- 23 sept. 2011, 18:04
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« Tu verras, m’avait dit Henri, mon mari, Mr Malherbes est quelqu’un de très intéressant, et puis, s’il nous a invité en week end c’est sûrement pour annoncer ma nomination au poste de cadre .
D’ailleurs il y aura les 4 autres responsables et le directeur général Daimon»
Je savais à quel point cette promotion comptait pour mon mari. J’avais réfléchit à ma tenue pour le repas d’arrivée et avais finalement opté pour un chemisier blanc avec un tailleur gris foncé, jupe plissée s’arrêtant au dessus du genou ce qui me permit de mettre des bas ”top”.
-Tu verras ils sont tous charmants, parfois un peu entreprenant avec les femmes, mais je te laisse juge. S’ils vont trop loin, n’hésite pas à les arrêter, ajouta Henri, cette précision me décontenança un peu.
En arrivant à la résidence de Mr Malherbes, Léonore, la femme de chambre nous avait montré notre chambre.
Le repas s’était déroulé parfaitement, une vaste salle à manger, des plats fins, du très bon vin, d’ailleurs j’en avais peut être un peu trop bu.
J’étais assise entre Paul et Christian, en face de moi, Philippe Daimon encadré de Michel et Jean-Charles, à un bout de la table Mr Malherbes, à l’autre bout mon mari.
Au moment où étaient servis les desserts, je sentis sur mon genou droit la main de Paul, je me raidis mais ne bronchai pas, le vin peut être. Puis ce fut au tour de Christian de passer la main sur ma cuisse gauche. Le temps de réaliser, les deux hommes entamaient sur mes cuisses un ballet de caresses. Interloquée je regardai mon mari, il était trop occupé à discuter.
Enhardis par l’absence de réaction. Ils écartèrent chacun une des mes jambes afin d’avoir accès à mon sexe au travers de ma culotte.
C’était délicieux. Les deux hommes me caressaient avec douceur et fermeté, allant et venant sur mon clitoris, j’éprouvais un peu de honte mais sentais monter le plaisir. Il fallait arrêter cela sinon tout le monde se rendrait compte, j’avais remarqué, déjà, les sourires de Philippe en face de moi, se doutait il de quelque chose ?
-Excusez moi je dois me lever, les commodités s’il vous plait, articulai-je en regardant Malherbes.
-Bien sur, répondit il, mais nous avons un petit souci d’éclairage dans le couloir, Philippe voulez vous accompagner Madame.
En chemin Philippe me glissa à l’oreille :”Paul et Christian sont des experts, n’est ce pas ??”
Je le regardai d’un œil rond mais ne répondis rien ;
Arrivés aux toilettes, il me dit:” la porte ne ferme pas, mais ne vous inquiétez pas je reste devant.”
Je m’assis et baissai ma culotte sur les chevilles.
Je n’avais absolument pas envie de faire pipi, c’était juste un prétexte pour me lever de table.
C’est à ce moment que Philippe ouvrit la porte, me regarda fixement,
J’étais pétrifiée, il s’agenouilla, ouvrit mon chemisier, glissa la paume de sa main droite sur mon soutien-gorge en effleurant les tétons; je restai sans voix devant tant d’audace. Sans un mot il prit ma culotte, puis la mit dans la poche droite de sa veste.
-En souvenir, dit-il.
Puis il se pencha sur moi et m’embrassa en me caressant les seins, je lui rendis son baiser en glissant la langue dans sa bouche. Il prit ma main et la posa sur sa braguette, je sentais la queue qui se durcissait et cela m’excita encore plus.
-Retournons à table, ils vont nous attendre;
J’aurais eu envie qu’il me prenne immédiatement mais j’étais là, à obéir aux ordres.
Comme s’il avait deviné mes pensées, il me dit, en passant la main sous ma jupe et flattant mes fesses: “ la soirée ne fait que débuter”.
Dès que je fus assise, les deux mains de Paul et Christian m’écartèrent à nouveau et recommencèrent à me caresser, cette fois la culotte ne faisait plus obstacle et les doigts pouvaient s’introduire dans mon intimité. La chaleur de ces explorations me submergea et je sentis, à nouveau l’orgasme monter.
Les caresses redoublaient, ma chatte s’attendrissait sous les doigts, des spasmes contractant mon ventre déferlèrent, mon sexe me brulait, la tête me tournait, enfin le plaisir arriva, je fis tous les efforts pour le cacher mais tous les convives, sauf mon mari, s’en aperçurent. Cela avait été fabuleux.
Je restai pantelante mais pas rassasiée, la situation était trop excitante, y aurait-il une suite???
Je n’attendais pas longtemps la réponse. Les domestiques furent, alors, congédiés.
En face de moi, Philippe fit tomber sa serviette et se baissa pour la rechercher, j’imaginai la vision qu’il avait, mes cuisses maintenues ouvertes par les mains puissantes et ma chatte offerte sous la table, je me sentais délicieusement humiliée par la situation.
- Une liqueur ? demanda Mr Malherbes qui n’avait rien perdu de la situation.
Jean Claude (un grand métisse, directeur du marketing) parla pour tout le monde en disant que c’était une excellente idée. Puis il rajouta :
“Je crois que Philippe est en train de se servir.”
Immédiatement, je fus parcouru par un frisson, la langue du directeur général commençait à me lécher l’entrecuisse, les mains m’avaient lâchée mais je gardai mes jambes grandes ouvertes pour recevoir les assauts de la bouche gourmande. Ensuite se furent les doigts qui entrouvrirent mes petites lèvres pour se frayer un chemin dans mon vagin.
Je m’aperçus que tous les invités me fixaient, mon mari fit semblant de ne pas comprendre, ne sachant quelle attitude adopter.
- Une liqueur, Madame ?? répéta Mr Malherbes.
J’étais trop à mon plaisir pour répondre.
-Servez là Michel s’il vous plait ! dit-il sur un ton qui n’acceptait aucune contradiction. Je compris, alors que Mr Malherbes, le PDG prenait la direction de ce qui allait se passer, je regardai mon mari. Michel s’assit sur la table face à moi baissa pantalon et slip pour laisser jaillir son membre de belle dimension, en érection. Je tournai la tête à nouveau vers Henri, qui commençait à se lever, mais Jean Charles en posant ses mains fermement sur les épaules de mon mari l’obligea à se rassoir.
-Ne privez pas votre femme du plaisir de vous aider dans votre accession à un nouveau poste au sein de notre entreprise, dit Mr Malherbes d’une voix autoritaire, on sentait qu’on ne pouvait résister au pouvoir de cet homme.
Henri s’effondra sur la chaise.
Michel pressa le gland sur ma bouche que je n’ouvris pas de suite, mais en sentant le sexe qui perlait d’un liquide transparent je ne pu ne résister.
Sous la table, Philippe passait sur mon point G des doigts habiles en léchant de plus en plus fort mon clitoris, je voulu saisir la queue pour la masturber dans ma bouche mais mes mains furent attrapées et posées sur les queues de Paul et Christian qui en avaient profité, eux aussi, pour descendre slip et pantalon. Je me mis alors à les branler avec frénésie.
Jean Charles était passé derrière moi, avait ouvert mon chemisier et passé les mains dans mon soutien-gorge dont il extrayait avec sensualité les mamelons pour les caresser puis les pétrir. L’excitation les lui fit même pincer ce qui provoqua en moi une décharge électrique annonciatrice d’un nouvel orgasme.
La queue de Michel gonflait dans ma bouche, par moment, les mains sur ma tête, il en profitait pour accélérer ou ralentir le mouvement. Seuls les gémissements de plaisir des uns et des autres déchiraient l’atmosphère chargée de sexualité et d’odeurs d’homme en rut.
Mr Malherbes observait la scène, visiblement heureux de l’indécence des attitudes. Ses employés rivalisaient d’audace dans leur possession de mon corps c’était à celui qui me dominerait le plus, celui qui me dirait le plus d’obscénités:
-Allez sucez salope! Je suis sûr que vous adorez ça dit Michel.
-Je vais vous gicler sur la main et vous lécherez vos doigts. Renchérit Paul.
Mon mari, anéanti, avait un air hébété. Quand le premier jet chaud frappa mon palais, je faillis jouir, Michel se recula et un nouveau jet m’atterrit au milieu des seins.
Ma bouche débordait de sperme, Jean Charles le voyant s’excita encore et me lâcha les seins pour, à son tour, laisser glisser slip et pantalon. Je découvris alors une bite surdimensionnée, j’en eus de suite envie.
C’est alors que je sentis dans ma main gauche le sperme de Paul me couler au milieu des doigts et je me vis comme dans un film pornographique:
Un homme qui me masturbait, deux hommes que je branlais, dont un venait d’éjaculer sur sa main, un autre venait de me remplir la bouche et d’éclabousser mes seins, ce grand métisse avec sa bite prête à se dresser, le tout sous le regard du directeur orchestrant cette orgie devant mon mari.
Ces images conjuguées aux caresses de Philippe sous la table déclenchèrent un orgasme qui ne semblait pas devoir s’arrêter, mon corps était en feu, ma chatte s’attendrissait, mes chairs s’ouvraient et réclamaient plus de sexe ; après de longues minutes je me calmai, ce qui me déçu car elle je n’en avais pas eu assez.
Jean Charles la prit dans les bras et m’allongea sur la table, la jupe relevée, les jambes écartées, la poitrine sortie de mon soutien gorge les six hommes pouvaient se repaitre de moi, je n’attendais que cela.
Philippe et Jean Charles montèrent sur la table. Pendant que le premier se mit au dessus de moi en enfonçant la queue dans ma bouche, le deuxième s’agenouilla devant moi, Christian qui n’avait pas encore jouit mit le sexe dans ma main . Je débutai alors, une très obscène fellation sur Philippe, lui léchant le gland, les testicules, l’anus, allant jusqu’à introduire les doigts de ma main libre dans le cul du directeur général, provoquant, chez lui, des soupirs de contentement.
Jean Charles commença à introduire son énorme bite dans ma chatte, je me mis à crier de bonheur.
-Baise la plus fort elle n’attend que ça souffla Philippe.
-Oh oui baisez moi tous, murmurai-je prise par les jeux de l’impudeur.
On veut vous entendre le dire, demanda Mr Malherbes affirmant un peu plus son pouvoir sur tous les acteurs du repas.
-Oh Oui Monsieur, demandez leurs de me baiser à fond articulai-je dans un cri étranglé par l’excitation.
Cet encouragement libéra la bestialité des hommes.
Les puissants coups de reins m’arrachaient à chaque fois un gémissement, c’est Christian qui éjacula en premier, le jet de sperme fouetta mon sein gauche, en recouvrant la moitié et le téton. En continuant ma fellation je recueilli de ma main le précieux liquide et le léchai avec délectation devant les hommes que cette vision affolèrent.
C’était ce que je voulais. Les va-et-vient de Jean Charles se firent plus sauvage, il grogna en se reculant et gicla sur mon ventre à flots laiteux et abondants.
Encore une fois je pris le sperme et m’en badigeonnai les doigts puis la bouche.
Philippe devint fou de désir, il me retourna, me mit à quatre pattes. Dans cette position j’offrais ma croupe à qui la voulait.
Je restais là ouverte au bon plaisir de Malherbes qui ne ratait rien du spectacle, hochant la tête en signe d’approbation aux phantasmes des collaborateurs.
Je ne pouvais que souffrir de mon sexe en feu et appeler les bites en érection à me posséder.
Philippe fut le premier à me saisir. Il écarta mes fesses et lécha goulument mon entrecuisse allant de ma chatte à mon anus. Il ouvrit ainsi ma vulve, cette position permettait aux hommes autour de la table d’avoir une vue plongeante sur mon intimité. Il me masturbait avec application provocant des vagues mouillées dans mon ventre. Il en recueillait le liquide avec un ou deux doigts introduits dans mon vagin. Il s’attarda encore de façon à me maintenir au bord de l’orgasme.
-Pourquoi cette torture ? Prenez moi encore suppliai-je
-Pour vous soumettre totalement ma chère, répondit Mr Malherbes qui profitait de sa position pour détailler mes formes.
- Vous vous comportez comme une chienne et j’aime ça, soyez en récompensée, j’espère que vous ne nous décevrez pas.
-Oh non je vous le promets, vous serez contents de moi n’est-ce-pas Henri, c’est ce que je lui répondis en lançant un regard de défi à mon époux….
-Oui ma chérie, me répondit-il , prouvant qu’il se soumettait lui aussi aux ordres de Malherbes.
J’en voulais à cet homme que j’avais épousé et qui acceptait de voir sa femme ainsi traitée, je le soupçonnais même d’avoir du plaisir à se faire humilier par ces supérieurs.
Cette humiliation que je ressentais si fort qu’elle me faisais encore plus m’offrir à mes nouveaux maîtres comme si je n’appartenais plus qu’à eux, mon mari ayant abandonné tout droit sur moi à leur seul profit.
-Philippe, elle est à vous, quant à vous mes amis déchainez-vous, elle n’attend que ça.
Philippe commença alors à enfoncer sa verge, je gémis à nouveau de plaisir. Le gland écartait doucement mes petites lèvres pour se frayer un passage, cette lente progression me fit soupirer, Michel en profita pour introduire le sexe dans ma bouche, je l’engouffrai totalement et le pompai avec frénésie, j’étais possédée par le vice. Les sexes allant et venant dans mes orifices faisaient un bruit évocateur que j’accentuais d’halètements étouffés par le membre de Michel.
Cette ambiance sauvage ôta toute retenue à Philippe, il se mit à me défoncer sans aucune précaution, c’est ce que je souhaitais depuis la scène des toilettes.
Une chaude sensation se déclara dans mon ventre, l’extase tant attendue se propagea .La bite frappait en rythme de plus en plus rapide le fond de mon vagin. Le sperme ne tarda pas à m’inonder provoquant en moi un orgasme très violent . Philippe qui s’était retenu toute la soirée lâcha une quantité impressionnante de sperme épais, cela ne s’arrêtait pas, je fus submergée par le ravissement de satisfaire aussi bestialement cet homme.
Je contractai tout mon être et déclenchai l’éjaculation de Michel.
En se retirant à contrecœur Philippe caressa mes fesses comme une promesse de retour, le liquide chaud déborda et goutta sur mes cuisses.
Ce fut au tour de Paul de me posséder. Alors que la verge de Michel coulait encore dans ma bouche il m’allongea sur le côté et m’enfila en un seul mouvement. Pris par la frénésie sexuelle, il n’eut aucun égard et me secoua à un rythme effréné afin d’atteindre la jouissance le plus rapidement.
Il se servait de moi uniquement pour assouvir sa faim d’orgasme , je lui criai des paroles d’encouragement et ondoyait pour répondre pleinement aux attentes des mâles et surtout de celui qui s’imposait comme mon nouveau maître, Monsieur Malherbes, je faisais face à mon mari, il me regardais incrédule et semblait me remercier.
Paul la fit jouir lui aussi en éjaculant.
Cette sensation était extraordinaire, satisfaire comme une pute soumise les demandes les plus humiliantes de ces hommes me transportait d’excitation, je sentais, une nouvelle fois l’orgasme arriver.
Je fus surprise après que Paul se soit retiré de sentir à nouveau la grosse queue de Jean Charles, il était vraiment très excité, pendant qu’il allait et venait, je s’entendis demander:
-Baisez aussi ma bouche s’il vous plait.
-Je peux Monsieur Malherbes ? Interrogea Christian.
-Allez-y et je veux l’entendre crier.
Christian m’introduisit tout son membre. Les deux hommes me baisèrent de différentes façons, me faisant adopter des positions de plus en plus osées. Ils obtinrent ce que le PDG avait demandé, j’ hurlai mon plaisir à chaque changement de situation, offrant mon corps aux verges tendues. Parfois Mr Malherbes avait un désir particulier, aussitôt je sentais les doigts qui me manipulaient aux fins de me faire prendre les attitudes souhaitées, c’était à chaque fois des scènes dégradantes. Était-ce pour cela que j’en raffolais autant ?
Mon ventre m’en faisait presque mal tellement les orgasmes se succédaient.
Le sexe du black remplissait toute ma chatte et la force des mouvements me faisait gémir, je n’avais jamais imaginé pouvoir me conduire ainsi.
Christian plantait sa queue dans ma gorge allant jusqu’à m’étouffer par moments.
Je me donnais complètement pour contenter les deux hommes dont je percevais pourtant, qu’ils se gardaient de jouir. Les ébats du trio se prolongèrent comme si chacun souhaitait repousser les frontières de la pornographie. Je voulais prouver ma disponibilité et assouvir l’appétit de domination de Malherbes.
-punissez cette chienne pour sa débauche et remplissez là , intima le PDG, débordé par son excitation.
Libérés par cet ordre Christian et Jean Charles commencèrent un ballet de claques sur mes fesses ou mes cuisses, cette nouvelle sensation me fit jouir encore plus fort, j’aspirai et léchai la queue dans ma bouche tout en serrant les cuisses. Les effets furent immédiats et les bites giclèrent dans ma chatte et sur ma langue presqu’en même temps.
“Votre femme semble apprécier la liqueur, surtout celle fournie par vos collègues” ironisa Monsieur Malherbes. Henri ne répondit rien.
-Vous Madame, vous avez été meilleure que je ne le pensais. Pendant que vous vous faisiez baiser avec ardeur, je me suis entretenu avec votre époux.
Je l’ai persuadé de vous céder à moi jusqu’à la fin du week end. En conséquence je vous autorise à vous retirer dans votre chambre pour gouter un repos mérité.
Léonore vous y conduira dès qu’elle aura fini avec Henri.
Je tournai la tête vers là où était assis son mari pour le voir enfourché par la servante qui ne tarda pas à le faire gicler entre ses seins. Pauvre Henri lui aussi dominé par Chavert au point de se contenter de la bonne pendant que sa propre femme était offerte en pâture à d’autres. Suprême abdication du mari cocu qui se soulage de son foutre sur une bonne. Il admet ainsi avoir été excité par le spectacle de sa femme baisée par d’autres.
Je me sentais flattée par cette hiérarchie toute nouvelle.
Léonore se rhabilla et me conduit seule à ma chambre (Henri n’était, donc, même plus autorisé à dormir ou coucher avec moi ?) où je me douchai. Je m’endormis immédiatement en pensant avec délectation à ce qui s’était passé et avec espoir et perversité à la journée suivante.