écarte les cuisses pour qu’il puisse accéder a son intimité. Patrick s’installe au dessus d’elle pour qu’elle puisse continuer a le sucer pendant qu’Alain s’occupe d’elle, il est assez vicieux et elle doit lui lécher les couilles et l’anus de temps en temps pendant la fellation.
Alain a introduit plusieurs doigts dans le sexe de ma femme et il la pistonne a fond l’obligeant à remuer le bassin dans tous les sens manifestant son plaisir par de petits cris que je connais bien. Patrick n’en peut plus et je vois ma femme faire une chose qu’elle n’aime vraiment, il lui décharge son sperme dans la bouche et elle doit tout avaler, pourtant elle le fait sans rien dire soumise par le plaisir des mâles.
Ayant maintenant un peu plus de place, puisque Patrick a prit son plaisir et qu’il boit une coupe de champagne. Elle reprend en main le sexe d’Alain pour le ramener a des proportions qui lui permettrons de prendre son plaisir, celui-ci poursuit son avantage et a désormais 4 doigts dans le sexe de mon épouse qui mouille comme jamais.
Il enfile un préservatif et elle reprend en bouche pour le faire bander très dur comme elle aime. Il la met en levrette et la pénètre d’un seul coup de reins, entrant son sexe jusqu'à la garde dans le sexe ruisselant de ma douce épouse, puis il commence a la limer furieusement, la tenant aux hanches pour mieux la travailler au corps, Patrick se remet en position pour se faire à nouveau sucer mais elle est tellement remuée dans tous les sens par les coups de bite qu’elle peut pas le faire. Alain accélère encore la cadence et ma femme jouit une première fois cela déclenche la jouissance d’Alain qui la retourne pour lui jouir dans la bouche et tune nouvelle fois elle avale tout, je me dis et bien ma femme est une belle salope quand même.
Patrick souhaite se faire sucer à nouveau mais elle demande une pause pour boire un peu et prendre le temps de fumer une cigarette, il faut qu’elle se remette de ses émotions quand même.
Elle fume donc allongée sur les 2 hommes qui sont assis sur le canapé, Alain lui caresse les seins tordant les tétons pour les faire bander et Patrick investit doucement sa chatte d’un doigt et tire sur les lèvres du sexe provoquant des mouvements du bassin qui montrent qu’elle est très réceptive aux initiatives des 2 compères.
Alain saisit son sexe et lui tapote la joue avec, lui indiquant ce qu’elle doit faire maintenant que sa cigarette est finie. Elle se retourne pour pouvoir prendre le sexe en bouche et de ce fait présente ses fesses cambrées à la main libre de Patrick, l’une d’elle fouille son sexe, de sa main libre, il lui assène une petite claque sur le cul, elle ne dit rien alors il recommence un peu plus fort. En réaction elle soulève les fesses comme si elle en voulait plus encore.
Il lui caresse les fesses avec douceur, ma femme a une peau d’une douceur rare et c’est un plaisir que de lui caresser les fesses et il m’est arrivé quelques fois, à moi aussi, d’avoir l’occasion de lui claquer les fesses.
Elle suce Alain a fond avalant entièrement le sexe puis faisant courir sa langue sur le gland qu’elle a décalotté, ensuite elle mordille, elle aspire, puis reprend complètement en bouche, le visage et les soupirs d’Alain dont la queue a repris toute sa vigueur, montre qu’il apprécie la caresse buccale qu’il reçoit.
Patrick est plus vicieux, il caresse les globes fessiers, puis il assène 2 ou 3 claques qui résonnent dans la pièce comme des coups de fusil, elle tressaute à chaque fois, mais elle ne dit rien, stoïque sous la punition, qu’après tout elle a mérité pour sa chance insolente. Maintenant qu’elle m’a fait cocu et avec deux hommes je devrais avoir un peu plus de chance au jeu je pense.
La main qui s’occupait de son sexe, remonte entre les fesses pour aller taquiner son petit anneau étoilé, il passe son index dessus appuyant modérément pour voir la résistance à son intrusion. Il enfonce son doigt dans l’anus de ma femme, celle-ci s’est complètement abandonnée et a décidé de tout subir de ses 2 amants d’un soir.
Son cul est désormais bien rouge, car Alain a pris la relève et ses coups sont franchement plus appuyés que ceux de Patrick, celui-ci poursuit son travail de sape et elle a maintenant 3 de ses doigts dans le cul et il pousse pour les faire entrer entièrement, préparant la sodomie qu’elle va bientôt subir.
Alain se lâche et elle subit une punition en règle, las claques pleuvent mais elle continue de le sucer, et il est obligé de lui prendre la tête pour qu’elle arrête, car il est bien décidé à la baiser une seconde fois.
Elle se lève et frotte ses couvertes de marques de doigts de ses deux tortionnaires et amants. Alain se met en place elle attend qu’il enfile son préservatif et que son sexe reprenne la dureté nécessaire à une bonne pénétration, dès que cela est elle s’empale sur le sexe jusqu’aux couilles et se plaque contre lui offrant son anus a Patrick qui n’attend que ça.
Alain lui roule une pelle pendant que Patrick se met en position, il place le gland face au petit orifice et pénètre lentement dans le fondement de ma femme, les poings de celle-ci agrippent le canapé, mais elle ne dit rien et la hampe raidie poursuit son introduction, le gland vient de passer, le sexe de son enculeur est plutôt épais, et même une fois le gland passé Patrick doit pousser fort pour entrer dans son anus.
Arrivé à mi bite, il se retire une, il l’a saisie aux hanches, et d’une seule poussée il l’encule a fond, une petite pause et enfin ils commencent à effectuer les mouvements de va et vient nécessaires à la jouissance.
Je me suis aussi déshabillé et je bande fort comme les autres devant ma femelle déchainée, elle est prise en sandwiches mais sa bouche est libre, je lui présente mon sexe et malgré les soubresauts que lui imposent les 2 mâles elle me suce comme jamais. Dans le même temps je sens une main baladeuse se poser sur mes fesses, c’est ce coquin d’Alain qui se permet une privauté, au point où on est je le laisse faire si cela lui fait plaisir.
Il se rapproche de ma femme et elle lâche mon sexe pour l’embrasser a pleine bouche, sa main et ses doigts se font plus précis sur un endroit de ma personne que même ma femme n’a jamais touché. Mon sexe est a quelques centimètres de leurs langues emmêlées, ma femme arrête de l’embrasser et passe sa langue sur mon gland, bientôt rejointe par celle d’Alain et ils commencent à me sucer ensemble.
Bon la soirée est spéciale, c’est une finale de coupe de monde au stade de France me dis-je on n’en voit qu’une dans sa vie, donc je me laisse faire, ils me sucent et Alain force le passage de mon petit trou. Je suis surpris de ne pas avoir mal et au final j’apprécie la caresse.
Maintenant c’est Alain tout seul qui me donne une fellation, ma femme s’est éloignée et Patrick l’encule comme un fou lui tirant des cris de plaisir. Il me suce et ses doigts travaillent mon anus. Il se lève et me met a en levrette sur le canapé, et là je me laisse faire j’ai mal et je lui dis mais rien à faire il m’encule jusqu’au bout et ensuite la douleur s’estompe et il lime comme un fou, ma femme s’est rapprochée et elle me suce la bite.
Finalement il explose dans mes entrailles, celui-ci déclenche une onde de plaisir dans mes reins et je crache toute ma semence dans la bouche de ma femme, tandis que Patrick lui jouit longuement sur les fesses.
Chacun se pose comme il peut ou il se trouve, Alain est le premier à réagir et il propose une nouvelle bouteille de champagne pour retrouver nos esprits. Il nous propose de dormir chez lui, avec ce que nous avons bu ce serait plus prudent, Patrick n’habite pas loin il se rhabille et rentre chez lui, nous acceptons l’invitation à rester pour finir la nuit demain sera un autre jour. Nous déciderons de notre relation à trois tant il semble évident qu’il va devenir bien plus qu’un ami occasionnel.
#777175
« Tu verras, m’avait dit Henri, mon mari, Mr Malherbes est quelqu’un de très intéressant, et puis, s’il nous a invité en week end c’est sûrement pour annoncer ma nomination au poste de cadre .
D’ailleurs il y aura les 4 autres responsables et le directeur général Daimon»
Je savais à quel point cette promotion comptait pour mon mari. J’avais réfléchit à ma tenue pour le repas d’arrivée et avais finalement opté pour un chemisier blanc avec un tailleur gris foncé, jupe plissée s’arrêtant au dessus du genou ce qui me permit de mettre des bas ”top”.
-Tu verras ils sont tous charmants, parfois un peu entreprenant avec les femmes, mais je te laisse juge. S’ils vont trop loin, n’hésite pas à les arrêter, ajouta Henri, cette précision me décontenança un peu.
En arrivant à la résidence de Mr Malherbes, Léonore, la femme de chambre nous avait montré notre chambre.
Le repas s’était déroulé parfaitement, une vaste salle à manger, des plats fins, du très bon vin, d’ailleurs j’en avais peut être un peu trop bu.
J’étais assise entre Paul et Christian, en face de moi, Philippe Daimon encadré de Michel et Jean-Charles, à un bout de la table Mr Malherbes, à l’autre bout mon mari.
Au moment où étaient servis les desserts, je sentis sur mon genou droit la main de Paul, je me raidis mais ne bronchai pas, le vin peut être. Puis ce fut au tour de Christian de passer la main sur ma cuisse gauche. Le temps de réaliser, les deux hommes entamaient sur mes cuisses un ballet de caresses. Interloquée je regardai mon mari, il était trop occupé à discuter.
Enhardis par l’absence de réaction. Ils écartèrent chacun une des mes jambes afin d’avoir accès à mon sexe au travers de ma culotte.
C’était délicieux. Les deux hommes me caressaient avec douceur et fermeté, allant et venant sur mon clitoris, j’éprouvais un peu de honte mais sentais monter le plaisir. Il fallait arrêter cela sinon tout le monde se rendrait compte, j’avais remarqué, déjà, les sourires de Philippe en face de moi, se doutait il de quelque chose ?
-Excusez moi je dois me lever, les commodités s’il vous plait, articulai-je en regardant Malherbes.
-Bien sur, répondit il, mais nous avons un petit souci d’éclairage dans le couloir, Philippe voulez vous accompagner Madame.
En chemin Philippe me glissa à l’oreille :”Paul et Christian sont des experts, n’est ce pas ??”
Je le regardai d’un œil rond mais ne répondis rien ;
Arrivés aux toilettes, il me dit:” la porte ne ferme pas, mais ne vous inquiétez pas je reste devant.”

Je m’assis et baissai ma culotte sur les chevilles.
Je n’avais absolument pas envie de faire pipi, c’était juste un prétexte pour me lever de table.
C’est à ce moment que Philippe ouvrit la porte, me regarda fixement,
J’étais pétrifiée, il s’agenouilla, ouvrit mon chemisier, glissa la paume de sa main droite sur mon soutien-gorge en effleurant les tétons; je restai sans voix devant tant d’audace. Sans un mot il prit ma culotte, puis la mit dans la poche droite de sa veste.
-En souvenir, dit-il.
Puis il se pencha sur moi et m’embrassa en me caressant les seins, je lui rendis son baiser en glissant la langue dans sa bouche. Il prit ma main et la posa sur sa braguette, je sentais la queue qui se durcissait et cela m’excita encore plus.
-Retournons à table, ils vont nous attendre;
J’aurais eu envie qu’il me prenne immédiatement mais j’étais là, à obéir aux ordres.
Comme s’il avait deviné mes pensées, il me dit, en passant la main sous ma jupe et flattant mes fesses: “ la soirée ne fait que débuter”.
Dès que je fus assise, les deux mains de Paul et Christian m’écartèrent à nouveau et recommencèrent à me caresser, cette fois la culotte ne faisait plus obstacle et les doigts pouvaient s’introduire dans mon intimité. La chaleur de ces explorations me submergea et je sentis, à nouveau l’orgasme monter.
Les caresses redoublaient, ma chatte s’attendrissait sous les doigts, des spasmes contractant mon ventre déferlèrent, mon sexe me brulait, la tête me tournait, enfin le plaisir arriva, je fis tous les efforts pour le cacher mais tous les convives, sauf mon mari, s’en aperçurent. Cela avait été fabuleux.
Je restai pantelante mais pas rassasiée, la situation était trop excitante, y aurait-il une suite???
Je n’attendais pas longtemps la réponse. Les domestiques furent, alors, congédiés.
En face de moi, Philippe fit tomber sa serviette et se baissa pour la rechercher, j’imaginai la vision qu’il avait, mes cuisses maintenues ouvertes par les mains puissantes et ma chatte offerte sous la table, je me sentais délicieusement humiliée par la situation.
- Une liqueur ? demanda Mr Malherbes qui n’avait rien perdu de la situation.
Jean Claude (un grand métisse, directeur du marketing) parla pour tout le monde en disant que c’était une excellente idée. Puis il rajouta :
“Je crois que Philippe est en train de se servir.”
Immédiatement, je fus parcouru par un frisson, la langue du directeur général commençait à me lécher l’entrecuisse, les mains m’avaient lâchée mais je gardai mes jambes grandes ouvertes pour recevoir les assauts de la bouche gourmande. Ensuite se furent les doigts qui entrouvrirent mes petites lèvres pour se frayer un chemin dans mon vagin.
Je m’aperçus que tous les invités me fixaient, mon mari fit semblant de ne pas comprendre, ne sachant quelle attitude adopter.
- Une liqueur, Madame ?? répéta Mr Malherbes.
J’étais trop à mon plaisir pour répondre.
-Servez là Michel s’il vous plait ! dit-il sur un ton qui n’acceptait aucune contradiction. Je compris, alors que Mr Malherbes, le PDG prenait la direction de ce qui allait se passer, je regardai mon mari. Michel s’assit sur la table face à moi baissa pantalon et slip pour laisser jaillir son membre de belle dimension, en érection. Je tournai la tête à nouveau vers Henri, qui commençait à se lever, mais Jean Charles en posant ses mains fermement sur les épaules de mon mari l’obligea à se rassoir.
-Ne privez pas votre femme du plaisir de vous aider dans votre accession à un nouveau poste au sein de notre entreprise, dit Mr Malherbes d’une voix autoritaire, on sentait qu’on ne pouvait résister au pouvoir de cet homme.
Henri s’effondra sur la chaise.
Michel pressa le gland sur ma bouche que je n’ouvris pas de suite, mais en sentant le sexe qui perlait d’un liquide transparent je ne pu ne résister.
Sous la table, Philippe passait sur mon point G des doigts habiles en léchant de plus en plus fort mon clitoris, je voulu saisir la queue pour la masturber dans ma bouche mais mes mains furent attrapées et posées sur les queues de Paul et Christian qui en avaient profité, eux aussi, pour descendre slip et pantalon. Je me mis alors à les branler avec frénésie.

Jean Charles était passé derrière moi, avait ouvert mon chemisier et passé les mains dans mon soutien-gorge dont il extrayait avec sensualité les mamelons pour les caresser puis les pétrir. L’excitation les lui fit même pincer ce qui provoqua en moi une décharge électrique annonciatrice d’un nouvel orgasme.
La queue de Michel gonflait dans ma bouche, par moment, les mains sur ma tête, il en profitait pour accélérer ou ralentir le mouvement. Seuls les gémissements de plaisir des uns et des autres déchiraient l’atmosphère chargée de sexualité et d’odeurs d’homme en rut.
Mr Malherbes observait la scène, visiblement heureux de l’indécence des attitudes. Ses employés rivalisaient d’audace dans leur possession de mon corps c’était à celui qui me dominerait le plus, celui qui me dirait le plus d’obscénités:
-Allez sucez salope! Je suis sûr que vous adorez ça dit Michel.
-Je vais vous gicler sur la main et vous lécherez vos doigts. Renchérit Paul.
Mon mari, anéanti, avait un air hébété. Quand le premier jet chaud frappa mon palais, je faillis jouir, Michel se recula et un nouveau jet m’atterrit au milieu des seins.
Ma bouche débordait de sperme, Jean Charles le voyant s’excita encore et me lâcha les seins pour, à son tour, laisser glisser slip et pantalon. Je découvris alors une bite surdimensionnée, j’en eus de suite envie.
C’est alors que je sentis dans ma main gauche le sperme de Paul me couler au milieu des doigts et je me vis comme dans un film pornographique:
Un homme qui me masturbait, deux hommes que je branlais, dont un venait d’éjaculer sur sa main, un autre venait de me remplir la bouche et d’éclabousser mes seins, ce grand métisse avec sa bite prête à se dresser, le tout sous le regard du directeur orchestrant cette orgie devant mon mari.

Ces images conjuguées aux caresses de Philippe sous la table déclenchèrent un orgasme qui ne semblait pas devoir s’arrêter, mon corps était en feu, ma chatte s’attendrissait, mes chairs s’ouvraient et réclamaient plus de sexe ; après de longues minutes je me calmai, ce qui me déçu car elle je n’en avais pas eu assez.
Jean Charles la prit dans les bras et m’allongea sur la table, la jupe relevée, les jambes écartées, la poitrine sortie de mon soutien gorge les six hommes pouvaient se repaitre de moi, je n’attendais que cela.
Philippe et Jean Charles montèrent sur la table. Pendant que le premier se mit au dessus de moi en enfonçant la queue dans ma bouche, le deuxième s’agenouilla devant moi, Christian qui n’avait pas encore jouit mit le sexe dans ma main . Je débutai alors, une très obscène fellation sur Philippe, lui léchant le gland, les testicules, l’anus, allant jusqu’à introduire les doigts de ma main libre dans le cul du directeur général, provoquant, chez lui, des soupirs de contentement.
Jean Charles commença à introduire son énorme bite dans ma chatte, je me mis à crier de bonheur.
-Baise la plus fort elle n’attend que ça souffla Philippe.
-Oh oui baisez moi tous, murmurai-je prise par les jeux de l’impudeur.
On veut vous entendre le dire, demanda Mr Malherbes affirmant un peu plus son pouvoir sur tous les acteurs du repas.
-Oh Oui Monsieur, demandez leurs de me baiser à fond articulai-je dans un cri étranglé par l’excitation.
Cet encouragement libéra la bestialité des hommes.
Les puissants coups de reins m’arrachaient à chaque fois un gémissement, c’est Christian qui éjacula en premier, le jet de sperme fouetta mon sein gauche, en recouvrant la moitié et le téton. En continuant ma fellation je recueilli de ma main le précieux liquide et le léchai avec délectation devant les hommes que cette vision affolèrent.
C’était ce que je voulais. Les va-et-vient de Jean Charles se firent plus sauvage, il grogna en se reculant et gicla sur mon ventre à flots laiteux et abondants.
Encore une fois je pris le sperme et m’en badigeonnai les doigts puis la bouche.
Philippe devint fou de désir, il me retourna, me mit à quatre pattes. Dans cette position j’offrais ma croupe à qui la voulait.
Je restais là ouverte au bon plaisir de Malherbes qui ne ratait rien du spectacle, hochant la tête en signe d’approbation aux phantasmes des collaborateurs.
Je ne pouvais que souffrir de mon sexe en feu et appeler les bites en érection à me posséder.
Philippe fut le premier à me saisir. Il écarta mes fesses et lécha goulument mon entrecuisse allant de ma chatte à mon anus. Il ouvrit ainsi ma vulve, cette position permettait aux hommes autour de la table d’avoir une vue plongeante sur mon intimité. Il me masturbait avec application provocant des vagues mouillées dans mon ventre. Il en recueillait le liquide avec un ou deux doigts introduits dans mon vagin. Il s’attarda encore de façon à me maintenir au bord de l’orgasme.

-Pourquoi cette torture ? Prenez moi encore suppliai-je
-Pour vous soumettre totalement ma chère, répondit Mr Malherbes qui profitait de sa position pour détailler mes formes.
- Vous vous comportez comme une chienne et j’aime ça, soyez en récompensée, j’espère que vous ne nous décevrez pas.
-Oh non je vous le promets, vous serez contents de moi n’est-ce-pas Henri, c’est ce que je lui répondis en lançant un regard de défi à mon époux….
-Oui ma chérie, me répondit-il , prouvant qu’il se soumettait lui aussi aux ordres de Malherbes.
J’en voulais à cet homme que j’avais épousé et qui acceptait de voir sa femme ainsi traitée, je le soupçonnais même d’avoir du plaisir à se faire humilier par ces supérieurs.
Cette humiliation que je ressentais si fort qu’elle me faisais encore plus m’offrir à mes nouveaux maîtres comme si je n’appartenais plus qu’à eux, mon mari ayant abandonné tout droit sur moi à leur seul profit.
-Philippe, elle est à vous, quant à vous mes amis déchainez-vous, elle n’attend que ça.
Philippe commença alors à enfoncer sa verge, je gémis à nouveau de plaisir. Le gland écartait doucement mes petites lèvres pour se frayer un passage, cette lente progression me fit soupirer, Michel en profita pour introduire le sexe dans ma bouche, je l’engouffrai totalement et le pompai avec frénésie, j’étais possédée par le vice. Les sexes allant et venant dans mes orifices faisaient un bruit évocateur que j’accentuais d’halètements étouffés par le membre de Michel.
Cette ambiance sauvage ôta toute retenue à Philippe, il se mit à me défoncer sans aucune précaution, c’est ce que je souhaitais depuis la scène des toilettes.
Une chaude sensation se déclara dans mon ventre, l’extase tant attendue se propagea .La bite frappait en rythme de plus en plus rapide le fond de mon vagin. Le sperme ne tarda pas à m’inonder provoquant en moi un orgasme très violent . Philippe qui s’était retenu toute la soirée lâcha une quantité impressionnante de sperme épais, cela ne s’arrêtait pas, je fus submergée par le ravissement de satisfaire aussi bestialement cet homme.
Je contractai tout mon être et déclenchai l’éjaculation de Michel.
En se retirant à contrecœur Philippe caressa mes fesses comme une promesse de retour, le liquide chaud déborda et goutta sur mes cuisses.
Ce fut au tour de Paul de me posséder. Alors que la verge de Michel coulait encore dans ma bouche il m’allongea sur le côté et m’enfila en un seul mouvement. Pris par la frénésie sexuelle, il n’eut aucun égard et me secoua à un rythme effréné afin d’atteindre la jouissance le plus rapidement.
Il se servait de moi uniquement pour assouvir sa faim d’orgasme , je lui criai des paroles d’encouragement et ondoyait pour répondre pleinement aux attentes des mâles et surtout de celui qui s’imposait comme mon nouveau maître, Monsieur Malherbes, je faisais face à mon mari, il me regardais incrédule et semblait me remercier.
Paul la fit jouir lui aussi en éjaculant.
Cette sensation était extraordinaire, satisfaire comme une pute soumise les demandes les plus humiliantes de ces hommes me transportait d’excitation, je sentais, une nouvelle fois l’orgasme arriver.
Je fus surprise après que Paul se soit retiré de sentir à nouveau la grosse queue de Jean Charles, il était vraiment très excité, pendant qu’il allait et venait, je s’entendis demander:
-Baisez aussi ma bouche s’il vous plait.
-Je peux Monsieur Malherbes ? Interrogea Christian.
-Allez-y et je veux l’entendre crier.
Christian m’introduisit tout son membre. Les deux hommes me baisèrent de différentes façons, me faisant adopter des positions de plus en plus osées. Ils obtinrent ce que le PDG avait demandé, j’ hurlai mon plaisir à chaque changement de situation, offrant mon corps aux verges tendues. Parfois Mr Malherbes avait un désir particulier, aussitôt je sentais les doigts qui me manipulaient aux fins de me faire prendre les attitudes souhaitées, c’était à chaque fois des scènes dégradantes. Était-ce pour cela que j’en raffolais autant ?
Mon ventre m’en faisait presque mal tellement les orgasmes se succédaient.
Le sexe du black remplissait toute ma chatte et la force des mouvements me faisait gémir, je n’avais jamais imaginé pouvoir me conduire ainsi.
Christian plantait sa queue dans ma gorge allant jusqu’à m’étouffer par moments.
Je me donnais complètement pour contenter les deux hommes dont je percevais pourtant, qu’ils se gardaient de jouir. Les ébats du trio se prolongèrent comme si chacun souhaitait repousser les frontières de la pornographie. Je voulais prouver ma disponibilité et assouvir l’appétit de domination de Malherbes.
-punissez cette chienne pour sa débauche et remplissez là , intima le PDG, débordé par son excitation.
Libérés par cet ordre Christian et Jean Charles commencèrent un ballet de claques sur mes fesses ou mes cuisses, cette nouvelle sensation me fit jouir encore plus fort, j’aspirai et léchai la queue dans ma bouche tout en serrant les cuisses. Les effets furent immédiats et les bites giclèrent dans ma chatte et sur ma langue presqu’en même temps.

“Votre femme semble apprécier la liqueur, surtout celle fournie par vos collègues” ironisa Monsieur Malherbes. Henri ne répondit rien.
-Vous Madame, vous avez été meilleure que je ne le pensais. Pendant que vous vous faisiez baiser avec ardeur, je me suis entretenu avec votre époux.
Je l’ai persuadé de vous céder à moi jusqu’à la fin du week end. En conséquence je vous autorise à vous retirer dans votre chambre pour gouter un repos mérité.
Léonore vous y conduira dès qu’elle aura fini avec Henri.
Je tournai la tête vers là où était assis son mari pour le voir enfourché par la servante qui ne tarda pas à le faire gicler entre ses seins. Pauvre Henri lui aussi dominé par Chavert au point de se contenter de la bonne pendant que sa propre femme était offerte en pâture à d’autres. Suprême abdication du mari cocu qui se soulage de son foutre sur une bonne. Il admet ainsi avoir été excité par le spectacle de sa femme baisée par d’autres.
Je me sentais flattée par cette hiérarchie toute nouvelle.
Léonore se rhabilla et me conduit seule à ma chambre (Henri n’était, donc, même plus autorisé à dormir ou coucher avec moi ?) où je me douchai. Je m’endormis immédiatement en pensant avec délectation à ce qui s’était passé et avec espoir et perversité à la journée suivante.

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